Ma Nouvelle Voisine
L'autre semaine, un après-midi, nous fêtions avec quelques amis l'anniversaire de l'une de nous. Le champagne élevait la température et je ne sais pourquoi les filles se sont un peu lâchées. Les allusions sexuelles devenaient de plus en plus crues et explicites. Mais tout se calmait quand brusquement un coup de sonnette retentissait. J'allais ouvrir et une jeune femme châtain aux cheveux ondulés qui encadraient un joli minois venait se présenter comme ma nouvelle voisine. Elle venait juste de s'installer en face.
Je l'invitais à rentrer et venir boire un verre. Elle acceptait et se présentait à la cantonade : je m'appelle Jeanne. Je lui offrais un verre et l'une des filles le lui rempli de champagne. Les filles s'étaient un peu calmées, je préférais çà à une autre débauche d'allusions déplacées en ce moment où une nouvelle voisine que nous ne connaissions pas arrivait.
Est -ce la venue de Jeanne, mais les convives partaient rapidement. Je restais seul avec une fille que je ne connaissais pas. Ma foi, elle était agréable à regarder, et elle avait de la conversation : Elle était agréable à écouter et je sentais qu'elle avait un degré d'instruction supérieur. Je ne me trompais pas, elle était prof de math au lycée voisin. Divorcée depuis peu, libre comme l'air, sans attache sentimentale. Son métier lui laissait un peu de temps libre.
Je la retenais pour le dîner : le micro onde est pour les célibataires un outil indispensable. Elle acceptait volontiers mais retournait chez elle pour prendre un dessert. Nous avons pris un apéritif et nous sommes dévoilés un peu plus. Je lui parlais de mes hobbies et elle de sa collection de timbres. Bref nous bavardions comme de vieilles connaissances. Jusqu'au moment où je ne sais trop pourquoi, je me penchais vers elle et posait ma bouche sur la sienne. Elle en fut en peu surprise, mais ne refusait le baiser. Je lui demandais de m'excuser. Elle m'embrassait à son tour. Je la prenais dans mes bras et la baisais dans le cou.
Avant de répondre à cette question elle me faisait remarquer qu'il fallait nous sustenter avant........Avant quoi je ne le sus que plus tard.
Elle tenait absolument à ranger les couverts et les assiettes avant de revenir près, très prés de moi. Nous étions debout, l'un contre l'autre nos lèvres collées dans un baiser sans fin. Ce contact me faisait bander et bien sur elle s'en apercevait. Elle collait son ventre contre le mien de plus en plus. Je posais une main sur son sein gauche et à travers son corsage je le trouvais fort agréable.
Ni tenant plus l'un et l'autre nous nous sommes déshabillés et nous passions un instant à nous regarder : je pouvais voir un corps très agréable avec des seins en poire qui tenaient forts bien, une taille fine, un sexe nu rasé, des anches larges et des jambes nullement maigres comme souvent. Elle regardait avec intérêt ma bite en érection qui est normalement assez longue et grosse, au dessus de la moyenne. Je posais une main sur son con et elle m'empoignait ma bite à pleine main et la branlait lentement. Je rentrais dans sa raie intime une main et elle écartait les jambes pour que j'arrive à son con. Je la branlais et elle commençait à gémir de plus en plus fort jusqu'à sa jouissance. A ce moment elle posait sa tête contre moi. Je l'embrassais sans arrêt depuis le début et maintenant mes lèvres allaient sucer ses seins doucement. Elle posait une main sur ma tête comme pour me dire de ne pas partir de là. Je sentais sa poitrine durcir sous ma caresse. Je ne sais comment mais elle jouissait de ma caresse.
Elle m'avouait qu'elle aimait beaucoup se faire sucer les seins mais que c'était bien la première fois qu'elle en jouissait. Elle frissonnait partout et ne se tenait que difficilement debout. Je l'emmenais dans la chambre et elle se couchait. Je l'installais pour qu'elle ait les jambes pendantes hors du lit.
Je lui disais que je l'enviais parce qu'elle avait déjà jouit plusieurs fois. Elle me plaignait et se couchait sur le dos pour qu'à mon tour je puisse avoir une jouissance de son corps. Je venais sur elle et elle guidait ma bite vers son con. Je rentrais facilement tellement il était trempé de cyprine. Lorsque j'étais en elle, ses jambes s'élevaient pour se poser sur ma taille. Nos corps n'en formaient qu'un seul uni par ses jambes et par ma bite. Elle me disait qu'elle n'avait jamais eu une telle bite dans son con. Elle en profitait au maximum, mais ne pouvait pas s'empêcher de jouir encore, toujours en gémissant. Le temps que j'arrive à mon propre plaisir elle jouissait encore deux fois. Et pendant mon éjaculation elle jouissait encore. Elle me disait qu'elle aimait tellement baiser quelle avait toujours jouit beaucoup.
Pendant une période de repos elle avouait qu'elle aimait se masturber, surtout depuis son divorce et qu'étant jeune elle avait une fois fait l'amour avec une fille mais que ça manquait de pénétration. Il faisait tant et tant qu'elle me faisait bander encore plus fort qu'avant. Voulant respecter ses désirs, je lui demandais ce qu'elle aimerait faire. Encules moi fut sa réponse. Je lui en était reconnaissant, je désirais justement lui faire une sodomie : ses fesses me plaisaient beaucoup. Elle se mettait en levrette et m'offrait ses fesses qu'elle écartait avec bonheur.
Je lui mettais ma pine sur le cul, sans peser pour ne pas qu'elle ai mal à cause de ma taille. D'elle même elle s'embrochait. Nos mouvements coordonnés nous faisaient avoir un plaisir extraordinaire : c'était pour moi une véritable révolution sexuelle. Je ne savais quoi faisait que son cul était le plus accueillant que je navais jamais pénétré.
De son coté elle me disait qu'elle n'avait jamais autant jouit avec une bite au cul. Nous étions donc tous les deux extrêmement satisfait de notre séance de baise.
Mais pourquoi s'arrêter en si bon chemin. Nous avons baisé toute la nuit et le lendemain matin, jour férié. Elle aurait bien voulu rester encore, mais je ne pouvais pas d'avantage. Pourtant si elle était partante pour le surlendemain j'étais disposé à la baiser avec encore plus d'ardeur.
Cela fut fait et à peu prés tous les soirs nous baisons et bien sur nous faisons ce que nous n'avions pas encore fait : 69 que nous aimions beaucoup, surtout elle qui aimait mon sperme, mais moi aussi qui aimais le goût de son con. Nous avions un godemiché que nous employons pour lui faire des doubles pénétrations, chose qu'elle avait découvert avec moi. Elle en profitais également pour quelques fois m'enculer pendant quelle me suçait.
Il ne manquait qu'une sorte d'amour à pratiquer, c'est celui en groupe. Mais ni elle ni moi n'aimions cette façon d'exposer nos orgasmes devant d'autre ou de les partager.
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