Au Temps De La Résistance, Objet De Plaisir Malgré Moi
Le temps est maussade, le pays est en guerre, et leader dun petit groupe de résistants je me suis fais prendre dans un gros coup que javais mis en place. Le risque était grand mais chacun de mes camarades le savaient et étaient libre de refuser cette opération mais une fois lancé ils nauraient pu faire marche arrière. Tous étaient partants et je me satisfaisais de leur motivation aussi grande que la mienne. Laction serait menée par 10 gars dont moi, les autres resteraient pour assurer nos arrières, gérer nos déplacement depuis lextérieure et assurer la relève au cas où
Finalement, bien que notre coup de poker ait marché avec succès, ce nétait pas sans conséquence puisque 1 homme était mort, 5 avaient été capturés par les militaires dont moi et 4 seulement avaient réussi à séchapper.
Nous nous retrouvions tous les 5 dans une cellule peu accueillante mais cependant non horrible étant donné les conditions actuelles de guerre, et surtout pour nous les « petits voyous de la résistance » comme on nous appelait, mais grandement dérangeant pour des petits voyous.
Bien sur ils nous avaient tous interrogé un à un pour connaître les actions futures déjà programmées, mais nous avions fondé notre système sur des bases de confidentialité de dernières minutes, ainsi peu de personne connaissait à lavance le coup que nous allions frapper, évidemment on prévenait du risque plus ou moins grand mais cest quune fois engagé que les volontaires étaient mis au courant et cela le plus tard possible, parfois juste quelques heures auparavant, parfois la veille, rarement plus tôt. Cest pour cela, que des 5, seul moi connaissais tout de notre groupe de résistants, et de nos actions futures.
Jétais dune insolence et dune arrogance qui agaçait énormément, et mon jeune âge (25ans) qui nempêchait en rien, à mon intelligence de mener à bien des projets malencontreux, dérangeait également.
Lors de mon interrogatoire, javais été particulièrement provoquant allant même jusquà cracher à la figure dun officier, nétant pas sensible aux quelques coup que lon mavait infligé.
Peu après mon retour de linterrogatoire, un homme furieux arriva brusquement dans la cellule accompagné de 2 officiers, lun que je navais jamais vu, lautre qui faisait parfois notre surveillance. On lui avait sans doute rapporté mes insolences sans fins et osées, ainsi que ma détermination infaillible. Il allait, lui, tester ma détermination à sa façon, une façon qui était tout autre, qui touchait lhomme sur ce qui faisait lhomme, lorigine même de sa puissance, de sa force de caractère, de son identité, de sa virilité et de sa masculinité
Il me prit violemment par les cheveux, mes 4 compagnons se redressèrent aussitôt comme pour intervenir en ma faveur mais cet homme furieux, en fait capitaine cria aussitôt :
- Si y en a un seul qui bouge, jlui promets de lui faire couper les couilles
- Non cest bon les gars, n vous inquiétez pas jen ai connu dautre
- Ta gueule, répliqua lautre en me giflant fortement
Toujours en me tenant par les cheveux il memmena au milieu de la pièce (pourtant pas bien grande) lendroit le plus exposé pour le regard de tous.
- Regardez bien votre petit chef de merde, regardez ce à quoi il est bon, et il nest bon que pour ça cette petite fiotte.
Il me tenait toujours par les cheveux, un des officiers me tenait les bras, et quand il fit un signe de tête à lautre, ce dernier marracha pantalon et slip
- A genoux ! me cria le capitaine
- Va tfaire foutre conard, et sur ces paroles il me gifla de nouveau mais encore plus fort que la fois précédente
- A genoux !
- Si tu veux que jme mette à genoux il va falloir être plus convaincant
ajoutais-je
Alors il me gifla de nouveau et fit un signe de tête aux deux officiers qui me tenaient par les bras bloqués dans mon dos, ceux-ci me donnèrent un coup de pied derrière les genoux chacun à une jambe, de cette façon je me retrouvais à genoux.
- Dans tes rêves
- Suce ! me cria t-il après mavoir giflé encore plus violemment
- Cest tout ce dont tes capable, tu mdéçois, ajoutais-je avec un sourire en coin narquois
Alors il me gifla de nouveau à deux reprises cette fois et toujours plus fort. Je savais que je finirai surement par le sucer car je savais pertinemment quil nabandonnerait jamais mais je retardais cette échéance, laquelle je ne pus retarder beaucoup plus. Il me pinça le nez pour mempêcher de respirer et attendait bite en main, collée à mes lèvres que je nen puisse plus et ouvre ne serait-ce quun petit peu ma bouche pour reprendre de lair. Et cest ce qui se passa quelque seconde plus tard, je me retrouvais alors avec sa bite dans la bouche il mordonna donc de nouveau de le sucer mais sans mordre sinon je le regretterais (même si lui, touchait au symbole de ma virilité et de ma fierté en me traitant telle une putain, je nosais toucher au sien, nétant pas dans la position de force je craignais cette fois sérieusement les conséquences si je le faisais). Je me mis alors à sucer maladroitement cette bite encore molle mais non des moins conséquente, légèrement odorante, surplombant une paire de couilles qui pourrait faire plus dun jaloux, mais pas moi car javais été, moi aussi, bien gâté par la nature à ce niveau. Il ne fallu guère beaucoup de temps pour que sa queue se raidissent et gagne en volume, le voilà maintenant avec un sacré morceau de chaire avec lequel il explorait ma bouche jusquà ma gorge. Il le retira de ma bouche comme pour me lexposer avec fierté, et je reconnais quil en tient un meilleur morceau encore que le mien pourtant déjà très honorable. Il me gifla maladroitement avec sa bite, dun coté, puis de lautre avant de me le renfourner dans la bouche. Je le suçais maladroitement et sans envie mais à ma surprise non avec beaucoup de dégoût, il mordonnait un rythme que je ne pouvais que suivre car il me tenait une nouvelle fois par les cheveux, peu après il se retira souleva davantage sa queue et me donna ses grosses couilles à bouffer.
