En Vacances : La Douche

En me réveillant, le lendemain matin, je craignais un peu…. Nos ébats nocturnes m’avaient laissé… comblé, certes, mais sexuellement mou… vidé ; plus aucune envie, pour l’instant. Mish s’était levée un peu plus tard, m’avait rejoint devant le petit déj, complètement à poil ; je l’admirais sans retenue, mais plutôt comme une œuvre d’art que comme une fille de sexe… Elle aussi paraissait détendue, presque innocente, malgré sa nudité… Plus d’attitudes, petits riens sensuels, qui avaient le don de m’exacerber, même au téléphone, souvent “T’es habillé, toi ?“. Tu parles, juste un short, pour dissimuler mon sexe… ridiculement petit ! Bon, compris, à poils aussi… Mish semblait ignorer totalement mon sexe avachi, déjeunait tranquille, puis décréta :
“Bronzette“, avant d’aller s’allonger sur la terrasse, pour une fois silencieuse, se retournant face-dos avec ponctualité…L’opération bronzage paraissait vitale ; j’observais son corps superbe du coin de l’œil, peut-être comme je ne l’avais jamais fait, l’œil d’un esthète, et non d’un amant… La journée s’est passée ainsi, entrecoupée des repas, mais dans le farniente, y compris sexuel, le plus complet…
Le soir, mon regard devenait autre… Elle aussi semblait “en forme“… Tous ses gestes prenaient de l’amplitude, de la sensualité, et elle avait repris son babillage incessant ; nous buvions un peu de vin, elle s’était levée : “Douche ! Viens me savonner le dos !“ et m’avait empoigné par la bitte, déjà raide depuis quelques temps ; l’une devant, tirant plus ou moins l’autre, derrière, l’initiative lui appartenait, et je ne pouvais que lui caresser les fesses, sacré petit cul, rebondi et ferme, et qu’elle agitait lascivement, comme pour me narguer. Arrivés sous la douche, je tentais de l’enlacer : “Non, savon d’abord“ ; nous nous étions mouillés, et eau fermée, elle m’a tendu le savon. J’ai donc commencé, par le dos, jusqu’au ras des fesses, l’ai fait pivoter, enduisant de mousse ses épaules, ses seins, ses bras, descendant vers son pubis, jusqu’à sa touffe…Elle se prêtait au jeu, portant vers le savon ce que je caressais….

