La Gourgandine ( 24 )

24-----Le mercredi suivant, jour de ma leçon de conduite, je ne me suis changée, je suis en jupe jean étroite, ultra courte, corsage transparent, il peut voir les bouts roses de mes seins. Il est à l’heure, je m’installe au volant, mets mon sac derrière, ma jupe remonte en haut des cuisses, en se penchant il peut voir ma culotte Je lui dis :
- On est toujours d’accord sur les modalités ?
- Et toi ? D’accord pour que je te saute ?
- J’ai payé d’avance, je ne passe pas à la casserole aujourd’hui !
- Ok, aller, démarre ! Mais à chaque erreur t’auras un gage !
Il me fait faire différentes manœuvres, me demande ce que signifie tel ou tel panneau de signalisation. À chaque fois je réponds sans hésiter, conduit prudemment, respecte les limitations, il n’en revient pas. Ca fait déjà 1h que je suis au volant, on est loin de chez moi, en pleine circulation, à la dernière minute il me fait tourner à droite dans une petite rue. J’oubli de mettre mon clignotant,
- T’as oublié le clignotant, gares toi là !
Je viens de prendre un gage. Je dois faire un créneau, me gare entre 2 voitures. Il ouvre sa braguette, sort sa queue, il fait encore jour. Elle est raide, rouge, il bande déjà. Il ne va pas me faire asseoir dessus quant même. Il me regarde, passe son bras derrière mes épaules, me tire vers lui, me dit
- C’est ton gage, suces moi !
- Pas ici, on peut nous surprendre !
- Pas si tu te grouilles !
Je m’incline vers lui, le pompe, le branle doucement, il a l’air d’apprécier. Lui a passé sa main sous ma jupe, dans l’entrejambe de ma culotte, me titille le clito, engage ses doigts plus loin dans ma fente. Je me redresse, lui prends la main, la sort de ma culotte :
- Stop, feu rouge !
Je me remets au travail, au bout d’une dizaine de minutes, il se cambre, me tient la tête à 2 mains, me rentre sa queue à fond de gorge, décharge, j’étouffe, avale ses jets de foutre, dégluti.

Je me redresse, il remballe son matériel, me dit :
- Tu fais ça bien !
- J’aime pas le goût !
- T’aurais voulu quoi ?
- Rien, j’avais payé d’avance !
On repart, il me pose des questions sur mon travail. Je lui explique que je suis dans un service approvisionnement, que je négocie les prix avec les fournisseurs, passe les commandes. Il me dit :
- Je comprends mieux maintenant !
- Quoi ?
- La façon dont tu as réussi à obtenir ce que tu voulais !
- Non, avec vous j’ai négocié des leçons gratuites, c’est tout ! Je vous ai laissé le choix comme dans toute négociation !
- Au moins toi t’es directe, avec toi c’est oui ou non, reste à choisir.
- Les affaires sont les affaires ! Vous avez accepté mes conditions, à vous de tenir parole !
Je mets une bonne heure pour revenir au point de départ, il est plus de 8h lorsqu’il me dépose. Il me sert la main, prend ma place au volant, me dit :
- À la semaine prochaine, je ne pourrais te prendre que le vendredi à 7h, je n’ai pas de temps libre avant.
- Ok, bonne soirée !
À suivre 25