La Balancelle De Salon
Avec lhiver, arrivait le temps des feux de bois au salon
Mish et moi avions déjà testé la baise sur le tapis, devant linsert ; je devais trouver autre chose, et jen avais lidée
Quelques jours plus tard, a son arrivée, elle remarquait immédiatement mon invention : un simple cadre de bois, tendu de Jeans et suspendu à la poutre par quatre cordages, une balancelle rustique sans dossier, en quelque sorte
Mais à inclinaison réglable, quand même, grâce à deux petites poulies astucieuses.
Toujours prolixe en babillage et lapidaire en commentaires, elle me fit : Heureusement que cest rustique, ici, sinon ça ferait tâche
. Et elle sinstallât tout en reprenant son monologue, se balançant du bout des pieds
Vêtue dun jeans et dun petit chemisier, déjà entrouvert, jadmirais ses formes tout en lui servant un verre
Elle était magnifique, fine et sportive, des seins en obus, tétons vite hérissés, un cul de rêve, bref un canon ! Boisson terminée, elle était maintenant allongée sur mon relax, les genoux au bas du cadre, les jambes seules dépassant.
Je me postais à coté delle, toujours babillante, et lui caressait le buste, à travers le chemisier : elle ne portait pas de sous-tifs , et sûrement pas de culotte non plus, comme à chacune de nos rencontres
Mes doigts se glissaient à présent dans léchancrure du chemisier, je la griffais légèrement entre les nichons, descendais jusquaux tétons, que je roulais entre deux doigts
Je déboutonnais entièrement le chemisier, et le tirais de son pantalon ; elle gisait torse nu, bras allongés ; masseyant sur un tabouret bas, je lui léchais le ventre de dessous ses nénés jusquà la ceinture du jeans que je dégrafais, et le déboutonnais dans la foulée
Elle fit un geste pour ôter le futal, je larrêtais : Non, attends un peu, ça va être plus rigolo
. Et je passais une main sous la toile du relax ; en réalité, celle-ci était partagée en deux dans le sens de la longueur, fendue entre les jambes jusquau bas du dos
.
Bouges pas !. Me levant, je passais devant, attrapais le jeans par le bas, et le jetais à coté, ainsi que ma robe de chambre
Je bandais dur, et Mish, maintenant silencieuse, observait lobjet
de ses envies, sourire concupiscent aux lèvres, loeil brillant ; revenant à coté delle, je repris mes caresses, une main pour son torse, lautre, par-dessous, pour ses cuisses
Mes doigts du haut papillonnaient de ses lolos jusquau bord de sa touffe, bien fournie comme jaime, ceux du dessous erraient de la pliure des genoux jusquà quelques centimètres de sa vulve
Que jévitais soigneusement de toucher, je savais que lattente lexcitait encore plus.
Son ventre se contractait maintenant en petites ondes, cuisses ouvertes en offrande
Elle devait mouiller sérieusement
Je plaquais mon index tendu sur sa vulve : Ha ! et le pivotant légèrement, lui entrouvrais les lèvres, puis, montant et descendant lui plaçais un branlage externe en règle. Ma main du dessus sétait faite plus possessive, sactivant des tétons durcis jusquau bord de sa fente, hérissant son clito à chaque passe
Elle gémissait, ondulait des hanches, je lui enfonçais mon index dans le con, bien à fond, en butée, tournais un peu, agitais les phalanges
Elle était chaude, pas loin de partir
Je sentais son vagin pulser autour de mon doigt, agité dune vie propre
Je sortais mon index du dessous, la fourrais à nouveau de celui du dessus, et relevais le relax plus horizontal. Debout, je me plaçais à cheval sur une de ses cuisses, lindex toujours planté dans sa vulve. Javais la bite à bonne hauteur, et bien bandante, bien grosse, allongée par lattente ; la pliant devant moi, je la glissais au bord de son abricot juteux, ajustais la fente, gland juste au bord, en appuis
Elle sétait crispée dans lattente de la pénétration
Je laissais mijoter, je savais quelle se resserrait, je voulais la défoncer, lempaler sur ma queue, et la forcer de toute la grosseur de mon vit.
Javais attrapé les cordages du relax, prêt à lenfilade ; Mish tentait maintenant de se fourrer elle-même, essayant de balancer le relax, que je maintenais toujours
Puis, je laissais faire, mon gland avait disparu dans son con, elle narrivait plus à aller plus loin, elle magitait le chibre de ses soubresauts, les yeux révulsés, tête ballante
Tirant les cordes, je lenfilais lentement, la dilatant centimètre par centimètre, jusquà avoir mes couilles dans son entre jambes ; je tirais encore, la pénétrant au plus profond, le gland dans ses ovaires, puis je la pistonnais à tous petits coups rapides
Je sentais ses muscles se resserrer sur ma queue, elle allait jouir, elle cherchait à me faire partir avec elle
Javais sacrement envie de la foutre, mais javais encore dautres projets
Et de plus jadore de temps à autre ladmirer jouir, me concentrer sur toutes ses attitudes, ses mouvements, ses rictus, son plaisir
Je me retirais en hâte et la fourrais de deux doigts, index et majeur, pouce au clito
Elle avait encore écarté les genoux, con béant, sa tête roulait, yeux fermés, elle propulsait le pelvis en avant pour accroître encore la pénétration, et je la sentais me serrer, maspirer les doigts, gémissante
De lautre main, je mactivais sur ses lolos, massant, soupesant, pinçant, tournant, étirant. Et lextase arriva
Crispée, tendue comme un arc, reins creusés, elle jouissait, encore et encore, comme en attente de foutre ; je la pistonnais activement, à grands mouvements amples, repoussant sa motte de la commissure du pouce à chaque aller, ne laissant quune phalange à chaque retour
Elle avait finit de jouir, immobile enfin, sauf quelques contractions, encore, et je sentais sa moule se relâcher, se détendre ; mes doigts étaient libres
Il fallait maintenant que je la fasse repartir
Je lâchais ses nénés, ôtais mes doigts ravageurs, et recommençais de douces et longues caresses externes, ventre, seins, cuisses, touffe, bord des lèvres
Elle était toujours immobile, sans réactions.
