Épître À Une Jeune Femme Soumise (2/5)
Chapitre 2
Nous arrivons à la mauvaise heure. Enfin, pour toi.
Les voisins rentrent chez eux, et nous en croisons plusieurs, sur le trottoir, dans le hall de limmeuble, ou dans lescalier. Tu ne sais plus où te mettre, avec ta chemise ouverte sur tes seins qui pointent, et tu es soulagée lorsque jouvre la porte de mon appartement.
Je dépose mon sac dans lentrée, et je te conduis dans le séjour, une pièce à vivre, regroupant le salon et le coin repas, avec une cuisine ouverte. La pièce est éclairée par une large baie vitrée donnant sur un balcon, que jouvre en grand.
Avant de me diriger vers ma chambre, je te lance :
- Fous toi à poil. Jai des choses à récupérer pour toi dans mes bagages.
Je mesure ton trouble. Des appartements font face au mien, et la baie leur offre une vue plongeante sur mon balcon et chez moi. Jai quand même le temps de te voir faire sauter les quelques boutons fermés de ta chemise, avant de disparaître à tes yeux.
Dans la chambre, je me change rapidement. Jenfile une minuscule robe fourreau, en maille extensible noir. Aucune bretelle ne la retient, et le tissu ajouré laisse passer mes tétons dardés. Et bien sûr, il ne cache rien, surtout pas le sillon de mes fesses, ni ma fente que ma mouille recommence à faire briller.
Je prends quelques objets dans mon sac de voyage, et je retourne auprès de toi. Je te retrouve nue, debout au milieu de la pièce, cachant tant bien que mal ta poitrine et ton sexe.
- Ça veut dire quoi, ces façons de pucelle ? Tu nes pas là pour jouer les saintes-nitouches, mais pour texhiber, et que tout le monde sache que tu es une salope. Et en plus, ma salope soumise.
Je me suis rapprochée de toi. Je saisis tes poignets, et je toblige à enlever tes mains. Je me plaque contre ton dos, et je te force à avancer jusquà la baie vitrée ouverte.
Je te fais face, et je sors deux pinces reliées par une chaînette. Je prends tes tétons entre mes doigts, je les tourne, je les pince, de plus en plus fort, tarrachant des grimaces de douleur.
- Tu aimes que je te fasse mal, hein, espèce de chienne ?
- Oui, Maîtresse, réponds-tu les larmes aux yeux.
- Très bien, comme ça, tu vas profiter de cette douleur.
Je coince tes aréoles dans les pinces, munies de petites vis qui me permettent de régler la pression exercée. Lorsque tes seins banderont, ce sera encore plus douloureux.
Au milieu de la chaînette pend une autre chaînette, à laquelle est fixée une troisième pince
Lorsque tu sens ma main descendre sur ton ventre, tu comprends ce qui va tarriver.
- En plus, tu mouilles comme une fontaine, ma salope, te dis-je en portant à ta bouche mon doigt, plein de ta cyprine. Suce
Pendant que tu lèches mon doigt, avec mon autre main, je débusque sans peine ton clito gonflé, et je lenserre dans la pince.
- Bien ! Maintenant, je vais minstaller sur le balcon, et tu vas me servir un verre.
- Maîtresse
. Tu oses sortir avec cette robe ? Cest comme si tu étais nue
Et moi, je le suis !
- Je ne te permets pas ce genre de remarque, te dis-je en memportant et en te giflant. Sers moi ! Et plus tard, je vais te punir.
Subjuguée, vaincue, tu te diriges vers le coin cuisine et tu ouvres le frigo, pendant que je minstalle sur un transat.
Lorsque tu reviens sur le balcon, tu me trouves en face de toi, à demi étendue, cuisses écartées. Te voir debout, en tenue dÈve, avec tes seins et ton petit bouton pincés, mexcite comme je lai rarement été.
Et tu nes pas en reste ! Je devine, sans même les toucher, la dureté de tes nichons bandés. Tu me tends mon verre, et je te contemple avec une expression perverse.
- Ils vont apprécier de te voir comme ça, les voisins. Pose un pied sur la table basse, et montre leur ta fente ouverte et trempée de petite pute prête à tout.
- Oui, Maîtresse, réponds tu en suivant mon ordre, la joue encore marquée par ma gifle.
- Et tu coules encore plus que tout à lheure ! Tu en as plein les cuisses.
Je déguste mon verre, en appréciant pleinement le spectacle que tu offres. Tout en buvant à petites gorgées, jouvre mon abricot juteux de la pointe de mes doigts.
- Regarde dans quel état tu me mets, salope. Tu vas devoir assumer, et me satisfaire.
- Je ne demande que ça, ma Maîtresse.
- Tu ne sais pas ce qui tattend. Viens
Je pose mon verre, et je tentraîne à lintérieur. Les choses sérieuses vont commencer
Je vais chercher une cravache, en cuir noire, terminée par une large mèche.
- À genoux. Les mains derrière la tête. Tu te cambres
Tu texécutes, en me fixant dans les yeux. Je lis dans ton regard un mélange dangoisse et dexcitation.
Du bout de ma cravache, je fouette dabord tes seins. Légèrement dabord. Puis plus fort. Des traces rouges apparaissent sur les deux globes gonflés, qui ne débandent pas, et tu te mords les lèvres, en continuant de me fixer.
- Baisse les yeux, espèce dinsolente. Depuis quand une chienne comme toi ose regarder ainsi sa Maîtresse ?
