1° Nuit De Vacances
Cette fois là, juste avant de me quitter, Mish mavait fait Deux, trois jours de vacances, rien quà deux ?. Devant mon air stupide, elle avait continué : Voilà ladresse, la clé
Dans trois jours
Après-midi ?. Et elle était partie, sans vraiment attendre la réponse. Sapristi, deux, trois jours avec elle, cétait bien la première fois que lon passerait tant de temps ensemble
Un peu inquiétant, vu quhabituellement, nos rencontres étaient purement sexuelles : jignorais presque tout delle, et réciproquement
Bah, on verrait bien
Trois jours et deux cents kilomètres plus tard, avec cinq bonnes heures en retard, jinvestissais la villa : frigo plein et lit fait
Location, prêt ? Jimaginais bien ne pas être la seule relation de Mish, avec ma bonne cinquantaine et ses vingt ans de moins !
Elle arriva vingt minutes plus tard : Salut, salut ! Soif, faim, crevée, bouchons, route de m
. Elle avait déjà disparu, jentendais son babillage, qui continuait, dans le flou
Dhabitude, sa vue seule suffisait à me faire bander : là, coup de chaud, fatigue ? Rien, seulement le souvenir de son cul de rêve, ses nichons en obus, ses orgasmes à répétition, sa touffe fournie et son con chaud et ardent.
Une grillade et une bonne bouteille plus tard, allongés sur le lit, chacun une main sur le sexe de lautre, nous
nous sommes endormis ! Cest en pleine nuit quelle ma réveillé, coup de pied, poing ou coude ; jallumais la veilleuse, elle rêvait ! Sur le dos, je voyais ses paupières vibrer, ses doigts sagiter, même ses tétons semblaient sanimer
Elle me tourna le dos, une jambe allongée sur le lit, lautre pliée devant elle à léquerre, elle avait rejeté les draps; Son dos, ses reins, sa croupe attiraient mon regard.
Je me redressais, glissais vers le pied du lit ; jobservais sa raie culière, son abricot poilu. Je commençais à bander et je décidais de la réveiller, doucement, très doucement
Ma main droite glissa au dessus de sa cuisse allongée, vers sa vulve; index tendu, je caressais ses lèvres, de la touffe au périnée, insistant à chaque passage, pour mieux sy immiscer.
Son pied était arrivé contre mon torse, je passais dessous, la laissant continuer son mouvement et ses geignements, mon doigt imprégné de sa mouille ; jétais à présent assis entre ses cuisses, ouvertes à léquerre ; javais poussé une phalange dans son con, et je lexcitais de petits cercles, avant de la fourrer bien a fond, en appuyant fort, en tournant un peu droite-gauche, lui caressant le bouton du pouce. Elle avait cessé de geindre. Index toujours à fond, je changeais de position, à genoux à coté de son torse, je lui léchais les seins, agaçant ses tétons du bout des dents, mes lèvres descendaient sur son ventre, sa touffe, vers son bouton, tandis que je la ramonais maintenant de toute la longueur du doigt.
Je lui tiraillais le clito au passage, ouvrant sa moule de la pointe de la langue, remontant vers sa touffe, plongeant mon nez au plus loin vers son vagin. Elle mavait attiré au dessus delle, mes jambes sous ses bras, glisser mon gland dans sa bouche, et, une main sur mes reins, lautre à mes couilles, réglait le rythme, lamplitude de mon branle entre ses lèvres. Je lui ôtais le doigt, pour mieux introduire langue et nez dans ses petites affaires, amplifiant mouvement et pression ; dune main, je lui caressais, tiraillais, titillais un nichon
Elle avait cessé de me branler, bouche ouverte, et je sentais son ventre pulser en petite ondes
Je me relevais, et retournais magenouiller, à cheval sur une de ses jambes. Elle gisait à plat dos, bras allongés, cuisses largement ouvertes, con béant, sa mouille imbibait ses poils et le drap ; de petits mouvements de bassin appelaient à la bitte, le gode ou nimporte quoi de dur, gros et long dans son vagin
Je mallongeais au dessus delle, sur genoux et bras tendus.
Elle tentait de senfiler de suite, mais je continuais mon branlage, à petits coups de reins. Elle geignait, se caressant les seins, la motte, cherchant toujours à senfiler sur ma trique raide, son doigt descendait vers son bouton. Je la laissais se titiller un peu, puis lui glissais ma pine juste au bord
Temps suspendu, elle et moi en attente, immobiles et tendus, exacerbés.
Dune poussée, je lemmanchais lentement, inexorablement, appuyé sur un coude ; javais remonté sa cuisse libre, et je my cramponnais pour lenfiler encore plus loin, plus à fond
Jaurais voulu nêtre quun sexe, me fondre dans sa chatte, la dilater toujours plus
Je sentais son vagin se resserrer sur ma queue, et des pulsations remonter vers mon gland, étreinte jouissive, engluée de mouille. Jattendais la fin de sa jouissance, immobile, pour la baratter à grand coups de bitte, relancer son extase, ses ondes vaginales, et exploser dans son ventre en longues giclées de foutre bouillonnant
Nous nous sommes endormis, lun dans lautre, avant de nous séparer, plus tard, bite molle et con avachi
Repus. Comblés.
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