Au Temps De La Résistance, Objet De Plaisir Malgré Moi - Partie 2
En effet, depuis ce jour là je suis devenu lobjet des plaisirs sexuels à qui a besoin. Par exemple, deux jours après ma première punition sexuelle, et soit dit au passage, initiation aux « plaisirs » entre hommes, javais de nouveau fais preuve dinsolence. Les officiers sachant maintenant comment me punir avaient eu une idée qui leur paraissait excellente. Ils me mirent dans une autre cellule, beaucoup plus petite, où il y avait seulement 2 couchettes, je fus dabord seul, mais cela ne dure quenviron ¼ dheure, après quoi les officiers ramenèrent 5 autre prisonniers quils lâchèrent dans ma cellule après avoir lancé un « amusez-vous bien bande de salop
! ». Ces 5 hommes nétaient pas nimportant lesquels, préalablement choisis, ils étaient tous assez musclés, assez virils, sûr deux, et par les sourire quils firent en me voyant je dirai même quelque peu pervers.
En 2 ou 3 mouvements je me retrouvais nu, à genoux, contraint de sucer à tour de rôle les 5 bites qui se présentaient à moi , et jignore si cela avait été un critère de sélection dans le choix des prisonniers mais ils avaient tous une bite dune taille supérieure à la moyenne. La plus grande devait atteindre les 23 ou 24 cm et la plus petite les 17 ou 18 cm, et toutes avaient une largeur suffisamment grande pour impressionner un homo qui savait quil allait se prendre ces bites dans le cul même sil en était pas à sa première fois. Donc je suçais, , ces bites pour la plus part odorante, qui grossissait sous mes coups de langues, et dont les veines se laissaient parfois remarquées car plus ou moins saillantes. Même sil my obligeait, je métais fait à lidée de devenir leur salope et prenait même un certain plaisir à moccuper des bites de ces beaux mâles forts et virils. Certains dentre eux sembrassaient parfois pendant que jen suçais un autre, se caressaient aussi, allant même jusquà saisir la queue dun autre pour lui entretenir son érection. Des mâles, des vrais, oui, mais qui prenait un malin plaisir à se satisfaire les uns les autres, loin de cette image du pur mâles hétéro, presque répugné à voir des homos sembrasser.
De temps à autre, les officiers soffrait le bonheur de regarder mon supplice en ouvrant la trappe de la porte, regardant quelques instants avant de refermer jusquà la prochaine fois. Les visages changeaient, défilaient, tous, ou presque adorait jouer aux voyeurs, outre le fait de voir mon châtiment, voir des hommes, et qui plus est de beaux hommes virils et musclés, baiser les excitaient, je le savais, tout comme je savais quil enviait parfois ceux qui prenaient du plaisir avec moi. Et cest pour cela que parfois cétaient eux qui étaient là à leur place, mais pas trop souvent pour ne pas éveiller les soupçons, si on faisait cela cétait pour me punir en y prenant un peu de plaisir, non parce que cétait follement excitant, ils nétaient pas PD, enfin cest ce quils disaient, mais ils aimaient plus que personne prendre leur plaisir dans la bouche ou dans le cul dun mec bien gaulé.
Bref, reprenons, pendant quils continuaient de me préparer le derrière, je suçais lun deux quand soudain un autre me pénétra. Jétais baisé de toute part. Deux dentre eux navait pas pu attendre leur tour et sétaient installé sur la couchette den face pour soffrir un 69. Je les enviais, pouvoir sucer un homme (presque un nouveau plaisir, en tout cas cétait mieux de se dire cela, quitte à le faire autant apprécier, ou se dire que cest appréciable) tout en étant sucé, un plaisir double, commun et partager que se rendait mutuellement deux hommes, il ne pouvait y avoir de chose plus excitante
en effet je suçais, mais jamais je navais été sucé, en tout cas jamais par un homme, et encore moins depuis que jétais ici.
Celui que je suçais maintenant est celui qui mavait enculé quelque instants auparavant, je le sentis semporter dans son plaisir et jouir dans ma bouche cette substance si familière et si inconnu à la fois, mais que javais appris à recevoir sans dégoût aucun, au contraire avec un certain plaisir de connaitre enfin ce qui concluait la plaisir de tout homme, y compris le mien.
