Leslie Transexuelle Chapitre 75

CHAPITRE 75 – Leslie à Paris, pour le plaisir.

Une queue pour le plaisir.
Il y a des jours ou les envies sont incontrôlables, nous avons un je ne sais quoi d’animal qui nous guide vers nos désirs, ceci est valable en tout dans la vie et plus particulièrement sur le sexe et quand l’envie de sexe est là, il faut l’assouvir.
Aujourd'hui c’est le cas pour moi, je veux du sexe, j’ai envie d’une queue pour me faire gémir et me donner du plaisir, dans ces cas la nous n’avons que l’entourage ou les connaissances pour assouvir notre désir, ou encore appeler un ancien amant et lui dire :
- Viens je t’attends !
Mon choix se porte sur un ami de Michel rencontré quelque fois lors de déjeuner d’affaires ou lors de ses visites au cabinet et qui n’est pas insensible à mon physique, de plus Michel lui ayant dit que je suis transsexuelle cet ami n’a pas hésité à ma lancer :
- Leslie, où tu veux et quand tu veux.
Après de tels propos je pense qu’il ne peut très longtemps ne pas m’offrir sa bite.
Après lui avoir téléphonée, Luc me donne rendez-vous dans un café non loin de chez lui, je lui ai juste dit que je veux le voir sans préciser pourquoi.
Luc est un bel homme de 50 ans, grand d’environ 1,90 m pour 75 kilos.
Luc est installé en terrasse lorsque j’arrive au café, nous prenons un café et la conversation s’engage.
- Je te plais ? Dis-je.
- Pardon ? Euh, oui Leslie je te trouve belle, mais…
- Mais quoi Luc ?
- Tu es jeune, tu peux trouver mieux que moi.
- Non aujourd’hui ce n’est pas d’autres hommes qui m’intéressent, c’est seulement toi.
- Mais…
- Luc je ne promets pas d’avenir ensemble ou durable, juste aujourd’hui toi et moi.
- Leslie arrêtes tu me fais marcher, me dit-il.
- Emmènes moi chez toi et tu verras si je plaisante !
Il se lève et me prend le bras et me conduit chez lui, dans l’ascenseur je pose ma main sur son pantalon au niveau de son sexe et je sens qu’il bande.


- Tu vois que tu veux, lui dis-je, tu bandes comme un fou.
- Bien sur que je veux, et depuis le premier jour ou je t’ai vue, mais je n’ai jamais osé y croire.
Nous rentrons dans l’appartement et aussitôt la porte fermée je sors sa queue et commence à le branler, il bande ferme et je suis attirée par ce sexe bandé, je m’accroupie et je pose mes lèvres sur son gland pour déposer de petits baisers, puis passe ma langue sur le gland et Luc frémit en disant :
- Ohhh, oui Leslie suce moi !
- Je prends son sexe dans ma bouche et commence une fellation d’enfer.
- Ho oui, c’est bon, oh, Leslie, ta bouche…

Une fois bien excité, je lui ai présentée mes fesses en me mettant devant lui à quatre pattes, j’ai relevée ma robe sur mes reins et j’ai fait glisser mon string sur mes cuisses.
Les fesses à l’air je m’offre à Luc sans pudeur, il se défait promptement et présente son gland sur ma rondelle, il attend un instant et je n’en peux plus, alors je lui dis :
- Encules moi Luc, encules moi !
Il caresse de son gland ma rondelle et l’enduit de ses sécrétions puis commence doucement à pénétrer mon petit trou, il m’encule en douceur et je gémis de plaisir, je suis satisfaite du plaisir que Luc me donne.
Luc me sodomise pendant un long moment me faisant jouir et râler de plaisir, puis il jouit dans mon cul en râlant lui aussi comme une bête.

Après ce premier instant Luc ma conduit dans sa chambre où allongés sur le lit nous avons écoutés de la musique en nous caressant, puis Luc rebande à nouveau et se mettant sur le côté il me reprend à nouveau, il en sera ainsi toute la journée et lorsque je pars de chez Luc, j’ai assouvie mes désirs et rentre repue à la maison.

Envie d’un soir.
Lors de mes diverses aventures j’avoue n’avoir jamais refusée de me faire enculer par des mecs pas mal membrés ou par des nanas équipées avec des godes-ceintures qui prenaient plaisir à me sodomiser comme des hommes avec leur pal factice, et d’ailleurs j’avoue en avoir tirée beaucoup de plaisir.

