L'Éducation : Chapitre 5
Chapitre 5
Demain, cest le grand jour. Mes Maitres reçoivent leurs amis et je dois leur faire honneur. Ils ont beaucoup investi sur moi, pour mon éducation. Ils mont appris toutes les règles de lamour, du libertinage et de la soumission. Ils ont fait de moi une parfaite petite perverse une vraie vicieuse.
Ils adorent me «punir». La plus part du temps cest Mon Maitre qui exécute les corrections : il sagit souvent du fouet sur les fesses, parfois sur les seins et même quelques fois il lui est arrivé de me faire rougir le coquelicot. De temps en temps il me donne aussi la fessée, comme on punirait une petite fille. Cest Madame qui mattache, car même si je ne vais pas menfuir, ni même résister, les entraves donnent plus de piquant aux châtiments. Dailleurs, je trouve ça très excitant dêtre à leur entière merci. Jaime subir, avoir limpression de navoir dautre choix que celui quils mimposent. Bien que je partage complètement leurs perversités, être attachée, les yeux presque toujours bandés, fait de moi une «victime» de leurs débauches. Je suis leur esclave.
Quelques fois cest Madame qui me punit : avec elle pas de coups. Je dois me dévêtir entièrement, puis me mettre à quatre pattes. Elle me passe alors un collier et une laisse autour du coup, mattache les poignets dans le dos, me bande les yeux et me fait coucher sur une couverture à côté du canapé. Elle me flatte la croupe, comme elle le ferait pour sa chienne, cest dailleurs ce que je suis. Je dois rester là jusquà ce quelle mordonne de lui lécher sa délicieuse chatte, puis de sucer le sucre dorge de Mon Maitre. Ensuite lorsquils ont jouis tous les deux, lui dans ma bouche, je dois me recoucher à leurs pieds. Si jai été bien sage, elle me fourre un gode dans ma chapelle ardente ou dans ma caverne mystérieuse et mastique jusquà la jouissance.
Cet après midi, Rose vient à la maison pour mépiler intégralement. Jen jouis davance, car Rose adore me lécher après la séance, «Pour calmer le feu» dit-elle.
Vendredi matin ! Je nai pratiquement pas fermé lil de la nuit, jai la figure déconfite. Au petit déjeuner Madame me gronde :
- Tu aurais du prendre quelque chose pour dormir, regarde moi cette tête ! Cest à faire peur. Avale rapidement ce comprimé et va te recoucher. Tu dois être en forme pour ce soir : cest ton soir ! Vers 15 heures, Rose viendra te maquiller et te coiffer. Allez, au lit et cet après midi pas de léchouilles avec Rose et Marie. Je te veux en forme lorsque je rentre du palais. Bertrand devrait rentrer de son déplacement en province vers 18 heures. Je ne veux pas quil te voit avec cette tête de papier mâché.
Après avoir avalé le somnifère, je suis retourné me coucher et cest Rose qui me réveille. Marie a préparé une collation, car je nai rien mangé depuis la veille au soir. Puis je me laisse aller dans les mains habiles de Rose. A la fin, elle me mène devant le miroir et je nen crois pas mes yeux. Je suis métamorphosée. Ça tient à la fois de la plus grande sophistication et pourtant jai bien lair de ce que je suis : une pute ! De me voir ainsi me fait monter des frissons de partout. Je pense, je suis sûre que les amis de mes Maitres vont être ravis. Je vais faire un triomphe. Cette transformation me remplit dassurance. Rose a préparé mon corps comme on prépare un objet dart que lon doit livrer aux regards des spectateurs.
- Elle est magnifique ! Sécrit Marie, Rose tu as fais un travail superbe ! Madame sera ravie
et ses invités ne vont pas en revenir !
- Il fait reconnaître que la matière première est dexcellente qualité ! Renchérit Rose. Tu as vu ses seins, la cambrure de ses reins
et son cul ! à damner un saint ! Ce que sont loin dêtre les amis de Monsieur et Madame ! Ils vont tous vouloir mettre leur cierge dans son charmant tabernacle et dans sa grotte profonde.
- Et connaissant Vicky, comme nous la connaissons, ni ses messieurs, ni ses dames ne vont regretter leur attente dun mois, conclut Marie.
Jai pris lhabitude que lon parle de moi, comme dune chose. Ça mexcite. Je ne réponds pas à leur bavardage, je suis un objet de plaisir pour mes Maitres et à partir de ce soir pour leurs amis. Il est normal que lon me traite comme telle. Je nai pas à me poser de question, je dois être sensuelle et obéir. Mon souci du moment est de savoir ce que Madame a prévu que je porte ce soir. Elle arrive dans moins dune heure. Il va falloir que je patiente jusque là. Pour linstant je prends un peu de repos dans ma chambre.
