Quand Elle S'Occupe De Tout...
Lorsque Mish passait me voir, elle babillait habituellement sur son shopping-copines-maquillage et autres potins insipides ; je moccupais généralement de la suite, sexuelle, elle se taisait et suivait mes directives, quitte à tout accen, positions, mouvements, sensations. Cette fois là, elle mavait prévenu : Laisse moi faire, je moccuperai de tout.
En arrivant, pour cette fois silencieuse, je remarquais son petit sourire et ses yeux encore plus malicieux que dhabitude. Me poussant vers la chambre, son blouson ôté, elle me fit : A poils
Couche toi, sur le lit, bras et jambes écartés. Concours de vitesse de déshabillage, et pendant que je minstallais, prenant soin de madosser à la tête de lit, elle prenait des poses lascives, entamait une petite danse du ventre, sourire aux lèvres.
Je ne la quittais pas des yeux, ses petits seins en obus, son cul rebondi, sa taille fine et mobile, sa chatte poilue me ravissaient. Tu regardes, et tu bouges pas !. Elle sétait placée à genoux entre mes jambes, mavait écarté encore un peu les cuisses, comme javais lhabitude de le faire avec elle ; je bandais déjà fort correctement ; elle saisit mon gland à trois doigts, pouce, index, majeur et commença à me branler, le recouvrant et découvrant alternativement du prépuce ; jadorais cette caresse, et elle le savait, la garce !
A chacun de ses mouvements, jen accentuais lamplitude dun balancement de cul, avant arrière, mais elle avait décidé de rester maîtresse des opérations, un pouce bloquait maintenant mon pubis, mes couilles dans ses doigts me forçaient à rester immobile : Javais dit : Bouges pas !. Ses doigts ont quitté mon bout, saisis ma tige décalottée juste sous le gland, et repris le mouvement de branlage de prépuce, très lent cette fois, recouvrant découvrant juste, tout juste le couronne ; la pression sur mes couilles mincitait à rester bien sage, bien immobile
Se penchant en avant, elle avait posé sa bouche dessus son poing fermé sur ma queue ; elle se débrouillait pour que mon gland soit juste effleuré par ses lèvres, à chaque descente de sa main.
Me lâchant, elle se redressait, et toujours agenouillée, avançait en soulevant mes jambes sur ses cuisses ; mon zob tendu touchait mon ventre ; elle souleva les hanches, arquant son con en avant, me saisit la tige et la redressant doucement, linclina ensuite vers elle, gland effleurant ses lèvres ; elle me bloquait toujours dune main, en se balançant davant en arrière, se caressant du périnée au clito, souvrant la moule de mon bout. Je sentais sa mouille me couler dessus. Jaurais voulu lemmancher, sa poigne mempêchait de bouger.
Elle sétait collée ma trique au bord du vagin, elle pouvait maintenant la lâcher ; une main de libre, son index fureteur venait maintenant caresser son bouton et le bord de ma queue ; son doigt saccélérait, je la sentais maintenant pulser du ventre, elle senquillât du doigt, bien à fond, et dans le mouvement basculât son con moite sur ma bitte. Elle commençait à se ramoner sur mon dard, index en double, sa main lempêchait de sempaler à fond. Elle la voulait toute, elle ôtait sa main, se retirait de ma bitte, un genou toujours sur le lit, elle passait un pied au dessus de ma jambe. Elle était maintenant demi agenouillée, je métais tourné légèrement, pour pointer mon zob encore plus vers son entrejambe.
Lâchant mes couilles, elle sétait à nouveau emmanchée, cette fois bien à fond, poils à poils, elle me tirait par les hanches pour sempaler encore, et je sentais son vagin me serrer la base de la trique
Puis son étreinte remontait vers mon gland, comme pour laspirer dans sa matrice. Elle allait jouir
Elle jouissait, en aspirations rapprochées, les yeux fermés, râle aux lèvres.
Dun coup, tout sest relâché, étreinte, vagin, corps : elle avait jouit
Elle inclinait son buste vers moi, tétons presque à tétons, et oscillant lentement, se caressait sur mon torse ; inclinée ainsi, son clito pouvait être sous pression, peut être au contact de mes poils
Elle semblait sexciter un peu, son minou reprenait vie, toujours large et mou,mais elle sactivait maintenant sur ma hampe, tournant du bassin, cherchant le contact avec ses parois inertes ; elle sactivait en se pilonnant à fond sur ma trique raide, lentement dabord, puis de plus en plus vite.
La cadence sétait ralentie, mouvements amples, je la sentais coulisser sur toute ma longueur
A défaut de se remplir le ventre de ma bitte, elle recommençait à se resserrer
Jouissance, encore, pour elle, puis relâchement, me permettant ainsi dattendre encore, dans son vagin élargit, glissant de suint, que ses spasmes se rapprochent de plus en plus, me serrant dans son étau, et que jexplose enfin en longs jets chauds dans son extase finale, linondant de foutre jusquaux dents
.
En partant, elle mavait prévenu : La prochaine fois, linitiative tappartient !. Quand même !
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