Il riait de satisfaction, pendant que moi le cul à lair dégoulinant de son sperme, je baissais la tête essayant doublier le mal que mon cul venait de subir
- Il est à vous, dit le capitaine à ses deux officiers en se dirigeant vers la sortie
- Et quest-ce quon en fait ? dit lun deux
Il sarrêta, se retourna, se mit à sourire et dit :
- Mais faites-en cque vous voulez
et il retroussa ses pas jusquà disparaître hors de la pièce
- Quest-ce que tu veux en faire ? dit lun des officiers
- Je nsais pas et toi ?
- Jme disais quon pourrait se faire un peu plaisir nous aussi
- Jpensais la même chose, et ils se mirent à rire ensemble
Alors que je pensais que mon calvaire était terminé, il ne létait en fait pas encore. Les deux officiers baissèrent leur pantalon et leur slip, me mirent à genoux et se mirent devant moi, moffrant chacun leur bite que je dû sucer à tour de rôle pour leur faire prendre tout leur volume. Une fois chose faite, lun deux me redressa et me refit prendre la position que javais pendant que leur supérieur me défonçait le derrière. Sans aucune mise en garde, comme son chef, il me pénétra , cette fois plus facilement que son capitaine car ayant le cul déjà grand ouvert par la bite épaisse de ce dernier et possédant un membre plus large que lofficier qui venait lui aussi de violer mon intimité, et grâce au sperme que son prédécesseur avait laissé et qui avait lubrifié mon antre. Sa queue glissait alors parfaitement en moi, mais il le faisait avec presque autant de puissance et de brutalité que son chef, faisant claquer lui aussi ses couilles contre mes fesses. Cet homme que je navais encore jamais vu jusque lors me burinait le cul tout en me fessant de temps à autre, pendant que lofficier qui assurait parfois notre surveillance me donnait son membre à sucer, celui-ci était dune taille plus honorable que celui de son coéquipier mais toujours moins que celui de son supérieur.
Je navais plus la force de me débattre ou même de faire mon insolent, je me laissais faire le cul encore endolorit mais habitué. Après de longue minutes, mais je ne saurai dire combien, ils échangèrent de place : mon enculeur venait me baiser la bouche et celui que je pompais venait à son tour découvrir mon profond derrière. Mon enculeur menculait avec toujours autant de puissance et me défonçait tout aussi violemment le cul que les deux autres en me tenant par les hanches et me fessant parfois les fesses désormais anesthésiées, pendant que je suçais toujours lautre qui me tenait, lui, par les cheveux. Après de nouvelles longues minutes je sentis que la fin approchait quand jai vu lhomme que je suçais envahit par des spasmes de plaisir dans des soupirs qui témoignaient de son plaisir, tout en se contractant de partout mais surtout de la queue. Jai tout de suite compris que le plaisir montait en lui et quil allait lexpulser. Je ne me trompais pas, une seconde plus tard il explosait de plaisir dans ma bouche, contraint davaler son sperme pour ne pas m. Lautre continuait de me ramoner le derrière quand soudain lui aussi fût emporter de plaisir, lâchant de véritables râles allant encore plus fort en moi pour enfin expulser sa semence dans de puissantes giclée que je sentais venir au plus profond de mon être. Quelques secondes de pause dans cette position, mais mon enculeur comme mon sucé avaient tout deux la bite et les couilles couvertes de sperme, ils mobligèrent alors à sucer et lécher tout ça « jusquà la dernière goutte » avaient-ils dit. « Jveux quça brille » avait même ajouté lun deux, celui que je navais jamais vu.
Une fois ma tâche finit ils me laissèrent mécrouler sur le sol. Eux se rhabillèrent et quittèrent la pièce, heureux de leur aventure. Aussitôt quile eurent fermé la porte derrière eux, je me levais avant que mes compagnons se précipitent sur moi, chose dont je navais absolument pas envie, leur assurait que ça allait bien et me dirigeait sur ma couchette avant de mendormir épuisé par tant démotions, sans même prendre la peine de me rhabiller et laissant mon cul dégoulinant de ce sperme qui mavait malgré tout légèrement excité.
La suite des évènements étaient plutôt inattendue, quoique ? En tout cas une chose est sure, jétais devenu depuis ce jour là, la vide couille officiel de ces messieurs, le garage à bite, leur putain bénévole, le prétexte de leur plaisir personnel, lexemple que tout prisonnier redoutait, le symbole de la punition par excellence , baisé par les militaires en chaleur comme par des prisonniers en rut
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