Après sêtre vidé de son plaisir, il se dégageait de moi me laissant enfin découvrir lhomme qui mavait fait le plaisir de me sucer, cest celui que javais trouvé le plus beau, celui que je trouvais le plus viril et le plus excitant, et accessoirement celui qui avait la plus grosse bite de nous tous.
Fou de tout cela en même temps, je ne pu tenir plus longtemps et explosais à mon tour dans des râles de plaisirs accompagnant mes puissant assauts de spermes, dont il recueilli les premiers dans sa bouche, et dont les derniers étaient venus sécraser sur mon torse et mes abdos. Enfin quelque minutes plus tard, un deuxième des 5 hommes venus se faire plaisir arriva à son but ultime et expulsa littéralement tout ce quil avait à expulser après sêtre retiré de mon cul pour inonder un peu plus mes abdos et mon torse alors bombardés de ces obus blanc-translucide et visqueux qui recouvrait maintenant tout mon tronc devenu le champs de bataille dont javais été le premier tireur, lui le second. Ils me laissèrent quelques instants de répits pour me remettre de tant démotions, lun deux en profitait pour lécher mes tétons couvert de sperme, moi jen recueillais un peu avec mon doigt pour y gouter une nouvelle fois et lapprécier chaque fois un peu plus. Puis je dû reprendre mon « travaille » car seulement deux sur les cinq avaient éjaculés. Ils me levèrent, le sperme sur moi coulait mais mexcitait aussi car mon sexe (bite et couilles) en était aussi couvert. Lun deux se couchait sur la couchette, les autres minvitèrent à lenjamber et monter sur lui, je prenais cette fois plaisir à mempaler moi-même sur cette queue, un autre se mit debout face à moi et moffrait sa trique aussi belle que celle des autres. Tout en descendant et montant sur la queue qui me limait le cul je suçais cette bite un peu maladroitement à cause des mouvements que je faisais mais néanmoins avec brio si jen crois les manifestations du plaisir quil me destinait et les encouragements de lui-même et des autres.
Je commençais par le sucer un petit peu, pour lui redonner toute la vigueur dun bite plus excité que jamais, vigueur quil avait très légèrement perdu à attendre son tour, jen profitais aussi pour moccuper de ses couilles, grosses, pleines et moyennement velues comme celles de tous les autres, des miennes, et des trois militaires dont javais eu à moccuper jusque là. Au bout de 5 min je me retournais et lui offrait mon cul lui disant de se faire plaisir. Dabord à quatre pattes sur la couchette et plus tard debout mais largement cambré en avant. Mon cul grand ouvert et parfaitement lubrifié par le sperme il entra aussitôt et avec facilité malgré sa bite plus longue et plus grosse et il commença un va-et-vient dabord raisonnable. Mon cul maintenant habitué à lintrusion dune bite, je ne pouvais me contenter de cela, jen voulais alors plus :
- Vas-y encule-moi comme un homme un vrai, encule-moi jte dis, plus fort, lui gueulais-je presque
- Si cest cque tu veux mon salaud tu nva pas être déçu
me dit-il avant de commencer un va-et-vient vif et intensif. Cest alors quil sest mis à me buriner le cul aussi puissamment quil le pouvait, venant buter contre mes fesses à chacun de ses coups et faisant claquer ses couilles sur mon derrière quil tenait avec fermeté.
- Oui ! oui ! encore ! oh oui continue ! plus fort
râlais-je
- Ah oui taime ça espèce de salop va ! taime ça te faire défoncer le cul par une grosse bite comme la mienne, me dit-il me butant toujours aussi fort contre mes fesses et me cramponnant toujours aussi fermement par les hanches
- Oh OUI !!!
- Ah oui taime ça la bite, taime ça te faire ouvrir le cul, tiens prend toi ça, ajouta-t-il en senfonçant toujours plus fort en moi et en me fessant pour la première fois, taime ça hein
!?!
