Comment Baisent Mes Voisins
J'habite un immeuble de quinze étages et au dernier il n'y a que deux logements. Mes voisins et moi même. Je n'habite ici que depuis 15 jours. Tous les jours, à partir de 19 heures des gémissements et de légers cris se font entendre. Et cela dure jusqu'à 23 heures au moins. Au début j'étais surpris, mais à force je me lassais vite de ses manifestations vraisemblablement causées par les jouissances d'une femme particulièrement démonstrative. Un jour je croisais sur le palier commun une femme très belle et surtout bien faite. Je la saluais et elle répondit avec un grand sourire.Puis, petit à petit, nous commencions à parler. De bonjour en bonsoir nous en étions à bavarder. Mais comme les bruits continuaient un jour, n'en pouvant plus, car outre le fond sonore, ils me mettaient dans un état d'excitation tels que depuis que je pouvais mettre un visage sur la fille qui jouissait, je devais souvent me masturber, je me lançais dans une série de questions sur la provenance des gémissements.
Elle rougit un peu en me répondant que c'était elle qui, pendant l'amour ne pouvait pas se retenir de manifester son contentement. Et surtout que son mari n'en pouvait plus au bout d'un moment et que......
Je croyais connaître de que.............. Elle devait se branler en plus de se faire mettre.
Le lendemain après une nuit particulièrement bruyante je me payais le culot quand je rencontrais ma jolie voisine. En plaisantant je lui dis que si son époux ne lui suffisait pas je pourrai aller le relever en cas de défaillance. Qu'elle ne fut pas ma surprise quand elle me demandait de venir chez elle pour prendre un verre. Il n'était que 17 heures et son mari ne rentrait que vers 21 heures, je ne risque pas de le rencontrer. Mais que me veut-elle ?
Je suis surpris de son accueil : ce n'est pas un verre, mais son corps qu'elle m'offre. En effet à peine rentré chez elle, elle me fait rentrer dans son séjour et m'installe sur le divan et disparaît.
Ce qu'elle me demande est tout simplement de la regarder se donner du plaisir. Habituellement c'est un spectacle que j'aime, voir une femme se masturber est très excitant, mais, là elle ne m'offre pas l'opportunité de participer à l'action. Je lui fais donc remarquer que ma présence sans action est une hérésie et que je ne peux accepter de rester inactif pendant qu'elle se donne du plaisir. Elle me demande de me branler si je veux. Mais bien sur que je veux, même si j'aurais préféré la baiser. Mais pour être plus à l'aise je me dévêts devant elle. Pendant ce temps elle s'installe sur le divan, jambes grandes ouvertes pour me donner une bonne vue et commence par ce branler le clitoris pour finir avec le godemiché dans son con. Elle n'a aucune pudeur et prend un plaisir certain à me regarder me masturber. je ne fais pas montre non plus de pudeur et suis même excité de me donner moi aussi en spectacle.
Je pense jouir rapidement, en tout avant elle. Je me trompe. Elle pousse des cris qui me rappelle ceux de la nuit et jouit. Pour prolonger son orgasme, elle rentre maintenant son gode dans son cul.
Cette fois je ne me retiens pas: je jouis sur elle.
Comme ma bite est plutôt grosse et trapue, elle la prend dans sa bouche, en disant que celle de son mari est petite. Je débandais, mais sa langue remet en forme ma pine. Elle la déguste lentement comme une friandise. Sentant que je bande elle continue sa fellation et passe une main derrière mes fesses vient me caresser le cul. C'est une façon de faire qui ne me déplait absolument pas. Au contraire: une main féminine sachant bien réaliser cette privauté est assez rare. Elle m'enfonce seulement deux phalanges de deux doigts dans le cul et les manie comme sa bouche.
Je ne sais si elle me croit, en tout cas elle me demande de le faire.
Elle écarte ses cuisses et toujours assise sur le divan s'apprête à recevoir ma tête entre ses jambes. Je la pose avec douceur et remonte vers son con lentement. Ma bouche embrasse ses cuisses et elle me demande d'aller plus vite. Je ne suis pas pressé. Aussi je m'éternise entre ses longues jambes. Dès que j'arrive vers son con, elle me prend la tête entre ses mains et dirige ma langue vers son clitoris. Je ne me sers de la langue qu'après avoir aspiré le petit bouton entre mes lèvres. Je le fais entrer et sortir au gré de mon humeur. Ensuite le gardant toujours entre mes lèvres, une partie dans ma bouche, le bout de ma langue le frotte. Ma voisine se tort comme un vers sous le plaisir ressenti. C'est vrai, me dit-elle, que tu suces bien. Elle a plusieurs orgasmes toujours bruyants.
