Le Grand Calme
Mish et moi ne nous rejoignions QUE pour faire lamour, et ensuite, chacun chez soi
Il avait été convenu que ce jour là, elle resterait, une histoire de chaudière, ou de peinture chez elle, ou que sais-je encore ? Douchés, ceinturés dune serviette de bain et installés sur le canapé du salon, nous avions bus et mangés un peu, devant la télé, allumée tout bas sur nimporte quoi
Et nous nous étions assoupis, repus de sexe et un peu pompette
Je méveillais le premier, la tête dans les nuages, comme à chacune de nos rencontres, vidé de sexe et dextase, tant nos rapports étaient intensément jouissifs ; elle avait un air angélique, assoupie comme une petite fille, détendue, elle si exubérante, si
femelle en rut dans toutes ses attitudes était devenue toute innocence
Je ladmirais dans son sommeil, et pour une fois, elle ne faisait même pas bander, encore ivre de sexe comme je létais
Devenu provisoirement asexué, je décidais de profiter de loccasion pour réaliser un vieux rêve : la faire jouir seule, et en savourer le spectacle
Je connaissais déjà sa capacité à rebondir dorgasmes en orgasmes ravageurs, et jaurais voulu admirer cela presque en spectateur
Elle gisait, la tête en arrière, bras le long du corps sur les coussins
Japprochais la main de son ventre, et dénouais la serviette, dénudant son buste et la caressais doucement, remontant insensiblement vers ses seins, aux larges aréoles, aux tétons si vite dressés
habituellement ! Du calme, de la patience
Après quelques aller et retour, je mattaquais à son ventre lisse, découvrant sa touffe fournie et soyeuse. A moitié réveillée : Quest-ce tu fais ? Ah, oui
. Et elle était retombée dans la même position. Jembrassais doucement ses seins, son ventre, mamusais un peu dans sa touffe, descendais encore vers ses lèvres
Je lui écartais doucement les genoux, et elle glissa naturellement le cul au bord des coussins
Je reprenais mes petits bisous, la bitte amorphe, pour une fois, descendais vers son sexe que je caressais à petits coups de langue à peine appuyés, cherchant à lémouvoir quand même un peu, sapristi ! Mais rien
Coopérative, pas participative.
Un soupir, je lui avis tiré un soupir. Et il semblait que ses tétons durcissaient, un peu
Courage !
Jaccentuais ma charge, tant au niveau des nénés que de sa fente, entrouvrant ses lèvres, cherchant son clito ; puis ma bouche quittait ses lolos, je magenouillais face à elle, entre ses genoux, et commençais un léchage en règle de sa vulve, que je balayais sur toute la longueur, lui aspirant le bouton au passage. Ses tétons étaient à nouveau ramollis
Et elle restait sèche, comme ma trique débandée
Je lui écartais encore les cuisses, et une main pour les nichons, lautre pour le haut de son con, je la fourbissais de plus en plus fort ; nouveau soupir, et elle commençait à réagir à mes caresses mammaires, portant ses obus vers la caresse. Enfin !
Elle était encore loin de lexcitation habituelle, toujours prête à mouiller, clito érigé, tétins dressés ; jhumectais mon index de salive, et lui rentrais, doucement, au bord, avant de lagiter un peu : Ahhhh
. Elle avait avancé le pubis, un peu, à la rencontre de mon doigt ; je lui fourrais entièrement, mais en douceur, et reprenais mes caresses internes, allongeant, crispant, détendant, immobile ou mouvant. Elle geignait doucement, les yeux fermés ; ses poings sétaient fermés
Elle revenait, et je sentais sa liqueur sourdre autour de mon doigt
Déjà rassasiée de baise, son excitation montait lentement, et il faudrait encore du temps ; jétais toujours mou, désir seulement intellectuel.
Je la doigtais maintenant en longs coulissements, lui aspirant le clito, agaçant ses mamelles de la main, tiraillant les tétons ; elle sanimait, se portant devant les caresses, mais au ralenti, comme hors de son corps, et jadmirais ses mouvements, ses mimiques, ses contractions. Cependant, elle restait large du vagin, elle qui savait si bien maspirer, me comprimer la bitte, elle qui pouvait jouir trois, quatre, cinq fois avant que je la rejoigne dans sa dernière extase, en lui crachant tout mon foutre aux entrailles.
lui plantais index et majeur, pour augmenter les frottements, et la barattais de plus belle.
Elle sanimait, avait repoussé ma tête, placé sa main au dessus de mes doigt, et elle se branlait le bouton dun doigt expert.
Elle me regardait, à présent, intensément, comme si elle avait compris mon dessein. Elle avait dû voir ma nouille pendante ; bouche crispée, elle cherchait son plaisir
Des doigts que jagitais dans sa fente, je lincitais à augmenter encore ses réactions
Je sentais sa vulve se contacter autour de mes doigts, et je voulais quelle se resserre
Je la défourrais, lui titillant juste les lèvres du bout du pouce
Là, elle avait réagi, attrapant ma main pour senfiler à nouveau. Je résistais, la laissant glisser du cul sur les coussins, vers mon doigt
Elle avait maintenant les fesses hors du canapé, en appui sur les reins et les jambes, cuisses ouvertes en grand écart, son ventre montait à la recherche du doigtage
Je lui poussais lindex, dun trait, bien à fond, en butée sur la motte, forçais encore, plus à fond, comme si javais voulu faire pénétrer le poing
Ahhhh
Oui
. Elle sétait raidie, et son ventre saffolait, crispé, animé de petites ondes ; Je sentais son organe palpiter autour de mon doigt, et je recommençais à la limer savamment. Plus besoin de la forcer, maintenant, elle amplifiait chaque frottement de torsions de tout son corps, tête ballante de droite à gauche, elle commençait à maspirer le doigt, à le serrer en petites ondes concentriques, merveilleuse machine à traire le foutre
Attends
Je veux voir mieux
. Je lui retirais le doigt, et me reculais
Ah, non, laisses le
Salaud
. Je mapprochais de nouveau, et je lui plantais la première phalange du majeur, poing fermé. Elle avait saisi ma main, cherchant à senfilait. Non, aspire le ! Tu sais bien faire, ça
. Et je lavais ressorti un peu. Elle sappliquait, maintenant, cul agité, hanches battantes, ventre en folie, et je sentais mon doigt pénétrer peu à peu son intérieur
Elle était tétanisée, mon poing dans sa motte, prête à jouir ; je la barattais lentement, pour la finir
A son extase, je bandais un peu, jai retiré le doigt, et je lui ai poussé, difficilement, ma queue, pour profiter de ses derniers spasmes.
En partant, le lendemain, elle ma fait Tu aurais dû filmer
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