Je garde un bon souvenir de ces hommes qui ont visités mon anus de leur membre et avec qui j’ai pris du plaisir. Maintenant que je suis à Paris, je ne me prive pas de sortir seule en club ou en boîte, même si Laure est une merveilleuse amante.
Nous sortons chacune de notre côté, cela ne nous pose aucun problème, nous sommes libres et profitons de la vie et parfois il nous arrive de parler de nos aventures.

Ce soir là, mon envie d’avoir une aventure est telle que je décide de me rendre dans un club où les gays et les trans sont les bienvenus, parfois, lors de soirée privée, certains groupes se forment pour une partouze car les femmes et les couples échangistes sont les bienvenus.
Habillée d’une tenue provocante, petite mini jupe et spencer sur un top moulant et sans sous vêtements me voilà dans le club où je suis sûre de faire des rencontres, je fais un petit tour à l’intérieur du club et après m’être installée au bar, je commande un gin –tonic sans cesser de regarder autour de moi.
Le club est déjà bien remplit, couples de gays ou de transsexuelles dansent sur un slow langoureux tandis qu’autour des tables des couples parlent tranquillement sous les yeux observateurs de quelques célibataires esseulés, et il serait étonnant que j’attende très longtemps avant d’être abordée.

En effet peu de temps plus tard un jeune homme me demande de s’il peux me tenir compagnie en m’offrant une boissons, d’environ 25 ans, il se place près de moi au bar et commande deux gin-tonic, légèrement efféminé, certainement un gay ou un bi, il se tourne vers moi et entame la conversation, il me dit qu’il se prénomme Rémy, et qu’il est un habitué du club, après lui avoir dit que je me prénomme Leslie, il me demande :
- Leslie, t’es femme ou transsexuelle ?
Directe comme question, mais elle à l’avantage d’être sans ambiguïté, alors je réponds :
- Transsexuelle, et toi ?
- Je suis bi et je te trouve très jolie.
Il est flatteur et je suis touchée car lui aussi n’est pas mal, je me sens comme une pucelle excitée auprès de ce jeune homme charmeur, qui me demande :
- Tu m’offres ton cul maintenant ou tu me jettes.

Décidément il est direct et pas tellement romantique, mais dans ce genre d’établissement il est rare de rencontrer le genre romantique.

Je le suis dans un petit salon privé, spécialement aménagé pour des couples voulant avoir des relations sur place, le salon comporte un ameublement restreint, un lit et deux chaises, le tout complété par une table de bar et une télévision accrochée à un mur diffusant en circuit fermé des films pornos.
Le salon comporte une grande vitre sans teint pour voir de l’extérieur ce qui se passe à l’intérieur mais qui peut suivant les désirs des personnes dans la pièce être activée ou non. Rémy après avoir fermé la porte du salon désactive la vitre afin que personne ne nous observe de l’extérieur.
A peine entrés, il me lance :
- Pose tes mains sur la table que je vois ce petit cul sue tu accepte de m’offrir.
Je pose les mains à plat sur le table et me cambre, il soulève ma jupe et découvre que je suis nue en dessous et il s’exclame :
Eh bien ma salope prête à tout.
Il se défait et sort son membre de son slip, Rémy est bien gaulé, un beau morceau qui rapidement, sous le branle de sa main, se dresse pour être prêt à m’enculer.
- Humm, t’es drôlement gaulé mon cochon, lui dis-je.
- Oui et je vais défoncer ton petit fion, me dit Rémy.
- Fais doucement au début, elle est grosse ta queue.
- T'inquiètes pas je sais y faire avec les petits culs.
En disant cela il fait me cambrer encore plus sur la table, pour m’offrir encore plus.

Il se rapproche et pose son gland sur ma rondelle et doucement après m’avoir caressé l’anus du bout de son gland, il m’ouvre d’une poussée la rondelle en y glissant le gland à l’intérieur, c’est vrai il sait y faire et est très doux, malgré la grosseur de son membre il glisse et s’introduit dans mon cul comme dans du beurre et au dernier coup de reins j'avais sa grosse queue au fond de mon cul.
Il me sodomise ainsi pendant un bon quart d'heure, je ne peux retenir mes cris de plaisir.

