En Vacances : La Douche
En me réveillant, le lendemain matin, je craignais un peu
. Nos ébats nocturnes mavaient laissé
comblé, certes, mais sexuellement mou
vidé ; plus aucune envie, pour linstant. Mish sétait levée un peu plus tard, mavait rejoint devant le petit déj, complètement à poil ; je ladmirais sans retenue, mais plutôt comme une uvre dart que comme une fille de sexe
Elle aussi paraissait détendue, presque innocente, malgré sa nudité
Plus dattitudes, petits riens sensuels, qui avaient le don de mexacerber, même au téléphone, souvent Tes habillé, toi ?. Tu parles, juste un short, pour dissimuler mon sexe
ridiculement petit ! Bon, compris, à poils aussi
Mish semblait ignorer totalement mon sexe avachi, déjeunait tranquille, puis décréta :
Bronzette, avant daller sallonger sur la terrasse, pour une fois silencieuse, se retournant face-dos avec ponctualité
Lopération bronzage paraissait vitale ; jobservais son corps superbe du coin de lil, peut-être comme je ne lavais jamais fait, lil dun esthète, et non dun amant
La journée sest passée ainsi, entrecoupée des repas, mais dans le farniente, y compris sexuel, le plus complet
Le soir, mon regard devenait autre
Elle aussi semblait en forme
Tous ses gestes prenaient de lamplitude, de la sensualité, et elle avait repris son babillage incessant ; nous buvions un peu de vin, elle sétait levée : Douche ! Viens me savonner le dos ! et mavait empoigné par la bitte, déjà raide depuis quelques temps ; lune devant, tirant plus ou moins lautre, derrière, linitiative lui appartenait, et je ne pouvais que lui caresser les fesses, sacré petit cul, rebondi et ferme, et quelle agitait lascivement, comme pour me narguer. Arrivés sous la douche, je tentais de lenlacer : Non, savon dabord ; nous nous étions mouillés, et eau fermée, elle ma tendu le savon. Jai donc commencé, par le dos, jusquau ras des fesses, lai fait pivoter, enduisant de mousse ses épaules, ses seins, ses bras, descendant vers son pubis, jusquà sa touffe
Elle se prêtait au jeu, portant vers le savon ce que je caressais
.
Je me suis accroupi, et repartant des pieds, remontais à lextérieur des cuisses, larrière des fesses ; redescendant encore je remontais cette fois à lintérieur des jambes, à ras de la moule, que jévitais soigneusement de toucher
Elle portait maintenant la touffe en avant, en attente de caresses plus incisives, genoux écartés, offerte
Passant entre ses cuisses, je lui remontais le savon dans la raie, en insistant sur son oeillet, la cambrant encore plus vers moi. Elle avait posé les mains sur la tête, en attente, offrande vivante
Je lui frottais le périnée, évitant soigneusement sa vulve, remontais par un pli de laine jusquà sa motte, que je shampooinais vigoureusement, puis descendais très lentement vers ses lèvres, son bouton, que je caressais doucement, du bout du savon ; elle se tendait en avant, arquée à lextrême. Je me relevais, empoignais une extrémité de la savonnette et lui fourrais larrondi au bord du vagin. Du poing, je lui repoussais la motte, tout en titillant un de ses tétons, létirant, le roulant entre pouce et index. Je remontais doucement le savon, entrouvrant sa vulve, aplatissant son bouton, pour redescendre, et recommencer
Elle haletait de plaisir, les mains toujours sur la tête, tétins érigés
Je lui tendais le savon, un sourire un peu sadique aux lèvres : A toi !. Ouais
. Et elle ma savonné rapidement de partout en évitant soigneusement ma bitte et mes couilles, puis sest agenouillée, avant de frôler ma queue du savon, comme en longs coups de pinceau. Je bandais comme un ours, et lui tendais désespérément mon zob, cherchant un contact plus fort. Elle avait cessé son badigeonnage, sétait enduite les mains de mousse, et avait saisi mon gland déjà décalotté à trois doigts, pouce-index-majeur. Doigts quelle faisait tourner, glisser, monter descendre, autour de la couronne, sur la pointe, variant vitesse et pression ; je devenais fou, au bord de lexplosion
Alors, cétait bien ?. Elle mavait lâché, et me regardait, avec un sourire ironique.
