La Pension De Bicha

Je m'appelle Emmanuel. J'ai 23 ans. Je suis blond, les yeux bleu pâle. Je mesure 1m54 pour 42 kg. Ce qui fait que tout le monde croit que je suis beaucoup plus jeune. Mon père est ingénieur en énergie solaire. C'est un spécialiste en la matière. Il donne des conférences dans le monde entier.
Cette année-là, mon père devait donner une conférence à Bicha. Il me proposa de m'emmener en voyage. Tout se passa bien jusqu'à la rencontre d'Aïcha. Mon père était vraiment bel homme. Aïcha tomba sous son charme. Un jour, ils furent surpris en train de faire l'amour, nus, dans un coin pourtant désert. On emprisonna mon père et Aïcha et on confisqua nos passeports. Quand elles virent le mien, les autorités déclarèrent qu'il était faux, et durant le temps d'incarcération de mon père, elles décidèrent de m'enfermer dans une pension pour ados.
La règle de ce pensionnat, c'était : on fait tout ensemble.
On mangeait dans un réfectoire, les douches étaient collectives et on couchait dans un dortoir.
Ce soir-là, ma première douche, ce fut presque une partouze. J'étais le seul blanc. Les autochtones commencèrent à passer leurs mains partout sur mon corps. Ils éprouvaient la douceur de ma peau blanche et lisse, la courbure de mes fesses, la cambrure de mes reins. Ils soupesèrent mes couilles et décalottèrent ma bite. Enfin, à tour de rôle, ils enfoncèrent un doigt dans mon cul. Le plus âgé d'entre eux, le fourra même dans sa bouche. Je voulais crier pour qu'on me délivre, mais deux costauds me prirent par les bras et me firent un croc en jambes. J'ai glissé dans le bac à douche et me suis retrouvé à genoux. Un sexe de belle taille s'enfonça dans ma bouche.
Quand le surveillant revint, j'étais debout sous le jet d'eau. Les autres s'étaient écartés de moi, l'étranger.

Il me regarda, me sourit et cligna de l'oeil.
Nous allâmes nous coucher. Les lumières étaient éteintes depuis 10 minutes à peine, quand le pinceau de lumière d'une lampe, déchira l'obscurité. Pourquoi ne fus-je pas surpris quand la lampe s'arrêta à mon lit et que je reconnus le gardien. Il rabattit la couverture au pied de mon lit et m'en fit descendre. J'étais nu comme les autres. Il me fit mettre à genoux, sortit sa bite de sous son vêtement et me la fourra dans la bouche. Il dit quelque chose dans sa langue que je ne compris pas mais, au ton impérieux de la voix, j'ai traduis :
- Suces !
Les autres regardaient. Ils surent qu'il avait fini quand les hocquets qui agitaient son sexe cessèrent.
Ils se levèrent alors et, ce fut à qui enfonçait sa bite, soit dans mon cul , soit dans ma bouche.
Mon père est resté 30 jours en prison. Le nombre de pines qui m'ont pénêtré, je ne vous dit que ça !
Dans un téléfilm que j'ai vu récemment, un homme, devenu papa sur le tard, prenait systématiquement la température de son poupon, au moindre bruit de gorge. Sa belle-mère, eu cette réplique mémorable :
Arrêtez avec ça, dit-elle, à force de lui mettre le thermomètre dans le derrière, vous allez lui donner des mauvaises habitudes.
Eh bien, ça s'est prouvé avec moi. Ecoutant la faconde publique, je me suis rendu en Grèce, avec un statut d'étudiant. Je me suis dit qu'avec l'Europe, j'arriverais bien à dialoguer avec les gens du pays. Et sinon, il resterait le langage des gestes.
Mon cul saura sûrement mieux s'exprimer que moi. On verra bien à ma prochaîne histoire. A plus

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