La Vengeance De L'Enculée 1
1. Transgression
Cette plage naturiste est vraiment un havre de paix et un avant-poste du paradis. Seuls quelques corps nus sont éparpillés seuls ou en couples entre les dunes semées de quelques touffes de genêts qui bordent la plage ou meurent de paresseuses vagues deau limpide. Je suis affalé à plat ventre sur londulation de la dune, mes fesses nues liquéfiées par le soleil de cette fin daprès-midi, qui darde aussi entre mes jambes écartées ses rayons encore brûlants sur mes grosses couilles bouillantes répandues sur le sable blond.
Devant moi, jai une vue plongeante sur le corps parfait dEmma, étalée dans mon prolongement sur la pente de la dune, face à la mer turquoise. Elle aussi est écrasée de chaleur, comme encastrée dans le sable, bras et jambes en croix.
Ca fait deux ans que nous vivons une passion dévorante. Avides lun de lautre, nous baisons comme des bêtes, découvrant ensemble les inépuisable ressources de nos sexes qui réagissent au quart de tour. Nos langues ont exploré et gouté chaque détour de nos beaux corps juvéniles. Nous nous sommes presque tout permis. Cest Emma qui a imposé un seul interdit : je lui lèche le cul quelle me permet aussi dexplorer du doigt, mais elle refuse que je lencule, prétextant que ma grosse biroute lui déchirerait lanus en le pénétrant, et que de toutes façon elle ny trouverait aucun plaisir.
Le menton posé sur les mains, je me délecte du spectacle de son cul magnifique, les fesses bronzées bien écartées dégageant son trou de balle ourlé de rose foncé luisant de la sueur qui perle le long de la raie. Jai devant les yeux son entrecuisse bien ouvert, la vulve suintant un filet de mousse visqueuse sous lexcitation du soleil caressant, quelques grains de sable mêlé à ses poils humides. Nous avons déjà baisé dans les dunes ce matin, mais je bande à nouveau comme un bouc, la bite moulée dans le sable chaud pressée contre mon ventre jusquau nombril.
Jallonge un bras, remonte de la main lintérieur de sa cuisse puis mattarde sur sa fesse dont je caresse le galbe mouillé de sueur avant de laisser glisser mes doigts tendus entre les lèvres déjà dilatées de son vagin.
Relevant mon bassin, je me traine sur les coudes et rampe entre ses jambes jusqu'à mettre mon museau à portée de sa chatte baveuse dont ma langue écarte les lèvres entrouvertes et lèche avec délice le suc qui sen échappe.
Elle roule le bassin pour que ma langue puisse pénétrer plus à fond dans sa moule qui dégorge et que je suce avidement. La pointe de ma langue trouve son clitoris salé quelle excite en un mouvement enveloppant, le faisant rapidement doubler de volume. Jai le nez planté dans sa chaude intimité détrempée. La forte odeur de marée qui sen dégage me monte au cerveau et redouble mon érection. Ma pine me fait mal à force de bander dur et mes couilles enflées sont comme des outres trop pleines. Le dos trempé, je sens la sueur couler de mes reins dans la raie de mon cul.
Mes mains enveloppent maintenant ses mamelles fermes et soyeuses quelles ont dégagées du sable, et dont je fais rouler les tétons tétanisés pincés entre mes doigts. Ma langue abandonne bientôt son clito palpitant pour remonter entre les lèvres boursouflées de son vagin et lécher lespace qui le sépare de la fleur de son cul, avant de venir baiser de mes lèvres humides son trou du cul largement offert et en explorer les profondeurs de ma langue vicieusement enfoncée. Je remplace ma langue par mon doigt que jenfonce en vrille dans son cul, lui arrachant un petit cri dapprobation gourmande.
Mes sens en sont complètement affolés. Je suis en rut et me sens totalement bestial, avec une envie irrésistible de lenculer.
Mon index ramonant toujours son fion, jintroduis les autres doigts dans sa chatte détrempée et la fourrage à nouveau. De mon autre main jessuie mon gland tapissé de sable mouillé de la bave qui en suinte abondamment.
Emma se dégage en me poussant de côté, éjectant ma bite gluante et merdeuse, et sans un mot se dirige vers la mer dun pas rageur. Ma semence bulle de son trou du cul et macule ses cuisses de traînées brunâtres. Je la suis et cours me jeter à leau à quelques pas delle. Jai vraiment pris un pied denfer à lui bourrer le cul. Je ne regrette pas davoir transgressé son interdit, mais jespère quelle y a aussi trouvé son compte. Je lui jette un regard curieux, un sourire gêné aux lèvres : «Alors, comment cétait? Tu vois, je ne tai pas déchirée comme tu le craignais».
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