Je me suis accroupi, et repartant des pieds, remontais à l’extérieur des cuisses, l’arrière des fesses ; redescendant encore je remontais cette fois à l’intérieur des jambes, à ras de la moule, que j’évitais soigneusement de toucher… Elle portait maintenant la touffe en avant, en attente de caresses plus incisives, genoux écartés, offerte… Passant entre ses cuisses, je lui remontais le savon dans la raie, en insistant sur son oeillet, la cambrant encore plus vers moi. Elle avait posé les mains sur la tête, en attente, offrande vivante… Je lui frottais le périnée, évitant soigneusement sa vulve, remontais par un pli de laine jusqu’à sa motte, que je shampooinais vigoureusement, puis descendais très lentement vers ses lèvres, son bouton, que je caressais doucement, du bout du savon ; elle se tendait en avant, arquée à l’extrême. Je me relevais, empoignais une extrémité de la savonnette et lui fourrais l’arrondi au bord du vagin. Du poing, je lui repoussais la motte, tout en titillant un de ses tétons, l’étirant, le roulant entre pouce et index. Je remontais doucement le savon, entrouvrant sa vulve, aplatissant son bouton, pour redescendre, et recommencer… Elle haletait de plaisir, les mains toujours sur la tête, tétins érigés… Je lui tendais le savon, un sourire un peu sadique aux lèvres : “A toi !“. “Ouais…“. Et elle m’a savonné rapidement de partout en évitant soigneusement ma bitte et mes couilles, puis s’est agenouillée, avant de frôler ma queue du savon, comme en longs coups de pinceau. Je bandais comme un ours, et lui tendais désespérément mon zob, cherchant un contact plus fort. Elle avait cessé son badigeonnage, s’était enduite les mains de mousse, et avait saisi mon gland déjà décalotté à trois doigts, pouce-index-majeur. Doigts qu’elle faisait tourner, glisser, monter descendre, autour de la couronne, sur la pointe, variant vitesse et pression ; je devenais fou, au bord de l’explosion…
“Alors, c’était bien ?“. Elle m’avait lâché, et me regardait, avec un sourire ironique.
“Bon, rinçage…“. Eau rouverte, elle m’a empêchée toute privauté, et nous sommes rincés et essuyés rapidement… Elle m’avait emmené sous la douche, je pouvais la ramener au salon : lui tournant le dos, je lui plantais d’office mon index dans le con, en hameçon, en la soulevant un peu, trois doigts sous la cuisse, pouce au bouton. “Ahhh…. Salaud…“. Et l’un tirant, cette fois, l’autre, je l’emmenais jusqu’au canapé, suintante de mouille. Je l’avais lâchée, saisie aux nichons, et poussée, cul contre l’accoudoir, puis à moitié allongée dessus.
Reins posés, une jambe allongée, je lui plaçais l’autre sur les coussins, con béant, cuisses ouvertes. Elle se caressait le torse, son ventre ondulait de bas en haut, elle était prête à jouir… Et moi, à la faire rebondir, elle pouvait ainsi aller de jouissance en jouissance, jusqu’au grand orgasme. Je lui plaçais les mains sous les fesses, et les lui faisais écarter ; elle gardait la pose, en me baissant, je pouvais voir sa rosette vibrer au rythme de ses mouvements de moule, participer à son premier orgasme. Je lui caressais le trou du cul, doucement, en suivant ses balancements, remontais au bord de sa fente et la fourrais, poussant lentement, très lentement mon majeur dans son vagin, en tournant de droite et gauche. Elle se serrait sur mon doigt, elle râlait, raidie, tête ballante, cul ouvert… J’agitais doucement mon doigt, la laissant finir de s’envoyer en l’air… Elle s’était relâchée, béante, immobile, bras pendant, yeux fermé. Je me plaçais à son coté et lui caressais doucement le torse, l’entre seins, du bout de l’ongle, le nombril, la touffe, l’intérieur de cuisses. Je la bécotais, aussi, délicatement, en évitant son sexe, j’attendais qu’elle se réveille au plaisir… A chaque réaction, j’intensifiais mes caresses, je pouvais maintenant lui sucer le con, le bouton, et lui presser les nichons, durcir ses tétons, elle était repartie, resserrée, ondulante, en attente de branlage, de doigt, de nez, de langue, pour jouir encore, et se relâcher, jouir encore, en spasmes de plus rapprochés.
Elle y était… Je l’avais broutée, branlée, caressée, tiraillée, et je n’en pouvais plus de désir, d’envie de la foutre infiniment. Je repassais devant elle, entre ses jambes luisantes de mouille, empoignais ma bite, et la caressais, du bout du gland, de la touffe à l’oeillet, plusieurs fois, pour lui faire sentir l’approche de ma queue, bien grosse, bien dure, affamée de con. Elle tendait sa motte, cherchant la pénétration, le grand ramonage, en geignant ; je lui étirais encore un peu les tétins, pouce-index, pour la voir s’arquer sous mes doigts, bandée du haut et du bas. Je plaçais un pied de chaque coté de sa jambe allongée, et je pointais le bout mon gland a son entrée ; elle était très serrée, trop serrée ; je glissais mon bras sous son autre cuisse, comme abandonnée sur le canapé, la faisait pivoter de trois-quarts, et forçais, lentement, pour la pénétrer, du gland, lui faire entrer ma couronne… Je déflorais mon éternelle pucelle, sur toute la longueur du vagin, la bitte conquérante. Elle râlait…. Je poussais du cul, tirant sa cuisse à moi, la défonçant peu à peu, inexorablement. Elle n’était plus qu’orgasme, toute agitée de tremblements. Je sentais, sur ma tige à peine rentrée, son anneau m’aspirer, alors que mon dard lui écartelait les muqueuses. Je poussais toujours, jusqu’à avoir la trique bien à fond, nos poils mêlés, mes couilles gonflées à son cul, et je la secouais, pour la pénétrer encore, mon bout dans ses ovaires. Elle me pompait, en petites ondulations régulières, de la racine à la pointe, je sentais mon zob raidir encore, et gonfler, prêt à cracher. L’amplitude des ondulations augmentait, comme si elle avait voulu m’arracher la bitte et la mâcher dans son ventre. J’avais saisi une de ses mamelles entre les dents, avant de jouir, me vidant les couilles douloureuses, à longues giclées de foutre chaud, l’inondant de mes jets interminables… Quand, bite molle, je l’ai défourrée, elle s’est avachie au pied du canapé, et sa liqueur et mon sperme mêlés gouttaient de sa moule élargie.

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