Soumise À Son Homme

Je ne porte rien qu’un serre taille, des bas et des talons aiguille. C’est dans cette tenue que M. a voulu que je lui serve son repas. J’ai vraiment l’air d’une pute. Mais M. aime ça et moi aussi.
Régulièrement il exige de moi que je me soumette à ses fantasmes. Celui de la soubrette est le plus récurant, seule la manière dont je suis habillée change : parfois une jupe noire courte, très courte et un chemisier blanc et transparent qui laisse voir mes seins, d’autres fois un corset seins nus avec un petit tablier qui cache à peine mon sexe, toujours des bas noirs à résille et des talons hauts. Quelques fois c’est une tenue d’infirmière, toujours les seins nus ou visibles sous un haut transparent, mais quelque soit la manière dont je suis vêtue, j’ai toujours l’air d’une salope et je dois lui être soumise dans tous ses fantasmes.
Il y a quelques années c’est moi qui lui ai demandé de me punir, ça m’excitait d’être à sa merci attachée et fouettée avant qu’il ne me baise. Au début il n’était pas très enthousiaste, il avait peur de me faire mal. Puis lui aussi il y a pris du plaisir et maintenant c’est lui qui est le premier partant.
Un jour il a voulu me sodomiser. Je n’étais pas très chaude, j’avais peur, mais pour lui faire plaisir j’ai accepté. Depuis j’adore qu’il m’encule : je suis devenue une salope complètement soumise à son homme. D’ailleurs pendant nos ébats, c’est le nom qu’il me donne, je ne suis plus N. je suis Salope.

Le repas est terminé et je lui porte son digestif au salon. Je le pose sur la table basse et j’attends ses ordres.
- Vas chercher les menottes et le bandeau, ensuite tu porteras les fouets, les godes et les vibros. Je vais m’occuper de ton cul. Dépêche-toi Salope.
Je reviens avec le coffret qui contient les jouets que M. a demandé. C’est moi qui les achète en prévision de ses fantasmes. Je suis une vraie chienne.
M. est maintenant assis dans le fauteuil. Je suis à genoux entre ses jambes.


- Allez approche que je te fourre ma bite dans la bouche et suce moi bien chienne.
Il impose le rythme en me tenant par les cheveux. Il m’a attaché les mains derrière le dos et bandé les yeux. Je sais qu’après l’avoir longuement sucé il va me fouetter.
- Tu te comportes comme une salope, alors, je suis obligée de te punir.
Il me fera lever, attachera mes poignets au dessus de ma tête avec les menottes, me conduira contre la porte pour que je lui présente mon cul. Là avec un fouet ou un martinet il s’acharnera sur mes fesses jusqu’à les faire rougir, tout ça en me traitant de vicieuse, de chienne, de pute etc… J’aime ça, ça m’excite terriblement. Parfois sa main glisse entre mes cuisses et il caresse ma fente humide, il pénètre mon intimité avec ses doigts et ensuite il me fait sucer ma mouille. Puis le fouet reprend sa danse sur mon cul.
- Tourne-toi que je m’occupe de tes nichons. Je vais les faire durcir, les faire bander. Allez Salope plus vite que ça, bombe bien la poitrine.
Je me retourne les seins en avant et il me plaque contre la porte. Il commence par me les pincer avec vigueur.
- Tu aimes ça hein, Salope, pute. Tu aimes te faire triturer les nichons. Vas-y dis le que tu aimes ça.
- Oui, Monsieur, j’aime ça, z moi mes nichons de salope. Hummm, Ouiiii, Encooore !
- Quelle pute tu fais. Tu vas voir ce que je vais te mettre, tout à l’heure. Tu vas t’en prendre plein le cul, plein la chatte, ta chatte de pute, de vicieuse, allez dis-moi que tu es une salope qui aime se faire baiser.
- Oui, insultez moi, je le mérite, je suis une Salope, qui aime se faire baiser, s’en prendre plein le cul.
Il me pince toujours les mamelons, puis il les prend entre ses doigts et le fouet recommence sa danse folle, mais cette fois sur mes seins. Ça brûle un peu, mais putain ce que ça m’excite. Je mouille comme une malade.
- Allez, à genoux maintenant esclave, on va dans la chambre. Je m’exécute. Quel cul de salope !
Pendant que je monte les escaliers à quatre pâtes, M.
continue à me fouetter le cul. Je traverse le couloir et je rentre dans notre chambre, toujours agenouillée comme une chienne. M. me fait allonger sur le dos, les bras toujours attachés au dessus de ma tête.
- Ecarte bien tes cuisses de pute, que je vois ta chatte.
Je replis mes pieds vers mes genoux et j’écarte le plus que je peux afin que M. puisse profitait du panorama. M. aime bien que je sois complètement épilée, cela lui permet de mieux profiter de la vue sur mon clito. J’attends, et pendant une minute, rien ne se passe. Je l’entends qui farfouille dans le coffret à malice. Bientôt je perçois un bruit familier et je sens le gode se présenter sur ma chatte. Il me pénètre et M. commence des allers et venues jusqu’à ce que je jouisse.

