Rencontre Brutale
Cette histoire est entièrement vraie :
Je m'appelle Marc. Je conduisais un jour en ville quand soudain une jeune fille a été projetée sous ma voiture, enfin presque sous la voiture. Toujours est-t-il qu'elle a eu une fracture ouverte au tibia. Après les formalités policières dont il est ressorti que je n'étais en rien responsable, je me préoccupais du sort de cette fille. Elle était hospitalisée et j'ai pû aller lui rendre visite dès le lendemain après midi.
Elle occupait une chambre seule dans l'hôpital. Je portais des fleurs avec le naturel qu'on les hommes pour porter un bouquet, c'est à dire très mal. Je pouvais donc la voir pour la première fois, parce que la première je ne l'avais qu'entrçue. C'était une très jolie fille de 19 ans : j'en avais à peine 25, cheveux bruns très longs, yeux bleus très clairs. D'après ce que j'en apercevais elle devait être très bien faite.
Elle devait rester hospitalisée à cause de la fracture ouverte qui nécessitait encore pas mal de jour d'hospitalisation. Sa famille ne pouvait venir la voir que vers 12 heures.
Ma visite lui faisait plaisir. Nous étions jeunes et les jours passant mes visites devenaient plus intimes. Nous flirtions maintenant.
Un jour j'ai pris mon courage à deux mains et je l'ai embrassée sur la bouche. Je craignais une réaction négative. Mais elle me rendait mon baiser. Je n'arrêtais plus de l'embrasser au point que ses lèvres en étaient toutes rouges. Puis, allant de plus en plus loin je mettais une main sous les draps et m'aventurais vers un sein. Elle me laissait faire et souriait. Je caressais son sein et lui pinçais doucement le téton. Elle posait sa main sur la mienne comme pour la guider.
Le lendemain je me décidais à prendre quelques privautés : j'osais mettre mes mains bien plus bas. Sur son bas ventre et comme elle menait toujours ma main, j'ai eu la surprise de me faire guider vers son con. Je l'embrassais et lui caressais le clitoris.
A son départ nous nous avions encore peur de nous être faits surprendre. Je voulais partir, mais ma malade insistait pour que je reste encore: elle voulait me rendre la masturbation. Comme elle insistait, et que l'infirmière ne reviendrait pas, j'ouvrais mon pantalon et lui donnais ma bite sacrement bandée. Elle la prenait et avec une habileté dont je ne la croyais pas capable, elle me branlait très bien en faisant attention pour que je ne jouisse pas trop vite. Quand elle a senti que je ne tarderais plus à jouir, elle a lâché ma pine et attendu un petit moment pour reprendre après cette caresse. J'ai jouis sur le drap.
Le dernier jour de son hospitalisation elle pouvait marcher presque normalement elle me demandait de rester plus tard que d'habitude. Elle sonnait l'infirmière à qui elle disait vous étiez jeunes. Nous voulons que vous ne nous fassiez pas porter le dîner.
Avec un grand sourire, l'infirmière complice, car elle avait compris le pourquoi, nous laissait.
Je pouvais enfin voir entièrement cette fille. Grande bien proportionnée et surtout sexy.
Elle me disait : viens me déshabiller, j'ai envie de toi.
Je ne me faisais pas prier, et elle nue, je la rejoignais dans la même tenue. Je bandais très fort. Ses yeux étaient fixés sur la bite et les miens sur son bas ventre. Elle s'asseya sur le lit et m'invitait à la sucer. J'aimais faire ça, mais je ne m'attendais pas à une telle demande. Sachant bien sucer, je m'appliquais encore plus pour qu'elle ai du plaisir. En effet en jouissant elle me le dit doucement tu viens de me faire jouir.
Elle voulait me faire une fellation, mais je refusais parce que j'avais trop envie, de son con ou de son cul, peu importe.
Nous nous sommes tellement revus qu'à la fin nous nous sommes mariés.
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