Quand C'Est Elle Qui Choisit
Je navais guère didées, pour enjoliver notre prochaine rencontre
Aussi, quand nous sommes retrouvés, Mish et moi, je lui avait fait : Jen ai marre de toujours décider
. A toi de trouver des positions de baise
Et tas intérêt à me faire sacrément bander, si tu veux lavoir bien grosse dans la moule !. Ah
Bon
On peut se mettre à poil, en attendant ?. Et elle sétait dévêtue ; je limitais rapidement, tout en ladmirant au passage : des fesses rondes et fermes, des seins en obus, aux larges aréoles brunes, aux tétons érectiles, et une motte fournie et soyeuse, avec dessous un abricot souvent juteux et hyper accueillant. Je métais rassis dans le canapé, et Mish me regardait, lil luisant
Alors, ça vient ?. Attends, je réfléchis
. Elle mavait attrapé la bitte, et me branlait doucement. Hé ! Cest pas comme ça que tu dois me lenfler, hein !
Elle dansait dun pied sur lautre, magitant la touffe sous le nez, levait les bras au dessus de la tête, se faisant remonter les nichons, qui navaient pas vraiment besoin de ça
Ah, ça y est
Attrapant sa ceinture de jeans, elle lavait bouclée, lâche, sur ses hanches et elle rapprochait un tabouret en face moi, y posait une revue, puis jetait un plaid sur la table du salon, y déplaçait deux chaises à son extrémité, toujours face à moi. Me tournant le dos, elle se plaçait à coté du tabouret, et sétirait longuement, écartant un peu les pieds, creusant les reins, faisant rouler son pubis vers le bas, repoussant son abricot vers moi. Je nen perdais pas une miette, et je bandais comme un ours.
Elle sétait penchée, comme pour prendre la revue, la faisait tomber, lobligeant à se pencher encore plus, sur le coté ; elle se tenait sur un jambe, comme si ça laidait à se pencher plus, relevait encore plus le genou, moffrant une vue imprenable sur son abricot
Elle sétait redressée, revue en main, et faisait mine de le parcourir, cul toujours fortement porté en arrière, con offert
Puis, elle sagenouillait, lisant encore.
En poursuivant son manège, elle sétait portée sur une jambe, et soulevait lautre vers le tabouret, quelle utilisait maintenant comme support
Sa danse saccélérait, elle tournait aussi les hanches dans un sabbat effréné
Je la sentais prête pour sa première jouissance. Je me levais, magenouillais derrière elle, et lui attrapais les nichons, un dans chaque main, que je tirais vers le bas, lui plaquant les tétons dans la moquette. Je frottais ses mamelles à terre, en lents mouvements, et je pouvais apercevoir par instant ses bouts dressés
Sa respiration saccélérait, son ventre dansait. Je lui lâchais les nénés, plaçais une main ouverte sous son ventre, et lui faisait faire dos rond. Je pointais un index juste derrière sa vulve, à quelques centimètres, et lui appuyais sur les reins, pour lenfiler dun bon demi doigt. Ahhhh !. Ma manuvre lavait surprise, et sûrement ravie.
Je poussais, bien à fond, puis tournais de droite et gauche
Ahhhh !. Elle appréciait
Je la limais brièvement, déclenchant son vagin suceur : elle allait jouir, ses muscles enserraient mon doigt, le pompant vers lintérieur, et des ondes concentriques le serraient, de la base vers longle. Elle jouissait, bandée comme un arc, tétanisée, gémissante
Je défourrais le doigt, positionnais ma bitte, et la défonçais, dune poussée régulière, bien à fond : Oaaah
! Je la barattais quelques secondes, et déjà ses muscles se relâchaient, vagin béant, elle avait jouit. Inutile dinsister, je connaissais ma Mish : elle jouissait à répétition, certes mais avec des périodes inertes, ou il fallait être très doux, pour la faire repartir ; et ça marrangeait bien, je pouvais ainsi durer beaucoup plus longtemps, et jouir avec elle intensément.
Elle sétait affalée, vidée, cuisses béantes. Je lembrassais, doucement, dans le cou, le dos, les fesses, les cuisses, tendrement, délicatement, leffleurant dun ongle. Après quelques minutes, je précisais mes caresses, appuyais gestes et baisers : elle revenait, en bonne bête de sexe ; mes attouchements devenaient plus précis, plus poussés, je lui titillais le bouton, les nichons, elle sanimait, souriante
Bon, hé ! Cest pas fini, jespère ?. Elle sétait relevée, encore chancelante, avait repris le magazine, et sétait assise en bout de table, face à moi, une jambe croisée, lisant... Je retournais à ma place : acte deux
Ses jambes sétaient décroisées
Elle lisait toujours. Elle avait levé un pied vers une chaise, ly avait posé, et idem pour lautre
Ses cuisses souvraient
Elle sallongeait à plat dos sur la table, en saisissait un bord à deux mains, et glissais le cul hors du plateau
Ses hanches libérées tournaient, ses genoux battaient
Elle se branlait, la garce ! Japprochais, et jadmirais
Javais la bitte contre son bas ventre, par moment dans sa raie, puis dans ses lymphes, je suivais son déhanchement. Je lui triturais les nichons, roulant les bouts dans mes doigt, les étirant, ou les lui rentrant dans les mamelles. Elle me semblait à nouveau prête
Je me reculais, limmobilisais et lui collais mon doigt dans la raie, allant et venant entre ses fesses, caressant au passage son illet ; de lautre main je lui titillais le clito, les lèvres, tournais autour de sa fente. Son ventre battait de frissons incontrôlés, sa tête roulait, elle était repartie
Je lui fourrais mon pouce, la branlais, sentais ses spasmes
Elle se relâchait
Je poursuivais ma branlette, doucement, précautionneusement, lui soutenant momentanément les fesses par-dessous de lautre main.
