La Vengeance De L'Enculée 2

2. Autostop
A peu près à mi-chemin, nous dépassons un jeune gars qui revient aussi de la plage, et qui fait du stop en levant le pouce. Il est torse nu avec un vieux short élimé et des baskets éculées, un sac à dos jeté sur une épaule. Quelques mètres plus loin, Emma ralentit et stoppe la bagnole en bord de route. «Qu’est c’que tu fais?», je demande, «tu veux jamais qu’on prennent des stoppeurs». Mais elle ne me répond pas, et le mec arrive nonchalamment à ma hauteur. C’est un beau latino aux cheveux châtains qui tombent en longues boucles sur ses épaules bronzées. Un large tatouage court sur son bras bien musclé. Il dégage une impression de forte animalité rene par le sourire un peu énigmatique qu’il affiche et qui lui donne un air d’ange déchu sûr de son charme. Emma se penche vers ma fenêtre ouverte et lui dis de monter. Je n’ai rien contre, mais c’est bien la première fois qu’elle accepte un inconnu à bord. La séquence qui s’est déroulée dans les dunes doit y être pour quelque chose. J’ai l’impression qu’elle est en train d’orchestrer sa vengeance. Le mec jette son sac sur la banquette arrière et monte derrière moi. Il amène avec lui une odeur de sable mêlé de sueur mâle salée qui envahit l’habitacle. Du coin de l’œil, je surprends un frémissement des narines d’Emma qui lui fait monter le rouge au front. «Où tu vas ?» lui demande t’elle. Le gars se fend d’un plus large sourire et lâche : «Não falo franceses, falo apenas português, e brasileiro…je pas parle français, Brazil». Bon, ce n’est pas sa conversation qui va faire diversion dans la voiture! Par gestes, Emma répète sa question en dessinant un point d’interrogation dans l’air. Il semble comprendre et répond : «Vou onde vai, vous y va, je va». Pas trop compliqué le latino, mais où on va, c’est au bungalow que nous avons loué au milieu de nulle part, assez loin d’ici mais aussi du prochain village. Enfin, il verra bien, et de toute façon, Emma a déjà démarré. Nous échangeons nos prénoms, lui c’est Raphaël.

Puis le silence s’installe, et il doit sentir la lourde tension électrique qui règne entre Emma et moi. Arrivés au chemin d’accès aux bungalows, Emma lui propose par gestes de venir boire un verre et il acquiesce de la tête avec toujours son sourire ambigu.
Une fois débarqués au bungalow, nous prenons d’assaut les fauteuils de la terrasse ombragée. Je rentre préparer des caipirhinas glacées et un plateau de fruits que j’apporte dehors. Tout en sirotant son drink, Emma ne lâche Raphaël des yeux que pour me lancer des regards de défi. Le jeune latino ne se pose pas de questions et la couve du regard sans vergogne. Les yeux plongés dans les siens, il choisit à tâtons une figue presque trop mûre, l’ouvre entre ses doigts, et se met à en lécher la chair violacée d’une langue gourmande. Un peu de jus mêlé de salive bave de son menton et coule en un sillon visqueux le long de son torse glabre. Le salaud n’a pas besoin de traducteur! Je peux mesurer l’effet sur Emma au rythme de sa respiration qui s’est accéléré. A son tour, elle se penche vers le plat et saisit une banane tigrée qu’elle décalotte avec les dents, faisant apparaître la chair plus claire qu’elle dégage à moitié de sa peau et qu’elle caresse d’un doigt avant de l’introduire entre ses lèvres entrouvertes, l’enfourner dans sa bouche et la faire ressortir lentement en la suçant, le regard toujours rivé à celui de Raphaël. Pas difficile de voir comment Emma envisage sa vengeance, mais si elle croit me faire chier en se tapant le brésilien, elle se goure. Ca m’exciterait un max de la voir se faire mettre devant moi par ce bel étalon.
Le mec avance une main vers la cuisse d’Emma et commence à en caresser doucement l’intérieur. Mais elle se lève, s’empare de nos verres vides et part vers la cuisine pour les recharger. Je la soupçonne de vouloir en fait se débarrasser discrètement de son slip et de son sous-tif. En effet, quand elle revient avec nos drinks, ses seins lâchés bougent librement sous sa blouse à demi transparente.
Elle pose les verres embués sur la table pour s’approcher du mec qui s’est levé et l’attend les reins appuyés contre la barrière de la terrasse. Elle promène ses paumes sur les pectoraux et les abdos bien dessinés du bogosse, les seins appuyés contre son biceps, avant de déboucler fébrilement son ceinturon et de lui déboutonner sa braguette, d’où jaillit une belle grosse queue en plein raidissement.
Son short lui tombe sur les chevilles, et il s’en débarrasse en l’expédiant du pied sous une chaise. Il est maintenant complètement à poil devant nous, et enserre dans son poignet sa bite encore en train d’enfler.
Sans complexe, regardant Emma droit dans les yeux, il se met à se branler lentement en se massant les couilles de l’autre main. Emma semble fascinée. Attirée comme par un aimant, elle vient se coller contre lui en ouvrant sa blouse pour lui plaquer contre la poitrine ses seins aux tétons déjà gonflés, les mains agrippées à ses fesses musculeuses qu’elle se met à pétrir avec force. Une main insinuée par l’arrière dans le slip d’Emma, il continue de l’autre à masser son manche turgescent. Je dois avouer que le spectacle de cette belle bite en mouvement me fout aussi une solide trique, qui n’échappe pas à Raphaël dont le regard ironique sur le renflement peu discret de mon short en dit long. Par dessus la tête d’Emma qui lui couvre le cou de baisers et lui lèche le lobe de l’oreille, il me fait un clin d’œil en portant un doigt à sa bouche pour le sucer. Je réalise que son exhibition m’est aussi destinée et ça m’excite grave. Je n’ai jamais eu l’occasion de me faire pomper la gaule par un mec, même si je me suis déjà dis que ça me brancherait assez. Surtout, un frisson me court le long de l’échine à l’idée de lui sucer la pine et de téter son gland et je me prends à saliver d’avance. Mais ça risque de brouiller les plans d’Emma, et de ne pas être du tout à son goût, même si elle est assez ouverte aux expériences qui ne touchent pas son trou du cul. Il faudra la jouer finement.
Emma, le slip maintenant baissé sous les fesses, la main affairée de Raphaël lui fouillant la chatte, le prend par le bras et l’attire à sa suite vers l’intérieur du bungalow.
Dès qu’ils ont disparu, je me désape fébrilement, libérant mon membre comprimé qui me fait mal d’être si dur, et je les rejoins discrètement dans notre chambre aux persiennes closes.

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