L'Éducation : Chapitre 4
LEducation dune salope.
Chapitre 4
Durant les jours qui suivent, ce ne sont que jeux damour. Dans la journée, je vais à mes cours où je moccupe de lentretien de la maison. Je ne porte pratiquement plus jamais de sous vêtement, même à la fac. Mes camarades de promo me trouvent changée, plus épanouie. Sils savaient que je suis lesclave sexuelle et consentante dun couple de pervers !
Avec Madame la Juge, celui que jappelle maître et la cuisinière qui se joint souvent à notre trio, nous faisons des parties de jambes en lair tous les soirs. Comme Marie est plutôt tentée par les filles, elle soccupe, à tour de rôle, de Madame ou de moi, pendant que maître baise lune ou lautre. Je suce des minous, des seins, la bite que maître me fourre régulièrement dans la bouche pour un nettoyage après quil est baisé Madame ou moi : jusque dans cette situation je reste la «femme de ménage».
On me lèche aussi. Marie surtout, mais également Madame qui na rien, bien au contraire, pour des parties entre filles.
Un soir maître nous a convoqué Marie et moi dans la chambre conjugale pour un trio de nanas avec Madame. Il a branché le caméscope pour garder un souvenir de cette soirée, mais surtout pour montrer à ses amis combien mon éducation saccélérait :
- Il faut que nos amis se rendent compte de lévolution de cette petite salope. Elle va bientôt faire son entrée dans le monde du libertinage, elle doit être parfaite.
- Tu as raison, nos invités du vendredi sont de fins connaisseurs. Ils veulent une marchandise de premier choix et surtout expérimentée. Vicky doit connaître et admettre tous les vices et les délices des soirées libertines. Son éducation est presque terminée. La leçon de ce soir devrait accélérer les choses.
- Tu vas être docile et soumise et accepter tout ce quon te demandera. Tu as bien compris ?
- Oui maître. Je suis entièrement à votre service.
Cest je soir là que jai eu droit pour la première fois dêtre pénétrée par un gode.
- Vous êtes vraiment des salopes toutes les trois. Je pourrais mabsenter, vous vous débrouilleriez sans moi.
- En ce qui me concerne, je préfère une bonne bite, dit Madame. Tu devrais laisser le caméscope en automatique pour venir me baiser.
- Jattendais que tu me le demandes. Javoue que jai la queue qui va exploser à force de vous regarder faire les cochonnes.
- Prends-moi le cul, je continue à farcir cette chienne de Marie. On va faire une file à la queue leu-leu, dit-elle en éclatant de rire.
Maître ne se lest pas fait dire deux fois. Il a attrapé Madame par les hanches et planté son pieu dans sa caverne sombre. Nous avons atteint lorgasme en cascade, je fus la première, suivit de peu par Marie. Madame et maître explosèrent en même temps.
Que cest bon davoir à faire à des experts de la baise. Ce nest pas avec mon jeune puceau de premier amant que jaurais connu de telles jouissances. Madame avait raison, je suis faite pour lamour, jadore ça. Il ne me reste plus grand-chose à découvrir
Cest du moins ce que je crois
car un autre soir après avoir copulé joyeusement :
- Cela fait trop longtemps que tu te conduis comme une vilaine fille, dit Maitre. Tu penses que cest bien de te balader quasiment à poil dans la maison ou dans le jardin, démoustiller cette pauvre Marie. Tu profites que Rose vienne tépiler pour te faire sucer comme une chienne, sous prétexte de calmer la douleur.
Je ne comprenais rien à ce quil me disait. Javais tout accepté, car cest ce quil attendait de moi. Jétais devenue la salope dont il rêvait, et voilà quil me le reprochait. Vraiment jétais abasourdie par tant dinjustice. Les larmes me montaient aux yeux.
- Tu peux avoir honte, renchérit Madame. Tu nes quune chienne en chaleur. Tu mérites une punition. Marie va chercher ce que tu sais et rejoins-nous dans lannexe. Quant à toi, approche. Baisse la tête et arrête de pleurer. Il est bien temps.
Jétais là au milieu du salon, complètement nue, avec seulement des escarpins, nous venions de baiser comme des bêtes. Pendant que Madame poursuivait ses reproches, Monsieur me glissait un bandeau sur les yeux et menottait mes poignets dans le dos. Ensuite je sentis quil me passait un collier autour du cou. Il devait y avoir une laisse, car une chaîne glacée se plaça entre mes seins et le long de mon ventre. Quelquun attrapa le lien :
- Avance, chienne, gronda Maitre. Droit devant toi. Tu ne risques pas de tomber, je te guide.
Jai bientôt éprouvé une petite fraîcheur, qui ma fait comprendre que nous étions dans le jardin. Nous avions déjà batifolé dehors et je savais que personne du voisinage ne pouvait me voir, pourtant jétais gênée. Javais honte dêtre la proie consentante de Sophie et Bertrand. Encore là, alors quils mhumiliaient, jéprouvais une certaine jouissance. Jétais vraiment une salope. Sophie, comme toujours avait du lire dans mes pensées, car elle glissa sa main entre mes cuisses :
- Elle trouve encore le moyen de mouiller cette traînée. Elle va être punie, elle est humiliée comme une pute et elle mouille.
- Elle mouillera peut-être moins tout à lheure ! On arrive au chalet, je vois que Marie a déjà tout préparé.
Maitre passa derrière moi et enlève les menottes. Puis il prend mes poignets, les soulève un après lautre et je me retrouve attachée les bras en croix au dessus de la tête. Il se saisit de mes chevilles, mordonne décarter les cuisses et les attache également avec des sangles.
- Elle est bandante comme ça, offerte, nue. Jai bien envie den profité, dit Maitre, et toi ?
- Tu as raison, avant la punition, on va samuser un peu. Joignez-vous à nous Marie.
Des mains caressent alors de mes fesses, des doigts existent mes seins en les pinçant, dautres fouillent ma coquille, pénètrent ma caverne. Des lèvres forcent ma bouche et une langue sempare de ma langue. Un gode remplace des doigts dans mon antre douillet. Je mouille de plus en plus, je suis au bord de lextase
et puis plus rien
je reste sur ma faim
Une violente douleur explose sur mes fesses
je crie sous ce premier coup, bientôt suivi dun deuxième, puis dun troisième
je continue de crier et les coups de fouets tombent. Mon cul me brûle.
- Six ! Vas-y maintenant, ma Vicky, compte les coups, tu verras ça aide à penser à autre chose. Cest assez excitant. Surtout quand on ne sait pas quand cela va sarrêter ! dit Madame en riant.
-
Douze
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