Moi je continuais de râler et cest vrai que je prenais un plaisir fou, jétais le premier surpris de ce plaisir, de ma demande, de mon comportement mais jaimais ça. La scène devenait un peu plus sauvage mais nétait en rien bestiale, même sil me fessait maintenant de temps en temps, il ne le faisait pas de la même façon que le faisait les militaires 2 jours plus tôt, là ça avait un tout autre sens et ne faisait quamplifier le plaisir : le sien de me dominer, le mien dêtre sous SA domination. Après sêtre enfoncer une dernière fois puissamment en moi et mavoir fessé il se retira et me retourna. Allongé sur la deuxième couchette, les jambes en lair et largement écartées, il se réintroduisit dun coup sec en moi, marrachant un cri de douleur et de satisfaction. Puis il continua de me labourer au mieux quil le pouvait, mon plaisir était tel que ma queue avait repris la vigueur de ses plus belles érections sans même lavoir touchée. Ses couilles continuais de claquer à chaque puissant coup de butoir quil moffrait , jadorais ça sentir et entendre des couilles claquées contre moi en même temps quune bite senfonçait en moi. Il continuait de me transpercer avec sa colonne de chair, imbibée de sang, et plus dure que des os, une colonne de 24 cm de longueur et de plus de 6 cm de largeur qui disparaissait en moi pour venir chatouiller mes profondeurs et stimuler ma prostate comme elle ne la jamais été. Me baisant toujours aussi fort, mes râles se confondaient aux siennes quand tout à coup il minfligea les derniers mais violant coup de butoir avant de sortir de moi, alors je compris ce quil me restait à faire pour le faire voyager à cent mille lieu. Je magenouillai et après avoir rapidement bouffé ses couilles je pris une nouvelle fois sa bite en bouche pour le sucer tout en le branlant du mieux et du plus intensément que je pouvais pour ne rien faiblir de son plaisir. Quelques secondes plus tard, il moffrit une quantité de sperme tout aussi impressionnante que le plaisir que javais pris aujourdhui, que je savourais avec jouissance, accompagnée de cris qui en disaient long sur son plaisir et je naurai pu rêver de plus belle récompense. Je le léchais et le suçais jusquà la dernière goutte mais cette fois avec plaisir. Et quelle ne fut pas ma surprise ? il ne débandait pas, il en voulait encore, il en avait encore. En regardant autour de moi je vis que tous les autres avait aussi reprit de leur vigueur sans compter que moi aussi je bandais toujours comme un fou. Donc après que chacun ait rapidement fait un dernier petit tour dans ma bouche, je me suis allongé au centre de la pièce, eux à genoux tout autour de moi se branlaient, je faisais de même, et ainsi nous attendions que le plaisir vienne encore une fois et quil se déverse sur moi. Il fallu quand même plusieurs minutes pour que le premiers se lâche sur mon torse, mais il fut le signal de tire pour les autres et moi-même. Un autre suivi rapidement, puis se fut au tour de mon préféré, puis un autre, puis moi et enfin le dernier. Tous sétaient vidés sur moi, moi-même je métais éjaculé dessus. Jen avais partout : sur les cuisses, la bite et les couilles, les abdos, le torse, le visage, et bien sur les bras en particulier celui avec lequel je me branlais , jen étais recouvert mais je trouvais la situation excitante pour ne pas dire plaisante (même si cest vrai que jignorais encore ce que jallais en faire). On prit quelque instant pour se remettre, cette fois tout le monde avait débandé et heureusement parce que même si jy avais pris du plaisir jétais aussi épuisé.
je commençai à me masser les pectoraux, étalant et mélangeant tout les spermes entre eux et avec les poils qui couvraient ma peau, et je léchais cette main alors couverte de sperme. Ils se mirent donc à faire de même, léchant parfois eux-mêmes leur main, parfois en me la donnant à lécher. Parfois aussi ils faisaient de même avec leur bite et leurs couilles me les donnant aussi à lécher mais juste pour les nettoyer du sperme, sans vraiment les sucer, leurs bites ne revinrent dailleurs pas en érection. Quel bonheur de lécher ses couilles couvertes de sperme, du leur, du mien, humm !!! Parfois aussi, cest eux qui membrassaient et me léchaient le corps pour me nettoyer du sperme, venant 2 fois sur 3 membrasser ensuite à pleine bouche pour men faire partager. Finalement je neux plus rien sur moi que leur salive et le sperme qui avait séché collant parfois plusieurs poils entre eux ou donnant un aspect brillant à ma peau.
Pour finir ils se rhabillèrent, me remercièrent en membrassant une dernière fois et tapèrent sur la porte en criant quils avaient fini. Un garde leur ouvrit et ils furent reconduits à leur cellule respective. Je suis resté un instant couché là par terre, soufflant tous mes émois, jusquà ce quun officier entre et me trouve là, encore nu, la bite tombante sur un coté, mes yeux perdus dans lémotion de mes souvenirs récents et
le cul encore ouvert.