Enfin cette fois je décide d'aller au bout de mon désir. Je la brusque un peu pour l'allonger, elle garde des jambes ouvertes et je peux l'enfiler. Ayant ma bite dans le con elle accompagne mes mouvements de reins et a encore plusieurs orgasmes, avant que je n'éclate et que mon sperme sorte dans son con. Elle n'est pas déçue de mon action. Elle veut encore me remettre en forme en prend ma bite dans sa bouche. Elle la déguste comme la première fois, cette fois elle goûte mon sperme et sa mouille. Elle me remet les doigts au cul et me fait encore bander.
Cette fois elle s'occupe d'elle en même temps : son godemiché est dans son con et elle se branle encore : elle jouit. Décidément elle est increvable. Elle me fait encore bander. Je la brutalise un peu. Je la mets à genoux devant le divan, son buste couché sur ce meuble et ses fesses vers moi.
Elle me demande de partir et de ne revenir que vers 22 heures, quand son mari sera là. Elle veut que nous soyons deux pour la faire jouir encore. Je lui demande comment il se fait qu'elle aime tant jouir ainsi : je suis nymphomane, même à mon travail je me branle souvent, au mois trois ou quatre fois par jour, mais ici, à la maison mon mari n'arrive pas à me satisfaire complètement comme tu viens de le faire.
Je rentre chez moi un peu éberlué par mon aventure. Qu'est ce que va être la soirée ? Heureusement que demain je ne travaille pas.
J'entends le mari qui rentre chez lui. Est-il au courant des manigances de son épouse ?
A l'heure dite je vais chez mes voisins. C'est elle qui vient m'ouvrir, malgré sa nudité. Elle m'embrasse sur la bouche et appelle son mari qui lui aussi est nu. Je regarde son sexe, il est normal.
Je ne vois pas pourquoi son épouse le dénigre : bien sur elle est un peu plus petite que la mienne et à mon avis doit lui donner du plaisir.
Lui me souhaite la bienvenue et me demande de me dévêtir. Je pousse leur patience presque à bout je leur dis que je préfère me déshabiller chez moi. Ce que je fais et revient nu, par le palier.
Je suis accueilli comme un invité de marque. La femme revient me donner un profond baiser devant son mari qui, pas jaloux, viens lui caresser les fesses et lui mettre une main au cul. Il bande et je remarque que sa bite est normalement grosse. Elle m'a menti et je le lui dis.
Sans lui demander son avis, nous allons donc la prendre tout les deux à la fois. Elle ne se rebiffe pas. Dans la chambre où nous allons, elle reprend ses activités de maîtresse de maison. Elle choisi les rôles des deux hommes. Son mari la baisera et moi je l'enculerai. Elle allonge son époux sur le dos, se met à cheval sur lui, rentre la bite dans son con et se couche sur lui. Une fois bien pénétrée, elle me demande de venir sur elle. Je lui mouille le cul avec de la salive et lui rentre lentement la totalité de ma bite. A travers ses organes je sens la bite du mari contre la mienne. C'est une étrange sensation que de sentir la bite d'un autre. Je me demande ce qui va me faire jouir, son cul ou la bite. Je me pose ses questions, mais elle ne s'en pose pas : son but est de jouir. Elle a plusieurs orgasmes consécutifs, toujours aussi bruyants. Je sens ses jouissances mais je sens celle de son mari. Pour enfin jouir moi aussi. Nous sommes tous crevés, enfin nous, les hommes parce qu'elle na pas l'air d'une femme à bout. Au contraire, elle nous prend les deux bites et les suce alternativement. Elle fait jouir son mari qui cri grâce. Il arrête là. Mais elle continue la fellation qu'elle me donnait. Je la fais s'arrêter pour la baiser. Elle se met en levrette et je l'enfile pendant qu'elle se branle encore. Elle jouit encore plusieurs fois.
Je me demande d'où lui vient cette endurance parce que moi aussi je suis sur le point de caler.
Mais pour ce soir elle a du avoir sa ration puisqu'elle me demande, devant son mari consentant de revenir le lendemain à 19 heures.
Depuis, le soir nu, je n'ai qu'à traverser le palier pour retrouver une baiseuse de première bourre
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