Tu obtempères, mais déjà la cravache sest abattue sur tes fesses, dans un claquement sec, et tu ne parviens pas à retenir un cri de douleur. Ce nest que le premier dune série de coups qui te cinglent, en laissant des zébrures rouges sur ton petit cul.
Des larmes coulent le long de tes joues, mais en bonne soumise, tu as conservé la pose que javais exigé que tu prennes. Ta poitrine se soulève au rythme des sanglots que tu réprimes, et les chaînettes se balancent, entre tes seins et ta chatte.
- Mets toi à quatre pattes, te dis-je brusquement, en posant ma cravache. Et cambre toi !
Tu mobéis encore, et dans cette position humiliante, tu moffres le spectacle de ton cul rougi dans lequel brille toujours ton bijou anal, de ta vulve gonflée et gluante, et de tes seins pincés. Dune main, je tire sur la chaînette, tout en massant ta chatte. Ta mouille dégouline sur mes doigts, et jen enfonce deux dans ta fente.
Je les fais aller et venir, tout en massant ton petit bouton avec mon pouce. Ton clito réagit au quart de tour, et gonfle de plus belle, malgré la pince qui lécrase douloureusement. Je tourne mes doigts, je les écarte. Tu touvres un peu plus et tu gémis. Jintroduis un troisième doigt, et je continue mes mouvements, pendant que tes gémissements se transforment en cri.
Puis cest mon quatrième doigt qui investit ta grotte de salope, et ma main senfonce plus profondément. Je sens, à travers la mince cloison, le plug du bijou anal, qui dilate ta rosette. Je te pistonne brutalement, tandis que tu te contractes spasmodiquement.
- Quest ce que tu fais, demandes tu, affolée, en sentant mon pouce forcer lentrée de ton fourreau.
- Tu tes déjà fait fister ?
- Non
Noooon !
Non, pas ça !
- Si
- Non, tu vas me déchirer.
- Tu oublies que je peux faire de toi ce que je veux ! Tu es ma pute soumise
- Oh, mon Dieu
Oh non
Oooooooh !
Jai réussi à glisser mon pouce, en le plaçant dans la paume de ma main, et cest maintenant toute ma main qui disparaît entre tes petites lèvres distendues.
Je recommence à bouger mes doigts, difficilement, pendant que la sueur coule sur ton corps, et que tu es secouée par des sanglots. En tournant, mon pouce touche ton point G, et tu hurles, de plaisir et de douleur mêlés.
Jinsiste. Jai mal à mes seins, tant ils bandent. Ma mouille dégouline de mon minou, et je ne peux pas mempêcher de me masturber frénétiquement.
Et soudain, un orgasme inattendu te terrasse. Tu pousses des cris inarticulés, et je jouis. Je gicle, inondant le parquet, en ponctuant chaque vague de plaisir dun râle rauque, animal.
Ma main luisante de cyprine poursuit un instant ses va-et-vient dans ton fourreau, que tes derniers spasmes contractent. Puis je la retire lentement, et tu te laisses tomber sur le parquet.
Je te contemple, ton superbe corps nu qui mappartient, tes seins pincés, que soulève ta respiration haletante. Je ne peux mempêcher de sourire, en pensant à tout ce qui tattend, toi, mon adorable pute soumise. Je nai pas fini de prendre du plaisir avec toi !
Et justement, tu commences à émerger, à revenir sur terre, après ce plaisir intense. Je prends ton poignet, pour taider à te relever.
- Tu as aimé, Laure chérie ?
- Oh oui, Maîtresse. Cétait trop bon, une merveilleuse soirée !
- Mais elle nest pas terminée, ma petite chienne !
- Tu veux dire que
- Oui, jai encore plein de projets. Je crois que tu aimes aussi les hommes ?
- Cest vrai, mais nous sommes seulement toutes les deux.
- Tu as raison. Mais jai déjà fait la connaissance dun de mes voisins. Il sappelle Jérôme. Nous nous sommes rencontrés dans lentrée de limmeuble, et il a tout de suite essayé de me draguer. Il me déshabillait du regard. Un vrai pervers, à mon avis. Et beau gosse. Il devrait te plaire !
- Je ne sais pas
Mais en réalité, tu ne le connais pas vraiment.
- Raison de plus pour que nous linvitions, pour nous découvrir mutuellement.
- Tu veux linviter ? Maintenant ?
- Oui. Ou plus exactement, cest toi qui va aller linviter. Il habite au même étage que moi, au bout du couloir.
- Je tobéirai, Maîtresse. Je mhabille, et je vais aller lui proposer de venir.
- Tu nas pas tout compris. Tu y vas, mais tu ne thabilles pas !
- Tu veux que je sorte dans le couloir, et que je me présente chez lui, nue ?
- Cest ça ! Tu es très bien telle que tu es, avec tes seins et ton clito pincés. Et ton bijou anal
Cest très chic, tu sais. Mets juste tes chaussures à hauts talons, ce sera plus sexy.
- Oh mon Dieu ! Quest ce que je vais lui dire ?
- Exactement ça
Et je texplique comment tu devras te présenter. Au fur et à mesure, tu passes par toutes les couleurs, de livide à écarlate. Mais je ne te laisse aucun échappatoire : si tu ne fais pas ce que je tai dit, ou si le voisin ne vient pas, tu seras punie, des sévices terribles.
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