Bon, rinçage
. Eau rouverte, elle ma empêchée toute privauté, et nous sommes rincés et essuyés rapidement
Elle mavait emmené sous la douche, je pouvais la ramener au salon : lui tournant le dos, je lui plantais doffice mon index dans le con, en hameçon, en la soulevant un peu, trois doigts sous la cuisse, pouce au bouton. Ahhh
. Salaud
. Et lun tirant, cette fois, lautre, je lemmenais jusquau canapé, suintante de mouille. Je lavais lâchée, saisie aux nichons, et poussée, cul contre laccoudoir, puis à moitié allongée dessus.
Reins posés, une jambe allongée, je lui plaçais lautre sur les coussins, con béant, cuisses ouvertes. Elle se caressait le torse, son ventre ondulait de bas en haut, elle était prête à jouir
Et moi, à la faire rebondir, elle pouvait ainsi aller de jouissance en jouissance, jusquau grand orgasme. Je lui plaçais les mains sous les fesses, et les lui faisais écarter ; elle gardait la pose, en me baissant, je pouvais voir sa rosette vibrer au rythme de ses mouvements de moule, participer à son premier orgasme. Je lui caressais le trou du cul, doucement, en suivant ses balancements, remontais au bord de sa fente et la fourrais, poussant lentement, très lentement mon majeur dans son vagin, en tournant de droite et gauche. Elle se serrait sur mon doigt, elle râlait, raidie, tête ballante, cul ouvert
Jagitais doucement mon doigt, la laissant finir de senvoyer en lair
Elle sétait relâchée, béante, immobile, bras pendant, yeux fermé. Je me plaçais à son coté et lui caressais doucement le torse, lentre seins, du bout de longle, le nombril, la touffe, lintérieur de cuisses. Je la bécotais, aussi, délicatement, en évitant son sexe, jattendais quelle se réveille au plaisir
A chaque réaction, jintensifiais mes caresses, je pouvais maintenant lui sucer le con, le bouton, et lui presser les nichons, durcir ses tétons, elle était repartie, resserrée, ondulante, en attente de branlage, de doigt, de nez, de langue, pour jouir encore, et se relâcher, jouir encore, en spasmes de plus rapprochés.
Elle y était
Je lavais broutée, branlée, caressée, tiraillée, et je nen pouvais plus de désir, denvie de la foutre infiniment. Je repassais devant elle, entre ses jambes luisantes de mouille, empoignais ma bite, et la caressais, du bout du gland, de la touffe à loeillet, plusieurs fois, pour lui faire sentir lapproche de ma queue, bien grosse, bien dure, affamée de con. Elle tendait sa motte, cherchant la pénétration, le grand ramonage, en geignant ; je lui étirais encore un peu les tétins, pouce-index, pour la voir sarquer sous mes doigts, bandée du haut et du bas. Je plaçais un pied de chaque coté de sa jambe allongée, et je pointais le bout mon gland a son entrée ; elle était très serrée, trop serrée ; je glissais mon bras sous son autre cuisse, comme abandonnée sur le canapé, la faisait pivoter de trois-quarts, et forçais, lentement, pour la pénétrer, du gland, lui faire entrer ma couronne
Je déflorais mon éternelle pucelle, sur toute la longueur du vagin, la bitte conquérante. Elle râlait
. Je poussais du cul, tirant sa cuisse à moi, la défonçant peu à peu, inexorablement. Elle nétait plus quorgasme, toute agitée de tremblements. Je sentais, sur ma tige à peine rentrée, son anneau maspirer, alors que mon dard lui écartelait les muqueuses. Je poussais toujours, jusquà avoir la trique bien à fond, nos poils mêlés, mes couilles gonflées à son cul, et je la secouais, pour la pénétrer encore, mon bout dans ses ovaires. Elle me pompait, en petites ondulations régulières, de la racine à la pointe, je sentais mon zob raidir encore, et gonfler, prêt à cracher. Lamplitude des ondulations augmentait, comme si elle avait voulu marracher la bitte et la mâcher dans son ventre. Javais saisi une de ses mamelles entre les dents, avant de jouir, me vidant les couilles douloureuses, à longues giclées de foutre chaud, linondant de mes jets interminables
Quand, bite molle, je lai défourrée, elle sest avachie au pied du canapé, et sa liqueur et mon sperme mêlés gouttaient de sa moule élargie.
admin
Jan. 31, 2023
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