Je la sentais revenir sous mon doigt ; je changeais de technique, et à genoux entre les chaises, jentamais une longue lèche, entre son trou de cul et son bouton, lui glissant le nez, en appuyant bien
Elle repartait, son ventre sagitait, elle se caressait les nichons, les soupesant, étirant les bouts
Son index descendait vers sa vulve, titillais son bouton.
Je la laissais sextasier, encore et encore, attendais quelle se relâche, un peu, à nouveau
. Et lui ôtais le doigt : Ah ! Salaud, non
Remets le, ste plait, ste plait
. Hé ! Ho ! Faut changer, maintenant, non ?. Tes dégeulasse
Bon, oui
. Je laidais à se relever, chancelante, elle se passait la main sur le front, ventre encore ondulant de tics incontrôlés : Vas tadosser
au
canapé, à coté du
tabouret
. Je mallongeais à terre, les épaules sur un coussin, et attendais. Tremblante encore, elle sapprochait, me posait une jambe sur le tabouret, et sagenouillait à cheval sur lautre, pubis en avant. Dune main, elle se titillait le bouton, de lautre elle ma branlait, doucement, recouvrant et découvrant mon gland avec le prépuce. Eh ! Arrête, je veux te gicler dedans
.
Elle pointait ma bitte vers elle, se redressait un peu, sajustait, le bout juste au bord de la fente. Elle avait saisie ma cuisse relevée sous son bras, je pivotais sur la hanche, couilles gonflées, douloureuses. Elle glissait sur les genoux, se la rentrait un peu
Puis, ondulant du cul, elle nous branlait tous deux, à petits mouvements. Jambe bloquée sous son cul, je ne pouvais la pénétrer plus loin, jétais à la merci de son bon vouloir. Jattrapais la ceinture, la passais au dernier cran, la faisais glisser au plus bas derrière ses fesses, et je tirais sèchement pour lemmancher à fond. Ahhhh ! Salaud
. Je me relevais un peu, posais les mains sur ses fesses et doigts dans sa raie, la tirais encore plus loin sur mon vit, bien à fond.
Elle repartait à nouveau, tête dans les étoiles, cul en enfer, empalée ; elle serrait ma trique dans ses muqueuses, en petits mouvements de pompes ; elle tirait toujours sur mon mollet, moi sur son cul ; son ventre avançait, reculait, en une danse somptueuse et salace. Jaccentuais ma prise sur une fesse, et lâchais lautre pour moccuper de ses nénés, caresser sa motte, son bouton depuis longtemps en feu. Elle râlait, tête battante, son vagin nétait plus que constrictions infinies, tempêtes et orages.
Elle jouissait, et jouissait encore, interminablement, sur ma queue serrée et impatiente de foutre
Je la repoussais en arrière, dépliant ses genoux, ma bitte lavait quittée, je libérais ma jambe, et mallongeais au dessus delle, trique battant dans le vide.
Je la pointais dune main, elle sétait resserrée sur le vide, et jallais pouvoir lui exploser le con de toute la longueur, la grosseur de ma trique ; jaurais voulu lavoir grosse comme une cuisse, longue comme une jambe, et la défoncer jusquaux narines. Je lemmanchais, en une lente poussée, je sentais son organe souvrir sous le gland, les parois reculer, puis se resserrer sur ma tige en petites ondulations. Je poussais encore, arrivais à fond, jajoutais deux ou trois coups de cul, pour faire bonne mesure, lui remonter les ovaires.
Javais un vit dacier, une barre à mine, et je commençais à lui labourer les entrailles, à grands coups impatients, gland turgescent.
Je la déplantais, une fois ou deux, repoussant léchéance, la faisant pleurer du vide, du manque de bitte dans sa moule ruisselante. Je ny tenais plus
. Jallais tout lui cracher, nimporte où
Je lenfilais, à nouveau, rapidement, me secouant dans son vagin, pour bien lui faire sentir ma présence, ma puissance, dans son ventre en folie, menfonçant au plus loin, dans sa chatte étrécie, panthère en furie, lionne en rut. Elle me serrait tant la bitte que je ne pouvais plus ressortir, bloquée à fond de vagin, subissant ses étreintes forcenées. Et jai giclé, à longs jets, dans ses parois affolées, interminablement, je lai inondée de foutre, avec délectations. Nous nous sommes écroulés, lun sur lautre, encore mêlés pour un instant.
En partant, elle ma dit : A ton tour, le prochain coup, hein
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!