Attends, le reste va suivre, tu vas voir ! Viens.
Je la relevais, ôtais son chemisier, la retournais et lui collais ma bitte au creux de fesses, la tirant par les hanches ; elle sétait collée à ma queue, légèrement penchée en avant, elle me branlait dans sa raie ; saisissant un sein, jen excitais le bout, en roulade, lallongeant entre pouce et index
Bon, je vois que tu es prête, changement de position !. La poussant en avant dun bon coup de trique, je lapprochais du relax, que je pivotais, plaçant la barre du bas à hauteur de son ventre, et je la penchais en avant
Elle a très vite compris, sinclinant pour se coucher, inclinée, face sur la toile, cul en lair, pieds au sol, elle cramponnait de chaque main les suspentes devant elle.
Javais saisi un tabouret, et javais maintenant la bouche à bonne hauteur pour lui sucer le con, la raie et même le trou du cul
. Elle refusait de se faire enculer, mais semblait prendre plaisir à ces petits jeux. Je lui écartais les genoux et jouais de la langue
Elle mouillais à nouveau, abondamment, et haletait fortement, projetait le relax en arrière pour se faire fouiller plus profond. Tout en continuant mes lèches, je montais une main vers sa motte, lui trifouillais les poils, glissant doucement vers sa vulve, massant le clito au passage
Mon index au bord de la fente, je la titillais un peu, lempêchais de senficher
Allez, elle était presque bonne
Je me relevais, index en veille : Ca fait aussi balançoire à levrette, si tu lèves les pieds !.
Ce jeu avait assez duré
Au retour suivant, je tirais un peu plus en arrière
Et la laissais repartir, sans mon doigt
Ah !
Salaud !!!. Je la laissais penduler, mon index heurtait ses lèvres à chaque balancement, quelle accentuait à grands coups de reins. Elle sexcitait, je pouvais voir sa mouille lui couler sur les poils
Jattendais encore un peu, quelle soit bien vide, resserrée, en attente de la bourrade finale. Jarrêtais la balançoire, lui caressant les fesses, la raie jusquau trou du cul, le bord de labricot.
Tes prête ? A zut, moi pas ! Je suis tout mou !. Humour, je bandais comme un cerf ! Jattrapais ma bitte et lui collais sous la chatte, à lhorizontale, pour me branler sur ses lèvres, et la faire attendre encore un peu. A chaque coup, mon gland heurtait sa touffe, alors quelle tentait en vain de se la mettre, bloquée par la balançoire
Mets la, mets la, je vais partir, mets la
. Devait être temps en effet, elle était agitée de contactions, de soubresauts, nespérant plus quune grosse trique bien dure, bien longue pour finir de jouir
Jarrêtais le balancement, et queue en main caressais le bord de son trou, trouvais sa fente
et la défonçais lentement, savourant chaque centimètre de son étreinte forcenée.
Arrivé à fond, bien en butée, je reculais légèrement, lentraînant avec moi. Je la tenais toujours collée sur mes poils, et je sentais maintenant arriver ses petites pulsations, contractions de vagin, ondes magiques, pompe à dard merveilleuse, comme un étau enserrant ma trique
Je repoussais la balançoire, et entamais un barattage lent, régulier, avec une légère attente à chaque bout de course. Elle ne tenait plus, gémissait en continu, vibrant de partout
Je sentais maintenant ses muscles me pomper, maspirer dans ses entrailles, en ondes régulières. Jarrêtais mes balancements, et empalée bien à fond, je commençais un petit limage rapide, ma tige entourée de ses étreintes musculaires. Elle était maintenant immobile, crispée, seulement agitée de tremblements, et ma queue était broyée dans son ventre
Elle allait jouir
Je voulais en profiter à plein, et je la pistonnais à grands coups, pour mieux la défoncer, sentir son ventre sécarter sous mon gland. Elle était maintenant totalement immobile, tétanisée, arquée, jouissante en une plainte ininterrompue.
Jaccélérais mon bittage, javais limpression de nêtre quun sexe, énorme, baveux, et de lui exploser la moule, avant de la remplir de longs jets de foutre chaud et collant, elle et moi soudés en spasmes interminables.
En partant, elle mavait fait : Pas mal
Y a encore à faire, là-dessus, tu crois ?
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!