En Couple

Je vis en couple avec Marie depuis plus de trois ans. Sexuellement, c'est toujours le grand jeu. Nous baisons souvent, si "j'oublis" de caresser Marie elle sait me remettre dans le droit chemin. Chaque jour ou presque nous nous faisons l'amour. Nous commençons toujours par un très long baiser, je lui embrasse le cou, elle frémit toujours et je lui donne des frissons. Elle se laisse faire mais dès que je quitte sa tête ou son visage, elle, à son tour me donne des caresses sur ma poitrine. Elle me suce les seins. Je lui rends la pareille, mais moi si je lui suce les tétons, je caresse ses seins en forme de poire. Elle veut quelques fois que je me branle entre ses obus c'est très agréable pour moi et parait-il pour elle parce qu'elle a juste sous ses yeux mon gland qui gicle.
Donc je descends jusqu'à son bas ventre où je trouve ses poils. Elle écarte les jambes pour faciliter mon passage vers son sexe ouvert et complètement mouillé. J'y introduit mon index gauche et trouve facilement son con et son bouton. Je m'y attarde et lentement mais sûrement je l'amène à son premier orgasme. Elle geint doucement de plaisir et me demande toujours de l'enculer.
Elle aime être enculée mais en même temps elle se branle. son plaisir et complet. Enfin je la baise ! Elle jouit encore et me dit merci pour ce que je lui ai fait. Et enfin elle me suce à fond.
Un soir, nous étions chez un couple d'amis et la conversation a dévié sur les façons de baiser. Nos amis et surtout elle décrivaient avec moult détails leur façon de faire l'amour qui ressemblait à la notre, sinon que la sodomie venait à la fin.
Nous nous sommes excités les uns et les autres, surtout quand Aline, la femme de Jean, nous a avoué qu'elle aimait faire l'amour avec les femmes. Je sentais Marie sur le point de lui demander de lui apprendre à faire l'amour avec elle. Jean le mari était au courant des aventures lesbiennes de son épouse : il en tirait un très gros avantage : sa femme lui disait toujours quand elle avait baisé une fille et que leur amour physique était toujours plus fort après.

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Aline a demandé à ma femme Marie de la suivre dans la cuisine sous un prétexte quelconque. Je pensais savoir ce qu'il en ressortirait. En effet lorsque qu’elles sont revenues, Marie avait le rouge aux joues. Je connaissais cette rougeur : elle devait être très excitée. Jean me disait : je crois que Marie va succomber aux avances d'Aline: vous baiserez bien mieux ce soir !
Mais non les deux épouses sont revenues s'asseoir mais elles se regardaient comme le font certains amants avant d'aller baiser.
J'osais la question qui tue :
- C'est bien gentil d'aller comploter : qu'avez vous décidé ?
- Ho rien de grave, me répondais Marie, Nous avons décidé de faire l'amour ici, devant vous tout à l'heure.
- Pourquoi tout à l'heure ?
- Parce qu'il faut d'abord débarrasser la table pour être plus libre.
- Plus libre pour baiser devant nous ?
- Bien sur sinon comment on ferait pour faire l’amour couché sur la table pour nous sucer.