Je suis sagement assise dans le fauteuil de ma chambre quand Madame fait son entrée avec ma tenue. Il sagit dune jupe noire, stricte, et dun chemisier blanc classique. Seule la possibilité dôter rapidement cette tenue grâce à la fermeture à glissière de la jupe et des boutons pressions du chemisier, la rend un peu provocante. Je suis un peu déçue, je pensais que Madame aurait choisit quelque chose de plus sexy, bien sûr cest assez moulant et laisse bien deviner mes formes généreuses. Sajoutent, un petit tablier en dentelle blanche, un collier de chien en cuir blanc et strass, des bas noirs et des escarpins vernis. Comme je my attendais je ne porte aucun sous-vêtement. Cest la seule chose qui mexcite un peu.
- Cest ta tenue pour servir à table, ne fais pas cette tête ! Pour ta première prestation, tu ne te voyais pas servir complètement nue ! Rassure-toi, je ne crois pas que tu la garderas longtemps, tout juste le temps du repas. Ils savent tous que tu nas rien dessous, ils ne vont pas se priver de te tripoter et je gage que tu serviras le café, voir peut-être même le dessert avec juste tes bas et tes talons hauts.
- Ouah, dit Mon Maitre qui vient juste darriver.
- Tu vois, grande sotte, que cette tenue te va à ravir. Bertrand en a le pistil tout émoustillé
. Tiens-toi tranquille, vieux dégoûtant, ce soir cette pétasse est le cadeau pour nos amis. Tu as le loisir de te la farcir tous les jours !
- Alors cest toi que je vais sauter, car là jai la verge en feu.
- Vas prendre une douche et garde tes forces pour tout à lheure.
20 heures, les premiers invités arrivent. Cest Marie qui va ouvrir. Je ne dois faire mon apparition quaprès que tout ce beau monde soit passé à table. Ils sont dix, Mes Maitres compris : sept hommes et trois femmes, avec moi ça fera quatre. Marie ne participe que très rarement à ces soirées. Dans loffice, je les entends parler de moi. Mes maitres vantent mes qualités desclave soumise et de salope, dobjet de plaisir. Les autres ne cessent de poser des questions :
- Elle suce bien ? demande une voix féminine.
- Et les pipes ? Demande un homme. Moi jadore quune femme avale mon jus, est-ce quelle avale ?
- Elle accepte dêtre enculée ? demande un autre et la double pénétration, elle na rien contre jespère ?
- On pourra la baiser avec des godes ? Intervient une autre.
- Allons mes amis, répond Madame, navez-vous jamais été déçus par lune de nos soubrettes ? Non !... et bien croyez-moi, celle-ci surpasse toutes les autres ! En plus cest une vraie soumise ! Elle adore être punie quand elle fait des «bêtises». Je la soupçonne même den faire exprès pour recevoir le fouet. Bertrand la déjà fouettée partout, cul, nichons et même la chatte et la petite cochonne trouve encore le moyen de mouiller. Enfin, je ne vais pas tout vous dévoiler, il faut que vous ayez la surprise. Passons à table, vous aurez tout le loisir dadmirer notre pouliche. Comme dhabitude, elle ne porte rien sous sa robe, vous pouvez toucher la marchandise, mais essayez quand même de vous tenir jusquà la fin du repas. Cest une novice, et bien quelle soit très vicieuse, il faut la faire languir avant de la consommer.
Elle mexcite de parler ainsi. Si ça ne tenait quà moi, je me présenterai nue devant ses invités pour me faire sauter sur le champ. Mais Madame ne serai pas contente. Je dois obéir et accepter de ménager ses effets. Cest elle qui reçoit, je ne suis que lesclave de service. Jécarterai les cuisses quand on me le dira
Mais que ça me démange
Madame minterpelle :
- Vicky, mon petit, vous pouvez commencer votre service.
Je tremble de tous mes membres. Pour me réconforter, Marie glisse sa main entre mes cuisses et caresse un instant mon bouton.
- Courage, ma salope ! pense que tu vas ten prendre de partout ce soir. Belle comme tu es, ils vont te ramoner comme tu ne las jamais été. Fais-moi confiance !
Timidement, je fais mon entrée dans le séjour, avec le plateau des hors duvre. Je sens le rouge me monter aux joues, quand le silence se fait. Chaque invité me détaille de la tête aux pieds, comme pour un bestiau. Ça mexcite. Je sais que dici la fin de la soirée, mon corps aura reçu les «hommages» de chacun dentre eux. Cette pensée me rend mon courage. Je relève la tête et gonfle ma poitrine fièrement, comme une bonne petite pute. Je propose le plat à tour de rôle à tous les convives. Personne ne parle. Ils en sont à lobservation. Certains pourtant me frôlent «involontairement» en se tournant vers moi pour se servir. Un dentre eux a même risqué de meffleurer les fesses. Je me cambre légèrement pour lui faciliter la manuvre. Madame ne perd rien des gestes de ses amis. Elle me sourit gentiment comme pour mencourager. Je repars en cuisine satisfaite de moi. Jai plutôt bien réussi la première épreuve.
Au deuxième service je fais en sorte de me pencher bien en avant afin que chacun dentre eux puisse profiter de mon décolleté, aussi bientôt :
- On ne pourrait pas en voir un peu plus de cette charmante pouliche. Je pense quelle a des nichons de déesses et cest un péché de cacher ses mamelles plus longtemps.
