La Gourgandine ( 22 )

22------ Il est bel homme, ce que je vois en lui c’est surtout cette bite dressée. Je prends l’engin, le branle doucement, il se colle contre moi, passe sa main sous ma jupe, écarte ma culotte, m’introduit son doigt, il doit s’apercevoir que je mouille. Il recule, m’entraîne avec lui, s’assied sur une chaise :
- Aller, emmanche-toi là dessus !
Je me retourne, écarte les jambes, recule, il relève ma jupe sur mon dos, je prends sa bite, la guide dans ma fente, me laisse descendre. Elle s’enfonce jusqu’à la garde, ça y est, c’est parti. Je remonte mes pieds sur ses genoux, il me fait monter et descendre sur son vit en me glissant les mains sous les fesses, je mouille. Au bout d’un moment d’intense activité, il me fait redescendre au sol, me prend à bras le corps, se lève, mes pieds ne touchent pas le sol, il m’amène en bout de la table toujours plantée sur sa bite. Je me retrouve coudes sur la table, jambes écartées, jupe remontée sur le dos, sa bite au fond du vagin. Et ça recommence, il reprend la cadence, me défonce le con, je gémis à coups de butoir, il s’acharne dans mon conduit, je donne des coups de cul à chaque coup de bite, les devance. Bon sang, ça dure, il tient bien la distance, j’ai de plus en plus chaud, lui halète, je sens que je vais venir. Ca y est, il m’a eu, je décolle, donne des coups de rein pour qu’il s’encastre à fond, chavire, perds pied, m‘envole, mon cœur dépasse la limitation de vitesse, je passe la 5ème, fonce à 130, ferme les yeux !
- Whaoohaaaouiiiii
- Gueule pas si fort !
Il quitte mon petit tunnel d’amour, me soulève, me dépose sur la table, m’allonge, cette fois me fout le ventre à l’air, prend l’élastique de ma culotte, je relève les fesses pour lui permettre de la retirer et me mettre le cul à l’air.
- J’ai rarement vu une chatte aussi fournie !
Il me tire le cul au bord de la table, relève mes jambes, les bascule sur moi, mes reins se cambrent, mon cul se relève, mes genoux touchent ma poitrine, mon sexe est à portée de sa bouche.


- Reste comme ça !
Je tiens mes jambes dans la position. Il applique sa bouche sur ma vulve, glisse sa langue entre mes nymphes, l’introduit dans l’entrée du vagin, aspire mon clito, mon ventre en fait un bond. Il ouvre ma fente, introduit 2 doigts, me les donne à sucer, amène son gland, m’emmanche d’un seul coup de rein
- Aïeouille, entrez doucement !
Mon vagin l’absorbe, la tige coulisse facilement dans mon conduit, le gland butte au fond. Il me tient les jambes serrées, me pilonne hard, je sens ses couilles battre mon cul. Je contracte les muscles du vagin, le serre à l’intérieur de moi pour bien le sentir, je mouille terrible, pousse des petits cris, i, i i ho gros, ha hooo grohooo, hi i i, lui grogne, greu heu, ha han à chaque coup de bite qu’il m’administre. Quel concert ! Au bout d’une bonne dizaine de minutes d’acharnement dans mon bas ventre, il est en nage, halète. Il me redresse, mes jambes retombent sur ses hanches, il passe ses mains sous mes fesses, tire, je m’accroche à son cou. Sa pine est restée en moi, il me fait monter et descendre sur son pieu. Il doit fatiguer car au bout d’un moment il me remet au sol, enlève ma jupe et mon chemisier, je me retrouve à poil.
- C’est bien mieux comme ça ?
- C’était plus la peine de me foutre à poil !
Il me place face à la table, j’appuie les mains dessus. Je garde les jambes serrées, il m’embroche à nouveau par derrière. Je couine de plus en plus fort, il me tient aux hanches, fait varier la cadence, je le sens bien, accompagne ses coups de bite par des coups de cul. Il m’écarte les jambes, passe la main devant, et tout en me burinant, titille mon clito, le roule entre 2 doigts, j’en remue le cul, pousse plein de petits cris du genre : hiii ho haaaa. Il n’en finit pas de me pilonner, ses coups sont rudes, ça dure, je fatigue, mes jambes faiblissent, il est trop long à décharger. Je sens sa bite grossir, se raidir, je contracte mon vagin, voilà qu’il se passe quelque chose de bizarre dans mon bas ventre, ça me remonte tout le long du corps, j’en frissonne.
Ca y est, je suis foutue, il va m’avoir, mon cœur et ma respiration s’emballent de nouveau, je décolle, grimpe aux rideaux, cri ma jouissance pour la seconde fois
- OuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiOhhhh !
- Ferme là !
Il n’attendait que ça car en même temps je sens sa queue se redresser, le gland enfler, et dans un râle envoie ses jets de foutre remplir la capote. Je n’en peux plus, m’écroule poitrine sur la table, bras en croix, cul à l’air, à bout de souffle. Il s’aplatit sur moi, reprend son souffle, fait de lents va et vient à l’intérieur de ma gaine, entretien son érection. C’est fini, il ressort sa queue, se relève, vire la capote, s’appuie d’une main contre la table. Il me redresse, me retourne vers lui, il bande encore, sa queue est couverte de foutre
- Nettoie-moi ça !
Il me prend la tête, me penche sur lui, je n’ai plus aucune réaction, me laisse faire, il fourre sa queue dans ma bouche, j’avale ses dernières giclées.
- Beurk !
Cette fois c’est bien fini, il quitte ma bouche, je me redresse, la baise m’a donné envie de pisser. Je suis tellement épuisée que je tiens à peine sur mes jambes, titube en allant aux toilettes, je suis toute nue. Il me regarde sortir de la pièce, admire ma chute de reins :
- T’as un sacré beau cul !
Quand j’en reviens il a rangé sa bite dans le pantalon. Je ramasse culotte et jupe qui traînent au sol, les remets ainsi que mon chemisier, lui dis
- Qu’est ce que vous m’avez mis ! Vous m’avez crevée !
- Et moi donc ! Je suis vidé !
- Vous en avez mis un temps avant de décharger !
- Pas du tout, je prends toujours mon temps, j’aime baiser jusqu’à faire jouir ma partenaire !
On sort de la pièce, il s’assied derrière son bureau, moi sur la chaise en face de lui. Je regarde ma montre, il est un peu plus de 8h, je suis arrivée à 7h. La baise a duré au moins ¾ d’heure si ce n’est plus, le salaud, il m’a défoncée, laissée pantelante, j’en ai les jambes sciées ! Je lui demande :
- Vous êtes satisfait ?
- Oui ! Voyons comment on peut s’arranger ?
- Je veux une leçon gratuite pour chaque coup tiré.

