Léa, En Panne De Voiture
Javais rencontré Léa au détour dune route, devant le capot ouvert de sa voiture
Elle était en panne, et je proposais de la raccompagner. Vingt minutes plus tard, arrivés devant chez elle, elle me proposait un verre
Vingt minutes plus tard encore, je lui limais la chatte de lindex ; il faut dire quelle était fort accueillante
Et aussi, que tout en sirotant notre drink, je lui avais servi quelques fadaises et autres blagues
Elle semblait sen amuser, mes blagues devenaient plus grivoises, je me risquait à lui caresser le bras, la hanche, et continuais par un patin éclatant, quelle ne refusait pas plus
Jolie rousse un peu ronde, elle semblait accepter facilement tout, avec un petit sourire
Je découvris, plus tard, que si elle ne prenait guère dinitiatives, elle se prêtait à tous les jeux que je pouvais lui proposer. Après le baiser, jattaquais sa vaste poitrine, un peu lourde, descendait vers son pubis, toujours pas de réactions négatives
Et continuais donc en la dépoilant un peu, chemisier, jupe ; elle portait des sous vêt noirs, avait une poitrine opulente, des hanches larges, des fesses épaisses, et était rousse naturelle, comme le démontrait quelques poils échappés de sa culotte. Je sortais bien vite de mes habits, en slip moi aussi, et retournais la peloter.
Toujours souriante et passive, elle me laissait la cajoler de partout, de la langue et des doigts
. Je dégrafais son sous-tif et lui caressais les nichons à pleine paume ; je glissais aussi une main dans son string, lindex dans la fente et la titillais : elle mouillait faiblement ; je la déculottais, poussais lindex à fond, elle souriait toujours, mavait juste passé les bras autour du cou
Je la limais, lentement, cherchant son clito du pouce, attendant une réaction
Rien, ou si peu, elle respirait fort, simplement. Je découvris plus tard quelle pouvait jouir sans que cela se remarque vraiment, et que même prise à limproviste, elle nétait jamais vraiment sèche, ni vraiment ruisselante dailleurs
Après quelques minutes de branlage intense, elle sétait projetée deux ou trois fois le con sur mon doigt, javais encore accéléré mon doigtage, et elle mavait fait : Ah ! Cétait bon, merci
.
Elle avait la touffe fournie, ça lui débordait sur les cuisses, lui dissimulait labricot. Je jetais mon slip, la couchais sur la moquette, et lui enfilais ma bitte. , Elle avait le vagin accueillant et moelleux, peu serré, Javais limpression de tringler dans de la ouate, je pouvais y aller à grands coups, je ne risquais pas de gicler à limproviste
Elle avait encore eu deux ou trois coups de cul, et mavait remercié : Oh, oui, encore, encore
. Sapristi, pas une contraction, pas un spasme, à part cette brève et légère participation. Et toujours son bon sourire
Allez, viens, mets toi à quatre pattes, que je tenfiles par derrière
. Oh, cochon !.
Mais elle sexécutait, toujours souriante. Elle moffrait à présent son large cul.
Je minstallais derrière elle, lui écartais les genoux, tendais la paume sous sa touffe, et raclais en arrière vers sa vulve, cherchant son clito, un peu au hasard : Ho
. Taimes quon titille le bouton, hein ? Vas-y, ma belle, mets toi un doigt
. Oh, cochon
.
Son expression la plus salace, sûrement. Elle obéissait encore, et se posait un doigt dans la vulve. Et bien, branles toi, maintenant, si tu veux que je tenfiles !. Ho
. Mais, doigt contre doigt, je la sentais obtempérer, encore. Et lauto-branlage semblait la ravir : elle avait un peu creusé les reins, et son doigt allait toujours
Je lui pointais de la main le gland en bord de fente, et lemmanchais lentement, mais bien régulièrement ; jétais sur un genou et un pied, entre ses jambes, et lui glissais, bien à fond, avant de me branler la tige entre ses lèvres à petits coups rapides et courts.
Je lâchais ses mamelles, lui ouvrais la raie, et lui caressais le petit trou, testant son élasticité. Ho
, cochon !.
Décidemment
Je préférais de toute façon une moule à un trou du cul, donc
Je débitais, puis : Viens me sucer, pour voir
. Je mallongeais, et toujours consentante, elle mattrapait la tige, prenait mon gland dans sa bouche
La vache, elle me secouait la queue, tirant exagérément le prépuce vers le bas et me massacrait le bout
Ho, ho ! Attends, je texplique comment jaime
Prends ma trique dans ta main, juste sous la couronne, voilà
serres un peu
Ho, pas si fort
Non, un peu plus fort
Voilà
Maintenant, ouvre la bouche, et pose la sur ton poing
Voilà ; ferme, et sans les dents, hein
Oui
Voilà
Maintenant, recule la tête et la main, ensemble, jusquà ce que taie plus rien dans la bouche
Voilà, et maintenant revient au départ
Voilà, pas mal, continue. Effectivement, elle apprenait vite, et bien drivée, on devait en faire quelque chose. Mon prépuce recouvrait et découvrait alternativement mon gland, avant de glisser entre ses lèvres. Bon, arrête, cétait bien, mais ça suffit
. Avec ses talents cachés, elle aurait bien pu me faire gicler à limproviste, et je préférais profiter encore de sa moule de velours.
Je masseyais à terre : Bon, lèves toi
Tournes, je veux voir tes fesses
Voilà, poses les épaules sur la table, oui, écartes las pieds, encore, bien
. Javais une vue magnifique sur son cul, son con et ses nichons pendants ; Toujours assis, je mapprochais : je ne voulais pas en rater une miette ! Bon, maintenant, une main à la moule !.
Non, au panier, jai dit !. Sa main descendait encore
Bien, enfiles toi un doigt
Bien doucement, et à fond. Ho !. Je voyais son index disparaître doucement entre ses lymphes, jusquà la paume
Bon, maintenant, branles toi
. Ho !. Et titilles toi un tétin, en même temps !. Je voyais son index apparaître et disparaître dans sa fente, et son téton roulait dans ses doigts ; elle respirait fort et ses reins creusaient au rythme de son branle.
Je me levais, mapprochais, lui caressais un peu la fente : Laisses ton doigt, ramones toujours
. Je posais la main sur ses reins, les creusant encore, et le gland au bord de sa fente, attendais que son index ressorte, et lui poussais ma bitte quand elle se remettait le doigt
Haaa
haaaaa
. Je suivais son rythme, deux ou trois fois, puis accélérais le mouvement ; je frottais dans son vagin et sur son doigt, et ça mexcitait considérablement
Tu veux ten prendre plein la chatte ? Tas quà demander
Demandes
. Oui, je veux men prendre plein la chatte, viens, viens sil te plaît
. Jaccélérais le mouvement, je me sentais durcir et grossir, elle se branlait toujours ; je lattrapais par les hanches, et la tirais violemment sur ma pine, pour lenfiler plus loin ; je sentais mes couilles battre sur son poing, et sa mamelle libre oscillait sous mon boutoir. Et je lâchais mon foutre dans son ventre, en quelques giclées chaudes
Quelques minutes plus tard, elle mavait repris dans sa bouche, toujours quémandeuse...
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