Rattrapage Au Gode
Lorsque javais connu Mish, javais vite compris sa manière de jouir : orgasme court, puis relâche, vagin en tunnel de métro, puis sous une excitation poursuivie, resserrement, orgasme, etc. Jaimais beaucoup cela, ses relâchements mempêchaient de gicler, faisaient durer nos étreintes jusquà ce que ses jouissances, du plus en plus rapprochées, nen fassent plus quune, et que nous explosions tous deux
.
Sauf que
Il métait arrivé de partir tellement vite, que Mish nen était quau début du parcours. Ma bite devenue mollassonne et incapable de tenir son rôle, je décidais de me faire aider : je retrouvais un gode de bois, de taille habituelle, le gland bien imité, avec une jolie courbure ; la seule invraisemblance était la longueur : environ 35cm, mais en assurait une bonne prise en main
Javais aussi ramené quelques plumes doie, toutes neuves
Mish était maintenant dans son état repos, ventre détendu, allongée sur le dos, main ouvertes, con béant, presque inanimée
Je lui écartais un peu les genoux, me plaçais à coté delle, et saisissant une plume commençais à lui caresser le haut de cuisses, appuyé sur un coude. La plume oscillait dune cuisse à lautre, rasant les poils de sa vulve, effleurant les lèvres, montant jusquà son bouton
. Lui écartant les lèvres à deux doigts, je lui titillais le bouton du bout de la plume. Elle suintait de mouille.
Changeant daccessoire, jattrapais le gode et en frottais le bout contre ses lèvres, A chaque glissement, jappuyais un peu, le faisais entrer un peu plus profondément, marquant à chaque fois plus lentrée de sa fente. Elle réagissait enfin, écartait encore plus les cuisses, et dune lente poussée, je lui glissais le gland de bois dans la chatte, le faisait coulisser avant-arrière en tous petits mouvements. Son pubis a commencé à onduler, cherchant à augmenter le contact, la pénétration.
Attrapant lengin entre mes deux paumes, je commençais à le faire rouler doucement, la courbure du gode déformait un peu la moule de ma copine à chaque tour, entraînant les lèvres avec.
Maintenant, ses coups de reins augmentaient, faisait entrer la bitte rotative plus profondément dans sa chatte, je voyais son ventre sanimer de pulsations, et je commençais à sentir ses boyaux aspirer le gode. Je lâchais tout, et regardant le dard entrer lentement dans son con, je lui caressais les nichons, titillant les pointes
Comme jaurais aimé pouvoir lui mettre mon gourdin, plutôt que ce truc de bois
Mais rien à faire cétait foutu, jétais tout mou et elle bien trop prête à jouir pour attendre.
Je la laissais jouir, puis de nouveau inerte, le faux zob toujours planté dans son ventre, recommençais à lui caresser les cuisses, le ventre, les nénés
Empoignant la trique à ras de ses poils, jagitais lengin dans sa vulve, lui faisait des cercles, de plus en plus appuyés, et caressant son clito en même temps
. Décidant de la foutre bien à fond, je sortais le gourdin jusquau bord et renvoyais le tout prestement, puis tournais un peu sur sa motte, comme pour la vriller encore un peu plus, appuyant à fond lemmanchement.
Bouche ouverte, elle hoquetait
. Son ventre se réanimait, et je repris mon ramonage, à longs coups ; je sentais ses muscles se resserrer, (comme ci je la dépucelais à chaque pénétration), et sa résistance, à chaque retrait du manche. Je lâchais encore le gode, la laissais jouir à nouveau, puis séteindre, pour recommencer et recommencer encore, jusquà son épuisement satisfait, moment ou la bitte de bois et mes caresses conjuguées neurent plus deffet sur elle. En partant, elle me dit : Cétait bon, mais je préfère quand même le naturel
Ok, ok. Je recommençais à bander. Trop tard. Et mou
Ca ne la pas empêchée de revenir, à mon grand soulagement, elle et son vagin, pompe à dard experte.
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