Collection Échangisme. Le Parking De Super-Marcher (1/2)

Il fait chaud en ce mois d’août.
Ce soir nous nous rendons chez des amis au bord de leur piscine.
Trois couples, nous sommes toujours fourrés ensemble.
Ce soir c’est Annie et Thierry qui reçoivent.
La trentaine, deux s des jumeaux avec directement le choix du roi.
Tous les deux sont martiniquais, mais sont nés en France.
Les s 14 ans ont été assez grands pour prendre seuls l’avion pour rejoindre les beaux-parents tous retourné au pays.
Annie est longiligne et si j’étais une gouine, c’est avec ce type de fille que je le ferais.
Mais la chaleur me fait divaguer.
Je suis hétéro, rien qu’hétéro.
Will, mon mari pourrait vous le confirmer, ma spécialité la sucette, ou avec le doux nom de fellation.
Si nous nous sommes garés au fond de ce parking du supermarché avec quelques autres voitures, c’est que des arbres présents lors de l’implantation ont été sauvés par la justice suite à la plainte d’une association de défense de la nature.
Le supermarché a été déplacé et les arbres sont restés apportant un peu d’ombre.

• Sophie vient avec moi, tu attendras dans la galerie au frais.
• Il fait trop chaud pour que je fasse les presque cent mètres pour l’atteindre, laisse le moteur tourner la clim, je l’aurais sur place.
• Que fais-tu du carbone que cette clim va diffuser dans l’atmosphère ?
Quand Vivi rentrera de son camp scout dans le Massif central tu lui expliqueras que tu as tué la planète.
Viens avec moi.
• Ouvre ta fenêtre et moi la mienne, après coupe le moteur, ça ira jusqu’à ce que tu reviennes.
• Coiffeur, plus rayon spiritueux tu risques d’attendre longtemps.
• J’ai très mal dormi cette nuit, je vais rattr.
• Je suis content que tu reconnaisses mes prouesses amoureuses ma chérie.

Les fenêtres ouvertes, mon homme quitte la voiture emportant les clefs.
Je vois que la confiance règne.
La partie de jambes en l’air cette nuit, parlons-en !
Une masturbation vaginale après m’avoir pénétré sans préliminaire et moi comme une conne qui est simulée.


Je dois reconnaître que je m’y suis bien pris vu la satisfaction béate que Will vient d’afficher.
Simuler, ça m’arrive, hélas, de plus en plus souvent,
Avant dans nos premiers temps il passait des heures à me lécher le clito avant de me pourfendre.
Chaque fois, j’atteignais l’orgasme une fois avec sa bouche et en chapelet avec sa queue.
Maintenant, je passe plus de temps à me caresser avec l’eau sous pression de ma douche après qu’il se soit répandu en moi, qu’à le recevoir pour qu’il me fasse jouir.
J’envisage un gode, j’en ai vu sur Cdiscount modèle avec double arbre à cames en tête.
L’arbre à cames, j’ai lu ça chez mon gynéco dans une revue automobile sans savoir ce que sais.

Tient, Will est revenu.
J’avais encore trop chaud et j’ai ouvert ma portière.
L’air circule un peu plus.
J’ai un peu couché mon siège, je suis plus allongée et j’ai dégrafé deux boutons de ma robe légère.
Mon mari a dû faire de la transmission de pensée, car sa main commence à me caresser les seins.
Je vois qu’il aime encore les préliminaires.
Un bon point pour lui, ça va retarder l’achat du gode.
Oh, mes seins, il y a bien longtemps qu’ils ont perdu l’habitude d’être à la fête.
J’avais peur que mes mamelons aient perdu leurs érectilités.
Ouf, non, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Will, tu te rends compte de ce que tu me fais, et en plus sur le parking du super-marcher.
Mais, bon ta main glisse sur mon ventre et défait les derniers boutons de ma robe.
Tu devrais avoir honte, exposer l’intimité de ta femme à la concupiscence de tous.
Continus, continus.
J’adore tes doigts se glissant dans ma petite culotte.
C’est honteux, je mouille, tu dois bien le sentir.
Ah, si l’on m’avait dit que deux de tes doigts rentrant dans ma chatte me feraient autant d’effet, j’aurais traité la personne de menteur.
Oui, mon clito, passe ton pouce dessus.