- Humm, oui, hoo, tu me défonces.
Rémy m’encule, il est endurant et ne jouis pas, il se retire et me dit :
- On reprendra un peu plus tard, j’aime trop ton petit trou serré.
- Oui, lui dis-je, restes avec moi.
En sortant nous découvrons des hommes près du salon et Rémy me dit à l’oreille :
- Tes cris ont rameutés les mateurs, ils doivent être frustrés.

Nous pouvons d’ailleurs entendre des réflexions du style :
- Merde, ils auraient pu nous laisser mater.
Ou encore :
- Pas mal gaulée la salope, elle doit être chaude à gueuler comme ça.
Nous sortons de la pièce et allons faire une pause au bar, je sens mon trou cul entrouvert et prêt à se reprendre le sexe de Rémy, dès qu’il en aura envie.
Peu de temps plus tard un mouvement de foule attire notre attention, dans un des salons une petite salope va se faire défoncer par une bonne et grosse queue en présence d’un couple.

Nous nous dirigeons vers le salon et installés derrière la vitre avec Rémy, dans la pièce adjacente obscure qui est juste éclairée par la vitre du salon, nous observons les ébats à l’intérieur du salon.
Allongée sur le lit, la jeune femme nue se fait sucer le clito, qui sous la caresse ressemble à une petite bite, elle se laisse aller impudique les cuisses bien écartées pour que s'ouvre bien sa chatte ombrée par une toison taillée rase, elle gémit sous les caresses de son partenaire, nu lui aussi.
Elle gémit plus fort quand son partenaire lui rentre trois doigts sa chatte, elle laisse cette main s’enfoncer en elle car elle sait qu'on peut la voir du dehors, mais apparemment elle s'en moque cette femme impudique veut jouir devant les yeux d’un public de voyeurs.
Elle est prête et disponible pour se faire prendre, elle prend dans une main la bite de son partenaire et la porte à l’entrée de sa vulve, l’homme d’un coup de reins lui à rentrée son membre l’à faisant hurler de bonheur.
Le couple sur le côté du lit du salon s’est mis en action, la femme à genoux suce l’homme debout, peu de temps après la femme à la poitrine généreuse se relève et s’appuyant comme moi tout à l’heure sur la table présente sa croupe à son compagnon.
La queue de celui là est plus longue et moins grosse que celle qui ramone la petite impudique sur le lit.
D'un coup son amant lui rentre son membre dans la vulve, la femme ne peux s’empêcher de crier quand elle se sent prise par ce sexe, elle sent ce membre s'enfoncer puissamment dans son con ruisselant, cette queue qui la prend avec force, les coups de rein qui lui défoncent la vulve la font hurler.

Je suis là plantée devant la vitre à regarder la jeune femme se faire prendre en sandwich par deux hommes pendant qu’elle lèche la vulve de la femme brune. Je sens prêt de moi Rémy bouger légèrement et passer dans mon dos, doucement il remonte ma jupe vers ma taille afin de découvrir mes fesse, je retourne ma tête vers lui pour lui dire dans un souffle :
- Non, Rémy pas là.
Je sens ma jupe monter et le sexe de Rémy se coller à mes fesses, Rémy est collé contre moi et me tient par les seins, une de ses mains passe entre nous et Rémy pointe son gland sur mon trou, un léger coup de reins et Rémy entre en moi.
Je regarde autour de moi et m’aperçois que personne ne vois que Rémy est entrain de me sodomiser debout, les trois hommes présents se branlent en regardant le spectacle et deux femmes se gouinent en se caressant la vulve mutuellement.
Doucement je sens Rémy s’introduire en moi, mon corps est parcouru de frissons, son membre coulisse en moi et me remplit complètement, lentement Rémy va et vient en moi, le plaisir monte dans mes reins et je me retiens de crier afin de ne pas éveiller les curiosités.
- Leslie, tu sens la salope, me dit Rémy à l’oreille pendant qu’il m’encule.
Il est vrai que je me sens un peu salope de me faire enculée ainsi, mais je dois avouer que j’adore la situation.

