La Gourgandine ( 26 )
Je me lève, prends mon sac, récupère mon châle. Il est 10h1/2, on se dirige vers la sortie. Arrivés dans le hall, il sarrête :
- Si tu veux on peut passer la nuit ici ?
- Je suis fatiguée, jaimerais rentrer chez moi.
- Bon, je ninsiste pas, je te ramène ?
- Cest pas cque vous avez prévu ?
- Non, mais cest toi qui décide!
Je le regarde, il doit être déçu, cest ici quil compte me sauter. Jhésite un instant puis me dirige vers lescalier, commence à monter les marches, me retourne. Il est toujours dans le hall, me regarde, minterroge du regard. Il retourne dans la salle du restaurant, revient avec une clé, je monte, il passe devant dans le couloir, ouvre une porte de chambre, me laisse entrer la première. Jenlève le châle que jai jeté sur mes épaules, le pose sur une chaise avec mon sac. Il quitte sa veste, sapproche de moi, enlève mon boléro, le jette sur le lit, passe les mains le long de mon corps, les arrête sur ma poitrine, fait tomber ma robe au sol, comme je nai pas de soutif, je me retrouve toute nue.
- Tas pas mis de culotte ?
- Pourquoi, y fallait ?
- Si javais su !
- Quauriez vous fait ?
- Jaurais pas perdu tout ce temps !
Il se colle contre moi, met une main sur ma toison, un doigt astique mon clitoris, je remue le bas ventre, mouille. Lautre main soccupe de ma poitrine :
- Doucement, on a toute la nuit !
Mes seins durcissent, mes tétons sérigent, il se frotte contre moi, ses doigts fouillent mon sexe. Je le repousse, me dirige vers la salle de bain, il me suit. Je me soulage, me rince la moule, pendant ce temps, il enlève son pantalon, son slip, il ne bande pas, la queue pendouille, il la lave. Je lui dis :
- Jaime pas quon me regarde !
- Fait moi une pipe!
Ce quil me présente est mou. Je suis installée sur le bidet, me penche en avant, prends son instrument en bouche. Bon sang que ça va vite, ce quil devient gros et dur, jarrive à peine à rentrer le gland dans ma bouche.
- Stop, pas dans ma bouche !
Je me relève, jai le cul tout mouillé, il ne me laisse pas le temps de messuyer, maplatit sur le lavabo, une main mappuie sur le dos, il écarte mes jambes avec ses pieds, place son vit devant mon trou, pousse, ça y est, il me la rentré jusquau fond. Il commence à me pilonner hard, je mouille, il ne faut pas quil décharge maintenant, on a à peine commencé, il est trop pressé. Je le repousse dun coup de cul, me libère de la bite qui est en moi, referme mes jambes, me dégage, proteste furieuse :
- Non, mettez une capote !
- Jveux te baiser sans !
- Pas question ! Y a trop de risque !
- Alors passe men une !
Il ramasse pantalon et slip, on revient dans la chambre, il a déjà le cul à lair, il ne lui reste plus quà enlever sa cravate, sa chemise. Je récupère ma robe et mon boléro, les met sur la chaise avec mon sac et les autres vêtements. Je prends une capote dans mon sac, la lui donne, il séquipe.
- Ca te plait comme ça ?
Il me prend à bras le corps, me soulève, je me retrouve allongée sur le lit, cuisses écartées, cul relevé. Il plonge sa tête entre mes cuisses, sa bouche aspire ma moule, bouffe mon clito, il enfonce ses doigts dans mon vagin, je pousse des petits cris,, ohouioui, mouille terrible. Il me retourne, je suis sur le ventre, il me tire par les hanches, me relève le cul. Je me retrouve en levrette, coudes sur le lit, reins cambrés. Il se met à genoux derrière moi, place sa queue en contact avec mon orifice, un coup de rein, ça rentre, la queue est de nouveau au fond.
- Aïeouille !
Il senfonce dans la salle de jeu jusquaux couilles, me burine, je lentends haleter.
- Tes pas en forme ?
- Jsuis trop crevée, on dort ?
Il faut dire que jai eu une rude journée, que jai bu un peu trop de vin et quil va être minuit. On se glisse dans les draps, sous la couette, je lui tourne le dos, colle mon cul contre son ventre, mendors.
Il est 6h du matin, je suis reposée, me réveille. Il est là, allongé à côté de moi, dors. Jallume ma veilleuse, soulève la couette, regarde. Elle est là, au repos, affalée sur les couilles. Je me lève, file me soulager, reprends une capote au passage. Je me sens en forme, de la voir ça me fait mouiller, elle me fait envie, je veux quil me la remette, pour ça il faut que je men occupe. Doucement je la caresse, dégage bien le gland. Pas de réaction. Pourtant je sens quelle grossit, se redresse lentement. Il pousse un soupire, je crois quil rêve ! Ma main sactive un peu plus, je prends le gland en bouche, suce, la voilà raide et rouge, ça va être bon, je déroule la capote. Elle la mettant, je me dis que cest inutile, il a déchargé dans mon antre hier soir. Il se réveille.
- Quest cque tu fous, laisse moi dormir !
Mais je grimpe sur lui, le chevauche, prends la queue, la guide sur mon trou, descends lentement, lenfourne jusquà la garde. Je monte et descends sur ce pieu, fait des mouvements du bassin avant / arrière, il me regarde, ahuri, le voilà qui maide par des coups de reins.
- Wouaaahiiiii !
Il étouffe mon cri, on bascule sur le côté, jai les jambes pliées, les cuisses serrées, il sacharne par derrière, je suis la cadence, vais au devant de la bite, cest dingue ce quil marrive ! Il me retourne, je suis sur le dos, il relève mes jambes, mes genoux touchent mes épaules, jai le cul en lair. Il se met debout, vire la capote, écarte les jambes, positionne sa queue, menfile, me pilonne, me défonce. Je couine pas possible, jai du mal à respirer. Il sort de moi, je mallonge, il mécarte les cuisses en grand, les mets sur ses avant-bras, membroche de nouveau. Il ne me laisse pas le temps de souffler, le voilà qui me ramone, senfonce dans moi, je laccompagne dans ses assauts. Il me retourne, je suis à plat ventre, je serre les cuisses, cambre les reins, remonte le cul, il me pénètre par derrière, senfourne jusquà la garde. Il me burine acharné, je laccompagne, je suis les mouvements de sa bite nue dans mon antre bien lubrifié. Soudain je sens que je viens, mon cur passe à la vitesse supérieure, ma respiration aussi. Je grimpe aux rideaux, décolle pour la seconde fois, crie ma jouissance :
Wahoouiiii !
Il met sa main sur ma bouche, métouffe, je sens ses jets de foutre se répandre au fond de mon vagin. Cette fois je suis effondrée, anéantie, cuisses largement ouvertes, il reste dans moi. On est encastré lun dans lautre, je reste avec ce morceau de lui en moi, sous lui, tarde à reprendre mes esprits, cette baise nous a crevé tous les deux, on sest trop donné.
À suivre 27
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