Il mordonne en criant de me relever, je lui dis dun air si calme quil est si étonné quil na rien à me répondre
- Svp, attendez encore un instant, je ferai tout ce que vous voudrez, vous pourrez me faire tout ce que vous voudrez mais svp attendez encore un instant
- Daccord je reviens dans 5 min mais cest bien parce que tu viens de te faire défoncer par 5 bruts, dit-il après un long silence.
Je riais en moi car les bruts comme il les appelait avaient été plutôt doux avec moi sauf quand je leur avais demandé dy aller plus fort, mais eux mavais offert un plaisir dune telle intensité, que jamais je navais connu jusquà aujourdhui.
5 min plus tard il revint, mordonna de nouveau de me relever, ce que je fis, puis de me rhabiller. Une fois que jeu mis mon slip et mon pantalon, il passa son doigt sur un coin de mon pectoral gauche encore légèrement mouillé, le renifla dun air interrogateur, et me dit en le tendant légèrement vers moi :
- Cest
euh
- Du sperme oui, vous pouvez le dire
- Ah daccord cest pour ça que tas les poils comme ça sur le torse et les abdos parce quils tont tous
tous éjaculés dessus, ajouta-t-il avant que jeus le temps de finir sa phrase.
Je baissais la tête comme résigné, pour continuer de leur faire croire à la fatalité quil croyait déjà, puis je pris sa main et léchai le bout de son doigt pour prédire ce quil aurait peut-être demandé.
- Aller, rhabilles-toi
Et je ma rhabillais sous ses yeux avant quil memmène vers ma cellule dorigine, enfin cest ce que je croyais, mais quand on prit une direction autre je dis :
- Vous ne me ramenez pas dans la cellule avec mes amis
- Si ! mais je crois quune petite douche avant ne serait pas trop demandée
Je souriais en guise de remerciement et ajoutais :
- Pourquoi vous êtes si gentil avec moi, tous vos coéquipiers mauraient pris par les cheveux sans me laisser les 5 min que vous mavez accordée, mauraient trainé jusquà ma cellule probablement encore à poil et sans passer par la case douches
- Parce que je ne suis pas tous les autres
- Que Dieu vous en remercie
- Vous savez ce nest pas parce que je fais parti de cette armée que je cautionne toutes leurs idées et encore moins toutes leurs méthodes
- Et quil vous réserve une place en or à ses cotés
- Aller, dépêchez-vous, me dit-il et me lâchant le bras quil tenait jusque lors, vous avez cinq minutes
Alors je mempressais de me déshabiller de saisir un vieux savon posé sur un rebord et de faire couler leau issue de canalisations en métal gris et raccrochées au plafond, sur moi. Je profitais de cet instant, il était le premier depuis que jétais ici, mais je noubliais pas de me dépêcher car je ne pense pas que tous ses supérieurs cautionne ma petite douche et étant donné sa gentillesse je ne voulais pas risquer de le faire passer un mauvais moment dautant plus que quelquun comme lui pourrait être bien utile ici. 5 minutes plus tard jétais lavé, essuyé (grâce à une serviette posé dans un coin quil me tendit, elle avait probablement déjà servie mais je ne pouvais pas être dans un pire état que celui où jétais avant) et habillé. Il me ramena alors jusquà ma cellule auprès de mes camarades qui se précipitèrent sur moi dès mon arrivée pour me demande si ça allait. Etant donné le temps où javais été absent leur inquiétude avait été grandissante. Je leur dis simplement quils mavaient fait mallonger nu dans une pièce, et plusieurs hommes sétaient succédés pour se branler près de moi et éjaculer sur moi. Au final ils mavaient autorisé une douche. Ils étaient alors rassurés.
Quant à moi je me couchais et mendormais rapidement, je dormais jusquau petit matin, où je fus réveillé par un officier en manque qui venait dapprendre que jétais devenu la salope de service. Sen suivit une simple petite pipe, finalisée par une dose de sperme que je reçu en bouche et que je dû avaler mais cela ne me faisait désormais ni chaud, ni froid , dautant que comme à chaque fois maintenant celui qui voulait satisfaire une envie (que ce sois militaire ou prisonnier) me faisait amener ou memmenais ailleurs que dans ma cellule. Seul le capitaine de la première fois restait souvent dans ma cellule pour me faire subir ses envies occasionnelles.
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