Un Dimanche Chez Mes Parents.

C'est dimanche : repas en famille à la campagne chez mes parents. Il y a mes parents, ma femme et notre petite Julie, ma sœur et son mari, mon frère, sa femme et leurs trois s. Enfin, il y a aussi pour la première fois, les parents de la femme de mon frère, que je n'avais jamais vus sinon au mariage.

On a bien mangé, on est en train de prendre le café. Comme il fait un temps agréable, on se propose de faire une grande balade en forêt. Problème : Antoine (le père de ma belle-sœur) s'est foulé la cheville il y a une semaine, et il ne peut marcher que difficilement. Il dit donc qu'il va rester là. De plus, il n'y a de place que pour 10 dans les 2 voitures disponibles, or nous sommes 12.

Je me propose donc de rester aussi pour ne pas laisser Antoine tout seul. Je regrette un peu car j'adore profiter de la campagne, mais en même temps, j'avais plutôt apprécié la conversation d'Antoine pendant le repas : c'est quelqu'un de cultivé dont il se dégage une espèce de force amicale très chaleureuse. Rester avec lui ne me déplait donc pas, d'autant plus qu'il a eu l'air de m'apprécier aussi.

Une fois tout le monde parti, la maison devient très calme, et toute l'entrain des conversations tombe aussitôt : face-à-face avec Antoine, c'est plutôt une légère gène qui s'installe. Mince : j'aurais dû insister pour me caser dans une des bagnoles ! Pour dire quelque chose, je propose :

– Mes parents ont encore une vieille bouteille de cognac. Un petit verre, ça vous dit ?

On se boit donc un petit cognac tout en se disant des banalités. Avec tout le vin que j'ai bu, et maintenant le cognac, je commence à avoir un peu chaud. Je me lève et enlève mon pull. En faisant ça, je soulève involontairement le T-shirt que je porte en dessous, découvrant ainsi mon ventre. Je sens alors une main se poser dessus. Par réflexe, j'ai un mouvement de recul et je contracte mes abdos.

– Hmm ! Tu as des beaux abdominaux ! me dit Antoine.


– Euh… Oui, je fais des abdos tous les jours, pour mon dos…

Un peu confus, j'enlève mon pull et de l'autre main je redescends mon T-shirt, mais Antoine s'est approché assez vivement. Il me fait retomber dans mon fauteuil et plaque son visage sur mon ventre qu'il commence à respirer, à embrasser, à lécher. En même temps, il m'a saisi les poignets pour m'empêcher de le repousser : j'essaie de me dégager mais je suis surpris de constater qu'il est beaucoup plus fort que moi. Comme je proteste, il remonte son visage tout en continuant de me serrer les poignets et vient coller ses lèvres sur ma bouche. J'ai la tête renversée en arrière sur le dossier du fauteuil, par son baiser violent il m'y maintient ainsi tordu. Sa langue vient fouiller profond dans ma bouche.

Il est à genoux, à califourchon sur mes cuisses, son ventre plaqué contre le mien, tenant toujours mes poignets et sa bouche sur la mienne. Å travers son pantalon, je sens son sexe dur contre mon ventre.

Sa bouche quitte mes lèvres et il m'enlève d'autorité mon T-shirt. Un peu abasourdi, ne sachant trop que faire, je ne réagis plus vraiment. Il m'embrasse longuement le torse, me respire fougueusement les aisselles et me mord les tétons tout en enlevant sa veste et sa chemise. Puis, sans rien demander, il commence à m'ouvrir le pantalon. Je proteste et essaie de l'en empêcher, mais une fois de plus, je suis vaincu par ses bras plus costauds que les miens. Il me baisse le pantalon et le slip en même temps dans un geste rapide et puissant, me laissant nu sur le fauteuil.

– Viens-là, me dit-il en me saisissant par le bras. Comme ça, contre l'accoudoir du canapé. Baisse-toi. Voilà.

Il me passe un bras autour du ventre, et me soulève presque pour me caler contre l'accoudoir du canapé. Puis, de l'autre main, il appuie sur ma nuque, me forçant à me plier en deux sur l'accoudoir.

– Allez, penche-toi, penche-toi en avant ! Vas-y, baisse la tête ! Encore… Voilà, la tête dans les coussins !

En même temps, je l'entends défaire la boucle de sa ceinture.
Puis, il prend son portefeuille dans la poche de sa veste et en sort une capote. Il enfonce un doigt mouillé dans mon anus. Je me sens tout mou, sans volonté. Je ferme les yeux et respire profondément comme pour affronter une douleur à venir. Il fait des cercles avec son doigt, en forçant pour élargir. J'essaie de me relâcher. Son autre main m'appuie sur le haut du dos, entre les omoplates, pour me maintenir bloqué sur le canapé. Il secoue un doigt dans mon cul, peut-être deux.

Voilà : il a retiré ses doigts, je le sens maintenant ses cuisses contre les miennes et son gland appuyer contre mon anus. Ça ne rentrera jamais ! Mais il appuie très fort, et je sens une douleur : ça brûle, il est en train de me pénétrer. Je pousse un gémissement de souffrance, qu'il couvre par une sorte de grognement. Il me laisse à peine le temps de m'habi et commence à me baiser. Assez lentement, d'abord : ça fait toujours un peu mal, mais ça commence petit à petit à glisser bien.

Je me relâche au maximum, totalement étonné par ce qui m'arrive. À la fois, j'ai une honte qui m'empêche de réagir, et un certain plaisir qui commence à m'envahir. Je pense à cette queue qui est en train de me pilonner, à ces mains puissantes qui me maintiennent plaqué au canapé dans une position très inconfortable, et je n'ai plus envie de rien d'autre que de laisser s'accomplir ces mouvements robustes en moi.

Il appuie de plus en plus fort sur mon dos, et me pénètre de plus en plus profond. Vraiment, ça ne fait plus mal du tout mais me remplit d'une espèce de faim, assouvie et renouvelée à chaque instant. C'est une sensation étourdissante : celle d'un orgasme en cours, mais étiré à l'infini ! Sans m'en rendre compte, je me suis mis pousser des petits gémissements faiblards, comme une gonzesse !

Je ne sais plus combien de temps ça a duré, mais Antoine a fini par jouir violemment, ce qui a provoqué en moi une sensation vraiment inouïe : une espèce de chaleur et de relâchement général, qui s'est répandue dans tout mon corps.
Quand il s'est retiré et m'a laissé tout engourdi me relever, j'ai vu que sans m'en rendre compte, j'avais abondamment éjaculé sur l'accoudoir.

Il m'a regardé essuyer en se caressant encore la bite et en me touchant parfois le cul, parfois les cuisses… Quand ma famille est revenue, ils ne se sont rendus compte de rien, mais j'ai éprouvé une honte bizarre et très troublante. Et cependant, depuis, je passe souvent voir Antoine chez lui quand sa femme n'est pas là. On a fait le test du sida, et depuis, il adore me sodomiser sans retenue, ou bien je le suce jusqu'à sentir avec délice son jus visqueux et tiède s'écouler dans ma gorge.

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