- Maitre de Chazot a raison, on a tous envie de voir et surtout de toucher, renchérit Maitre Clotilde Duclos, lassocié de mon Patron.
- Vous navez aucune patience, mes chers amis, intervient Sophie. Vicky vient ici.
Docile, je mapproche de Madame. Elle se lève, se place derrière moi, dun geste rapide dégrafe mon chemisier libérant mes seins puis elle lenlève aussitôt. Me voilà la poitrine à lair devant des personnes que je ne connaissais pas il y a juste une heure. Je suis fière de mexhiber ainsi. Madame se colle contre moi et titille mes mamelons pour les faire durcir. Chacun des invités y va de sa plaisanterie salasse. Ça mexcite de les entendre me traiter de :
- Salope, de chienne en chaleur, de petite pute
jen passe et des meilleures.
- On va passer une bonne soirée avec une cochonne pareille !
Après être passée entre toutes les mains, je retourne à la cuisine chercher le dessert. Il sagit dune mousse au chocolat. Je commence à comprendre pourquoi Madame et Maître ont choisit ce dessert
Je crois que je vais servir de plateau repas. Je fais mon entrée avec le plateau sur lequel sont posées les coupes de mousse. Lorsque jai servi chacun des convives, Madame minterpelle :
- Viens, approche. Nos amis veulent en voir davantage. Comme cest moi qui tai enlevé ton chemisier, il est normal que le privilège dôter ta jupe revienne à lun de nos hôtes. Cela ce fera sous forme de jeux de dés. Tu vas être le lot gagnant de celui ou celle qui fera le plus gros chiffre. Mesdames à vous lavantage.
Il y a de fortes chances que ce soit un home qui gagne puisquils sont plus nombreux. Madame et Maître ne jouent pas, cela va de soit honneur aux invités. Chacun lance les dés à tour de rôle et ils samusent comme des fous. Je reste stoïque à côté de Madame, attendant le vainqueur.
- Douze, annonce un homme.
Il sagit dun jeune médecin, Docteur Pierre Duval, installé depuis peu dans le quartier. Madame lavait fait venir un jour que Marie était souffrante. Je lavais trouvé très séduisant et jignorais à ce moment quil faisait partie des soirées de mes patrons.
Pendant que ces messieurs dames me jouaient aux dés, Maitre avait placé à mon cou, mon collier et ma laisse de chienne docile.
- Bravo, cher Pierre venait chercher votre lot. A vous lhonneur de finir de dévêtir cette chienne.
Le Docteur attrapa la laisse et me fit faire un tour de salon, comme pour exhiber son trophée. Ensuite il me fit monter sur une chaise, et sous les encouragements des ses comparses entrepris denlever ma jupe avec la lenteur nécessaire pour exciter mes sens et ceux des invités. Ce nétait que sifflet, mots grossiers, mais tellement excitant, à mon égard, jen avais la chatte humide. Lorsque la jupe fut par terre, il me fit descendre de mon piédestal et me promena encore une fois autour du salon. Les quolibets fusaient toujours et je mouillais de plus en plus. Comme lavais prévu Madame, je me retrouvais avant le café, en bas et talons, entièrement nue devant ses invités qui salivaient déjà à lidée de la soirée qui allait suivre
.Cest vrai, la brûlure est moins sensible. Je commence à y trouver presque du plaisir, dautant que lune des filles sest saisie de mes nichons et les s avec application. Je ne résiste jamais à ce genre de traitement. Je mouille à nouveau tellement que la cyprine coule le long de mes cuisses.
-
Dix-sept
Une langue lèche mon entre jambe. Je jouis malgré les coups de fouet.
- Vraiment, il ny a rien à dire
cette fille est une vraie salope. Même la punition la fait jouir. Je crois quelle est prête. Nos amis vont être satisfaits. Vendredi sera son jour dentrée dans le libertinage. Elle va y être la reine de nos soirées. En plus elle continue à compter, malgré la douleur et lorgasme
-
Hummm
Vingt
- Sophie et moi sommes fiers de toi, tu es notre chef duvre. On na jamais vu de soumise aussi chienne que toi ! Dis-nous ce qui te ferait plaisir ?
- Enculez-moi, Maitre. Je veux que vous soyez le premier à honorer mon cul de salope.
Madame me détache, minstalle sur le lit de la chambre de repos en position. Jai toujours le bandeau sur les yeux et personne ne songe à me lôter. Cest très bien comme ça. Des doigts pénètrent mon anus pour le dilater, puis je sens la bite de mon Maitre senfoncer dans mon arrière-boutique. Je jouis pour la première fois du cul. Marie membrasse à pleine bouche, pendant que Madame roule une pelle à son mari.
Je suis prête maintenant : Je nai plus de tabou. En tout juste un mois je suis devenue une esclave sexuelle, soumise et heureuse de lêtre
Vendredi prochain, je vais être offerte aux amis de mes Maitres
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