Le Réveil De Ma Copine
Dhabitude, Mish prenait rendez vous trois, quatre jours avant. Toujours chez moi. Pour baiser. Ce coup là, elle est arrivée sans prévenir
. La mine défaite
Au bord du suicide ? Babillant, mais PAS comme dhabitude : ses parents, morts, sa copine, le bar, hier
. Ses propos, complètement décousus, sur un rythme hyper rapide, incompréhensible
Je lavais fait entrer, servi un verre, quelle na pas touché, PAS comme dhabitude, et son moulin à paroles, hyper
. Je ny comprenais rien. Je lavais assise dans mon salon, même pas dévêtue, je lavais écoutée, essayant, PAS comme dhabitude, de la suivre
Mi-allongée sur le canapé, elle ma fait : Tu veux baiser ?. Pas vraiment
. Mas pas prévenu
. Belle excuse, dhabitude son seul nom me fait bander comme un ours !
Elle ma quand même dégrafé le pantalon, saisit la bitte, et
. Sest endormie
Je me suis dégagé, reboutonné, lest couverte délicatement dun plaid, et lest regardé dormir
.Elle qui, dHABITUDE, semblait égrillarde, était innocence ; enjouée, triste à souhait ; je ne la reconnaissais plus.
Dhabitude, elle arrivait, la bouche pleine de potins insipides, je lui servais un verre, lemmenais sur notre terrain de sexe du moment, et nous baisions. Point et re-point. Pas de confidences, pas daveux, rien sur elle, ni sur moi, ni sur nous. En parlant sexe, pour une fois, javais eu droit à : Avec 2 hommes ? Bof, peut-être
. Avec 2 femmes ? Tassures ?. On mencule pas
. Vas en voir une autre !. Réponses lapidaires et simples.
Je la regardais, et pour la voir comme je la connaissais, fallait que je ferme les yeux
Un cul de rêve, avec des fesses fermes et rebondies, des seins en obus, quil me plaisait de durcir dune caresse, du doigt ou de la langue, une taille fine et des hanches larges, au milieu des quelles trônait une touffe rebondie et poilue, sombre comme je les aimes, un abricot pulpeux, que je faisais juter par plaisir. Et juste derrière, son vagin, ombrageux comme personne, tétanisé et préempteur, ou si large et insensible que javais limpression de tirer un tunnel
Elle dormait toujours, un visage dado, pur et encore asexué.
Elle dormait encore, et je la voyais tête sur le lit, cul en lair, pieds écartés, moule ouverte, fourrée dun index inquisiteur, ruer de plaisir dans la fouillade , une bitte branlée dans la raie, un gland dans la paume, son index remuant sur son bouton exacerbé
Et son ventre, animé dondes pulsatives, son vagin, monté en pompe aspirante, qui te serre le zob a ten r les couilles, à te tirer tout ton jus, en jets longs et brûlants, dégoulinants dans ses poils.
Elle dormait enfin, et ses rêves lui tiraient un sourire
Innocent, joyeux
Je lais revue, endormie un jour, nue sur ma couche, mattendant sans doute, rendez-vous manqué, pas-tout-à-fait , puisquelle était encore là, alanguie ! Une jambe allongée, lautre genou au ventre, couchée sur le coté, le nez dans le bras, je distinguais que son cul, et un bout de nichon, téton au repos
Dormait-elle vraiment ? Jen doute maintenant
Vite déshabillé, je métais allongé à son coté, elle toujours inerte
Javais posé une main sous son ventre, lautre prés de son téton, et entrepris de la caresser, doucement, en haut et en bas, frôlant sa vulve, son nichon, entrouvrant son con, pinçant sa mamelle. Creusant les reins, comme par réaction, elle avançait la motte vers mon doigt, sa framboise durcissait. Dormait-elle ? Demi-tournée, téton accessible à la caresse, elle était maintenant à genoux jambes pliées, écartée, en attente
Je continuais à lui titiller le téton, la vulve, écartant les lèvres, pinçant son bouton entre mes doigts, je finis par la fourrer du majeur, en tournant un peu, pour augmenter les sensations.
Me plaçant derrière ses fesses, je la mettais sur un genou, un pied à plat sur le lit, jambe verticale, tête dans les bras, reins bien creusés pour faire ressortir son con baveux et je lui enfilais ma bitte raide, grosse, exacerbée par lattente. Je la défonçais sur toute la longueur, elle aussi était prête à jouir, serrée à plaisir, en attente de mon foutre. Elle a pris son pied, écrasé ma bitte entre ses chairs, jai giclé, tétanisé comme elle, fureur du cul, de la bite, du con.
En partant, elle ma fait : Merci, merci beaucoup
Tes gentil
. Et avec son sourire HABITUEL : Dans trois jours ?
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