Il fouille dans son courrier sort une enveloppe qu’il n’ pas encore ouverte. C’est un papier officiel, il me dit :
- Tiens, je découvre la date de l’examen. C’est le 12 octobre à 10 h.
- C’est dans un peu plus d’un mois ½ ! Soit 6 leçons, pas 15 !
- Six leçons, tu dois pouvoir te les payer ?
- On s’est mis d’accord pour des leçons gratuites jusqu’à l’examen !
- Au vu de ce courrier je veux revenir là dessus !
- Vous ne tenez pas parole, j’peux plus vous faire confiance.
- Tu m’faisais trop envie, c’est ta dernière leçon, fallait que j’te baise !
- Vous étiez d’accord pour m’accorder des leçons gratuites, c’est pour ça que je vous ai laissé m’enfiler votre queue !
- Tu m’demandes beaucoup trop !
- Je viens d’en payer une d’avance ! Vous me la devez !
- Tu manques pas de toupet !
- Vous vous êtes tapé mon cul, c’est donnant donnant !
- Tu as de la suite dans les idées !
- Dorénavant ça sera une leçon gratuite avant !
- Tu ne capitules jamais ?
- Si vous n’êtes pas d’accord, on arrête là !
- Ok, on va pas polémiquer, tu les auras tes leçons !
- N’oubliez pas, aujourd’hui j’ai payé d’avance.
Je me lève, att mon sac, sorts, il ferme son local à clé, je me dirige vers la voiture.
- Vous voulez bien me raccompagner ?
- Mets-toi au volant.
Je me mets au volant, lui prend la place du passager. Dans la voiture il me dit :
- Tu dois être vraiment bonne au lit !
- Trouvez une chambre!
- Ma femme est encore en vacances jusqu’à la fin du mois !
- Si je comprends bien, je peux vous servir de vide couilles !
- Sois pas grossière !
- On peut aller baiser chez vous ?
- Il n’en est pas question !
On arrive, avant de descendre de la voiture il me dit.
- À mercredi 6h !
- Oui, n’oubliez pas, j’ai déjà payé !
- Heureusement que toutes mes clientes ne sont pas comme toi !
- Pourquoi, c’est vous qui avez commencé par me montrer votre attirail, je n’ai fait qu’accepter de me faire sauter dans des conditions bien précises !
- T’es la troisième en 15 ans de métier ! Les 2 autres n’ont rien demandé !
- Ca les regarde !
Je descends de voiture, il prend ma place au volant, s’en va.
Ma mère me voit passer :
- Qu’est ce que tu fous à rentrer si tard ?
- Je prends mes leçons de conduite, rien d’autre !
- Mon œil !
Je monte dans ma chambre, m’allonge sur mon lit, repense à la baise. J’ai eu 2 orgasmes très forts, il faut que je récupère !

À suivre 23

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