Je jouis, je jouis, je jouis.
Ça fait si longtemps que ma fente avait été à pareille fête.
Ouiiiii.
Ouiiiii.
Oh ! Will, j’ai un orgasme.

Au moment où mon orgasme éclate, un bruit de Klaxon se fait entendre.
Je me réveille.

• Thierry que fais-tu là, pourquoi as-tu ta main dans ma petite culotte ?
• Pour te faire jouir belle endormie.
• Je croyais que c’était Will qui était revenu du coiffeur pour être plus présentable ce soir.
• Eh non, je passais chercher les pizzas qu’Annie a commandées pour nos invités ce soir.
Je suis amoureux de ta poitrine depuis des années et ma main a été attirée comme un aimant.
• C’est pour ça que tu as fini dans ma petite culotte.
• Là encore, mes doigts ont été attirés comme des aimants.
J’ai bien fait, tu marmonnais et j’ai cru que tu avais envie que je continue.
• Et c’est pour ça que tu as sorti ta queue !
• Elle avait du mal à rester dans mon pantalon.
• J’ignorais qu’elle était si grosse.
• Prends-la dans ta bouche.

Je me redresse et contre toute attente je commence à le sucer.
Thierry est plaqué contre l’habitat et bande comme pourrait bander un taureau.

• Que j’ai bien fait de venir prendre la dernière place à l’ombre, ta bouche est divine.
Oui, caresse-moi les couilles.

Quand j’ai dit dans mon rêve que j’étais douée pour les fellations.
Thierry me remplit ma bouche chose impensable avec Will.

• À ce soir ma belle, je vois ton mari qui revient, pensez à vos maillots.

Il disparaît aussi vite qu’il m’est apparu quand j’ai émergé.
Je me rajuste.
Ouf, Will ouvre la portière et s’installe à mes côtés.

• Excuse, j’ai vu que j’avais pris les clefs, tu as pu croire que je voulais t’empêcher de remettre la clim.
• Roule, il faut que je me prépare.
J’ai fait un somme en t’attendant.

Je viens de commettre mon premier adultère et contrairement à ce que j’aurais pu penser, je suis sereine.

Qui pourrait me le reprocher, Thierry, ça serait mal venu, c’est lui qui a reçu une bonne fellation.
Will ?
Un cocu ignorant est un cocu heureux.
Et tout le long du parcours de retour, il est particulièrement heureux.

Le soir, je récupère les clefs lorsque nous nous garons derrière la villa de nos amis.
Ils sont tous dans la piscine sauf Thierry qui vient m’embrasser.
Et dire que cette après-midi, sa semence a inondé ma glotte, non sans un certain plaisir.
Mari cocu mais Annie cocu elle aussi.
Quand nous arrivons sur la terrasse les deux femmes Annie et Maud notre autre copine est topless dans la piscine.
Les deux femmes accompagnées par Guy, le mari de Maud et nos plus anciens amis.
J’aurais dû voir les mains de mon ami poser sur les fessiers de ces deux femmes, mais l’eau m’en empêchait.
Will toujours prompt à déconner se met en maillot de bain et part en courant, plonge laissant les femmes admirer ses muscles.
Toutes les affaires sont sur la table à mon côté, cet après-midi, elle était dégrafée, là je la pose restant en deux pièces avec ficelles sur mes hanches parfaites.
Les copines sont seins nus, je ferais ma mijaurée si je gardais le mien.
Pour la première fois, je montre mes seins aux autres.

• Et voilà c’est encore Thierry qui doit aller chercher les pizzas dans la cuisine.
Tout à l’heure, j’avais un caddy.
Viens m’aider.

Je le suis dans la cuisine sans penser à mal jusqu’au moment où je sens une queue sur mon postérieur.

• Sophie, sens comme je bande pour toi.
• Tu es fou, ils sont dans la piscine à une vingtaine de mètres.
Ton mari vient de rejoindre les autres, on est tranquille.

Comme cette après-midi où je l’ai sucé, ma volonté s’estompe quand il détache un après l’autre, les cordons de ma petite culotte m’abandonnent.
Sa main m’enserre, vient se poser sur ma toison et sa bouche dans mon cou.

Son souffle attise mes sens, je suis une boule de nerfs.

• Écarte tes jambes, depuis tout à l’heure, je rêve de te prendre.

À vingt mètres de mon mari que j’entends rigoler en plongeant dans l’eau.
Je rends les armes, il entre en moi d’une seule poussée...

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