Pendant ce temps dans le salon, la jeune femme jouit sur le lit jouit suivie de prêt par l’autre femme debout contre la table, les hommes se regardent et se font signe que oui.
Ils se mettent alors à sodomiser leur compagne respective qui hurle sous les coups de reins des deux hommes, pendant ce temps autour de nous trois hommes se branlent le sexe hors de leur pantalon, une femme se fait sodomiser par son compagnon et un autre homme se fait enculer par un jeune homme musclé.
Rémy maintenant ne se cache plus pour me sodomiser et me prend à grand coup de reins me faisant gémir de plus en plus fort, ce qui éveille l’attention de nos voisins, le spectacle est maintenant autant dans le salon intime qu’à l’extérieur.

Je refuse ma bouche à un des hommes qui me présente son sexe et peste en disant :
- Mademoiselle la transsexuelle fait la fine bouche.
Un autre veut prendre la place de Rémy, mais je refuse en disant :
- Ce soir, amant exclusif !
Rémy finit par jouir en moi, je me rajuste un peu et dit au revoir à Rémy.
C’est un moment qui, sans l’intervention des hommes, aurait été extraordinaire, mais je me sens coupé de mon plaisir et quand je sors du club j'ai le cul défoncé, mais pas complètement heureuse.

Au cinéma.
Aujourd’hui j’ai envie de faire une folie, un truc dingue juste pour le plaisir et être un peu salope.
Je me rends donc dans un cinéma où il passe des films X et qui a la réputation que le spectacle est plus dans la salle obscure qu’à l’écran, espérant trouver mon bonheur pour l’après-midi.
Après avoir pris une place au guichet sous le regard amusée de la caissière je pénètre dans la salle obscure.
Le film est commencé, mais peu m’importe je ne suis pas là pour cela, je m’installe tout de suite pour ne pas éveiller l’attention des personnes présentes et je vois sur l’écran une femme la chatte rasée qui suce le sexe d’un homme pendant qu’un autre la sodomise avec son sexe imposant, la salle est remplie des cris de la femme sodomisée.
En rentrant dans la salle j’ai tout de suite remarquée qu’un jeune homme, à l’écart, est installé dans le fond à l’endroit le plus obscur, je me déplace et je m’installe près de lui et remarque qu’il le sexe sortit de son pantalon et montre une belle érection.
Je pose tranquillement ma main sur son sexe en érection, le type enlève sa main en me regardant avec surprise, et je commence doucement à le branler, aussitôt son souffle s’accélère et se laisse aller à la caresse de ma main sur son sexe.
Lorsque je le sens bien excité, je glisse doucement de mon siège pour me retrouver à genoux devant lui, je prends son sexe dans ma bouche pour le sucer, il gémit en bandant de plus belle, ce qui a pour effet de m’exciter et de ma rendre encore plus salope.
Je me relève discrètement, ne voulant pas éveiller la curiosité des autres personnes dans le cinéma, et tranquillement j’enlève mon string en faisant attention que mon voisin ne remarque pas mon sexe en érection, puis je l’enjambe en tenant mon sexe de la main gauche et en le plaquant sur mon pubis et de la droite je prends son sexe en main et le présente à l’entrée de mon anus.
Je me retourne vers mon compagnon et dit :
- Chut ! Laisses toi faire.
Je suis maintenant déchaînée et je m’empale sur sa queue en descendant d’un coup et j’entends dans mon dos un :
- Ohhh, la salope elle s’encule sur moi.
Il se laisse faire, m’appuyant sur le dossier du fauteuil de devant je monte et descends sur le sexe dressé qui est en moi, m’empale sur sa queue vite et fort pour le faire jouir en moi, je n’ai pas envie que d’autres hommes viennent et profites de l’instant pour m’enculer à la chaine.
Peu de temps après je sens un liquide chaud me remplir, il vient de jouir en moi et me dit :
- Alors là vous êtes une sacrée salope.
Aussitôt je me relève, me réajuste et sorts de la salle.
Laissant là jeune homme qui vient de m’enculer me prenant pour une femme et ne connaissant même pas son prénom.
De retour à l’appartement, je vais prendre une douche puis je m’installe devant la télé avec un bon verre de whisky pour attendre Laure tranquillement.

Voila, mes aventure s’arrêtent ainsi, je suis maintenant à Paris, installée avec Laure dans un bel appartement, je sui heureuse et me sens femme, mais je vous raconterais peut-être un jour de nouvelles aventures.

Fin des aventures de Leslie.

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