Une fois, je lui ai demandé de me fouetter le clito après cette pénétration, ça fait une peu mal, mais ça provoque aussi des sensations d’excitation intense, un peu comme quand on mange une glace, c’est froid, ça pique sur la langue, mais pourtant on continue à lécher car en même temps c’est tellement bon.
Pour le moment, il me lèche la chatte avec délectation tout en me pinçant le bout des seins. Je jouis de partout et je mouille comme une pute. Alors la langue encore pleine de mon suc, il vient m’embrasser à pleine bouche. J’aime avoir le goût de ma mouille dans la bouche. Il a du lire dans mes pensées, car il prend un petit martiner en latex et entreprend de me fouetter la chatte encore en pleine excitation.
- Alors, Salope, tu vois ce qui arrive aux putains de ton espèce ? Tu jouis comme une perverse, voilà la punition que tu mérites. N’oublie pas que tu es mon esclave et que je fais de toi ce que je veux. Tu es là pour m’obéir.
Il en profite pour me pincer les nichons. Je devrais avoir mal, j’ai mal, mais le plaisir l’emporte sur la douleur et je jouis encore.
- Il n’y a rien à faire, tu es vraiment une chienne soumise. Tourne toi, que je t’encule. Plus vite que ça, Salope.
Et il me file une énorme claque sur le cul, la première d’une longue série.

- Je croyais que vous vouliez m’enculer ?
- Ferme-la, je t’ai déjà dis que je faisais ce que je voulais. Pour le coup, tu vas encore prendre une autre fessée, et je ne t’enculerais que si tu me supplies.
Sa main s’abat sur mes fesses ? Dans ma tête, je compte les claques. 30 déjà. Il est temps que je le supplie ou mon cul va devenir écarlate.
- Enculez-moi, je vous en prie, prenez mon cul de pute, de chienne. Enfoncez votre queue bien en profondeur. Je ferai tout ce que vous voudrez, je suis votre esclave, votre soumise.
- Suce-moi avant, Salope, pour bien lubrifier ma queue. Ensuite je t’enfoncerai le vibro dans le cul pour te dilater.
Je suis à genoux sur le lit, la bite de M. juste devant ma bouche. Il me la met sur le bord des lèvres et je m’en empare goulûment. Je le suce avec application, je lui lèche les couilles et reprends la bite dans ma bouche. Au bout de quelques minutes de ce régime, M. me demande de lui présenter mon cul et il me pénètre avec le vibro pour bien me dilater. Enfin il retire l’engin et le remplace par sa bite.
- Tiens prends ça, Salope. Tu la sens bien dans ton cul ? Vas-y ma Salope, dis que tu aimes ça, te faire enculer ? Dis le, Salope.
- Oui, Monsieur, j’aime ça quand vous m’enculez, je suis une chienne, une salope. Allez-y, défoncez moi le cul, prenez moi comme la putain que je suis. Faites de moi ce que vous voulez. Je suis votre esclave, une salope. Ouiiii, c’est ça, encore, plus fort.
- C’est tout pour le moment, on verra plus tard, si tu es sage, peut-être que je te prendrai encore ton cul de chienne. Pour l’instant allonge-toi sur le dos et caresse toi la chatte, j’aime quand tu te fais jouir. Ecarte bien les cuisses que je vois bien ce que tu fais. Pendant ce temps tu vas me sucer la bite et moi je te pincerai tes nichons de garce.
J’adore me masturber et encore plus devant mon homme, surtout lorsque j’ai sa bite dans la bouche et qu’il me les seins. Il pourrait tout me demander dans ces moments.
Je ne vois pas ce qu’il pourrait me demander d’autre, car je crois avoir déjà accepté tous ces fantasmes mais je sais que je ne serais pas en mesure de lui refuser quoi que ce soit.
Bientôt je jouis, je ne sais plus où j’ai la tête. J’arrête la masturbation et M. se met à me sucer. Alors je crie mon plaisir, l’orgasme que j’ai déclenché atteint son paroxysme. Je profite de lui caresser les fesses car il m’avait libéré les mains avant que je commence à m’astiquer le clito. Ma jouissance est telle que j’ai envie de hurler, de mordre. Comme il me suce bien, j’aime sa langue sur ma fente.
- Suce-moi, suce ta Salope. Ouiii, je t’aime, prends moi !
- Tourne-toi et mets-toi à genoux. Je vais te bourrer ta chatte et ton cul. Tu vas t’en prendre des kilomètres de bite.
M. me prend d’abord la chatte puis le cul et à nouveau la chatte. Je sens son plaisir monté. Il revient entre mes fesses et bientôt il explose dans mon cul. Il continue à me labourer et l’orgasme arrive qui m’envahit totalement.
- Mon amour, je t’aime, je t’aime.
- Moi aussi, je t’aime, j’aime quand tu me fais l’amour. C’est si bon.
Nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre.

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