Il Y A Longtemps...

J'étais très jeune à l'époque, né dans ce qu'on appelait une grande famille où certaines valeurs étaient en cours. Il n'était jamais question ouvertement au moins de sexe ni de choses vulgaires. Pourtant une vieille coutume existait pour les 18 ans des garçons : ils devaient être initiés, c'est à dire qu'une amie de la famille devait apprendre à ce garçon à faire convenablement l'amour. Le choix de la personne était à la discrétion de ma mère.
Un jour j'étais invité chez une amie de mes parents pour la journée.
Je me rendais chez cette amie que je ne connaissais pas pour je ne savais trop pourquoi. En ouvrant la porte, l'amie de mes parents se montrait à moi dans une tenue assez négligée : un peignoir ouvert qui me laissait voir ses seins, son ventre, sa fourrure et ses jambes. Je n’étais pas sot au point d'ignorer totalement ce qu'était une femme. Quand je me branlais, j'imaginais des visions pas très réalistes d'une femme. Elle me faisait rentrer en me disant que j'étais le bien venu et qu'elle devenait mon enseignante pour certaines choses que j'ignorais. Elle commençait par me déshabiller entièrement et comme je bandais déjà elle me demandait de la suivre dans sa chambre. Les volets étaient mi- clôts pour qu'un rayon de lumière soit présent. Elle me faisait coucher et me prenait ma bite pour la branler presque aussi bien que moi. Je jouissais très vite : c'était le but. Mais elle ne me lâchait pas du tout. Elle se couchait nue à mes coté et m'embrassait sur la bouche : je sentais sa langue rentrer dans la mienne et la fouiller. Je trouvais ce baiser particulièrement agréable. J'en redemandais encore mais cette fois c'était moi qui l'embrassais.
Ensuite elle enjambait ma tête et me présentait son con que je trouvais particulièrement joli. Elle me demandait d'y mettre ma bouche et de sucer. J'étais un peu écoeuré de devoir y mettre ma bouche mais c'était parait-il agréable.Je le faisais quand je sentais qu'elle prenait ma bite dans sa bouche sans façon et qu'elle la caressait avec sa langue.

Mais elle arrêtait au bout d'un moment, le temps pour moi de lui donner du plaisir. Au moment elle murmurait, oui encore je vais jouir et je sentais comme des palpitations sur ma bouche. Elle jouissait et elle me reprenait dans sa bouche. J'éclatais en elle et je n'avais encore jamais jouis autant.
J'étais jeune et j'avais les reins solides : je débandais et rebandais rapidement. Elle se couchait et me demande de venir lui faire l'amour. J'entrais entre ses jambes écartées et d'instinct sans doute je portais ma bite à hauteur de son con. Elle me guidait juste pour que je la pénètre. Une fois en elle je sentais les muqueuses de son sexe autour du mien et m'en régalais. Elle faisait tous les mouvements et imprimait la cadence. Tant et si bien que je jouissais en elle. Mais elle n'avait jouit que pendant mon cunnilingus, elle voulait jouir encore. Je ne pensais pas qu'une femme puisse et veuille jouir comme ça, plusieurs fois de suite.
Pour que je reste bandé, elle me branlait encore avec talent. Je bandais assez fort pour la baiser et cette fois elle me disait qu'elle jouissait : je le sentais autour de ma bite.
Je pensais que nous allions en rester là. Je me trompais : elle désirait autre chose. Une chose que je n'imaginais pas qu'une femme me le demande : elle voulait que je l'encule. Mais la simple idée de rentrer dans son cul m’excitait. Elle se mettait à quatre pattes et ouvrait ses fesses. Elle posait de la mouille de son con et guidait ma bite vers son cul. Je pensais qu'il fallait forcer pour y rentrer mais pas du tout. Son cul devait servir souvent. J'y entrais donc assez facilement. L'impression n'était pas du tout la même que dans son con. Il me semblait que malgré qu’il soit plus resserré que son con j'y entrais plus facilement. C'était elle qui faisait rentrer complètement ma bite dans son cul : je sentais mes couille sur ses fesses. Elle faisait des grands hans de satisfaction : elle aimait visiblement se faire mettre comme ça.
Nous avons arrêtés là nos échanges. J'ai voulu la revoir plus tard mais quand je la voyais, elle ne me connaissait plus.