C'était logique. Elles ont débarrassé la table et sont revenues entièrement nues en se tenant la main. Comme des écolières bien polies.
Avec Jean nous bandions déjà comme des ânes Les deux femmes nous ont demandés de nous mettre à poils nous aussi.
Pourtant je regardais les deux corps féminin et le plus beau pour moi était celui de Marie. Mais Aline était peut être un peu plus mince.. Jean en voyant Marie me disait que j'avais de la chance d'avoir une femme comme celle là. C'est vrai qu'elle baisait bien
Marie. C'est vrai qu'elle se branle Marie. C'est vrai que maintenant elle veux baiser pour la première fois avec une autre femme et
c'est vrai qu'elle va le faire non seulement devant moi mais également devant un ami.
Les deux filles nous regardaient nus en bandant et murmuraient entre elles sur les mérites comparés de nos bites à peu de chose près équivalentes. Mais tout haut Marie disait qu'elle aimait me sucer parce que j'avais bon goût. Aline répondait que Jean aussi avait bon goût.
Elles nous regardaient en nous détaillant, et surtout en se pelotant les seins. On les sentait excitées. Ce fut vrai quand Aline posait sa main sur le con de ma femme Marie qui a rendu la pareille. Je demandais à Marie si c'était bien la première fois ? Bien sur, nigaud !
Pourtant plus je les regardais faire plus j'avais des doutes et pourtant ce devait être vrai parce que Marie ne mentait jamais : assises sur le divan Aline a commencé par l'embrasser sur la bouche, elle lui prenait le menton et le tournait vers elle avant de lui rentrer sa langue dans la bouche de Marie, qui je le savait embrassait très bien. Le baiser a duré longtemps. Je jetais un coup d'oeil en direction de Jean qui se branlait devant nous tous, quoique les femmes étaient occupées à autre chose que la bite de Jean. Finalement j'en ai fait autant, je me branlais très lentement: je ne voulais pas jouir avant Marie.
Les deux filles se sont mise autrement : Marie est venue se coucher sur la table, les cuisses ouvertes et Aline est venue la sucer.
Connaissant les réactions de Marie, je savais qu'elle allait jouir rapidement, tout au moins quand je la suçais. En effet elle a pris son pied devant nous en gémissant comme toujours quand elle a un grand plaisir. Mais Aline a voulu continuer à la prendre dans sa bouche. J'ai décidé d'aller moi aussi prendre du plaisir. Je me suis mis derrière Aline et j'ai passé une main entre ses cuisses, j'ai trouvé son clitoris et l'ai caressé. Mais mon but était d'aller dans son cul. J'ai posé ma bite à l'entrée de son trou et je l'ai prévenue : je vais t'enculer. Elle a juste remué ses fesses : ça voulait dire, vas-y encule moi. J'ai englouti l'entière bite et nous avons jouis tous les trois. En ayant fini avec Aline, j'ai dis à Jean, son mari que se femme était une bonne baiseuse. Pour jouir lui aussi, il a été plus vite et a jouit sur sa femme qui a léché ce qu'elle pouvait. Marie a sucé le reste et trouvé bon, presque aussi bon que celui de son mari.
Maintenant, c'est Aline qui s'est couchée sur la table et Marie qui s'est mise à la sucer. Avec moins de brio qu'Aline, il faut bien le dire. Jean remis de son éjaculation est venu derrière Marie et lui a dit qu'il allait lui aussi l'enculer. Marie a simplement répondu oui.
Et j' voyait la bite de jean pénétrer le cul de ma femme elle dandinait son cul bien rempli. Elle a jouit très vite. C'était la première fois que je voyais comment elle se faisait enculer, comme lorsque c'était moi qui le lui faisait
Enfin Aline a décidé que les deux filles devaient faire un 69. Je pensais que Marie allait se régaler. Je ne me trompais pas, elle a jouit plusieurs fois de suite, comme Aline d'ailleurs.
Enfin elles ont bien voulu que nous fassions l'amour en couple. Mais Aline m'a demandé de venir la baiser. Marie m'a demandé de le faire devant elle. J'ai pris Aline comme je pense je n'oserai jamais demandé à Marie de le faire : elle était épaule contre le sol, complètement pliée, son corps vertical et son con en l'air. J'ai presque eu du mal à la pénétrer. Mais Aline sensuelle comme elle était a eu un orgasme tel qu'elle a crié: je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiis !!!!
Marie, plus calmement se faisait mettre tranquillement par Jean qui ne bandait pas trop fort. Mais Marie a joui et fait jouir Jean en le suçant.
En rentrant chez nous Marie m'a avoué qu'elle avait passé une excellente soirée à baiser avec Aline : les sensations sont différentes qu'avec toi. Mais maintenant j'aimerai faire l'amour avec toi. Nous avons baisé et Marie a jouit encore et comme je l'enculais m'a demandé la permission d'aller quelques fois baiser Aline. J'ai dit oui bien sur, ton plaisir passe avant le mien. Mais je te raconterai tout après...