Les Amours De Mon Ami
J'ai un copain, Jean, que je connais depuis le cours préparatoire qui est âgé, comme moi, de 35 ans ; qui a depuis plusieurs années des problèmes sexuels. Un jour il est avec une fille et le lendemain avec une autre, à tel point que j'ai renoncé depuis longtemps à dire bonjour aux femmes avec lesquelles je le voyais.
Mais depuis plusieurs mois il semble se stabiliser un peu. Je peux donc saluer les filles qu'il fréquente. Ses relations restent tout de même relativement courtes. Un jour je l'ai entrepris entre quatre-z-yeux pour qu'il m'explique ce qui se passait dans sa tête pour être aussi inconstant. Pour lui c'était simple. Il lui fallait coucher avec le plus de filles possible pour les comparer.
Je lui présente un jour une magnifique femme de notre âge à peu près, femme qui avait déjà eu pas mal d'aventures et qui n'avait pas froid aux yeux, ni aux fesses. J'avais avec elle, Julie une aventure fort agréable tant pour elle que pour moi. C'est parce que je connaissais ses capacités de baise que je la lui ai présenté en disant bien à cette fille que je la prêtais simplement et qu'ensuite elle revenait avec moi. Une des consignes était qu'elle me rapporte en détail ce qui se passait.
Au bout de 15 jours, elle me revenait en me racontant ce qu'elle avait vécu. Mais avant elle me demandait de lui faire l'amour.
Je l'embrassais longuement et nos langues se mêlaient dans nos bouches pendant que nos mains fouillaient nos intimités. Elle me suppliait de la sucer et de lui mettre des doigts dans le cul, comme elle aimait. J'aimais énormément le goût de son con qui était pour moi une véritable friandise. Je la suçais tant et tant qu'elle jouissait rapidement. Comme je bandais, elle me prenait la bite et sans y mettre une main, l'avalait jusqu'à boire mon sperme.
Cette première reprise de nos relations faite, elle me racontait se qu'elle venait de vivre avec Jean. Au début Jean faisait l'amour normalement à Julie, mais l'amour d'une façon bizarre : il refusait tout net de la sucer, parce que c'était sale.
Au bout d'un moment Julie, qui en avait assez de rester sur sa fin se branlait devant lui : ça l"excitait, il la laissit faire mais c'était sale. Elle n'a pu tenir que la quinzaine, sevrée d'amour véritable.
Sachant que les problèmes de mon ami d'enfance venaient simplement d'une manie sans doute grave, je demandais à un autre copain, médecin ce que je pouvais faire : il fallait que je fasse un coup monté pour le mettre dans une situation où il ne pourrait pas y échapper, l'entraîner dans une partouze simplement, par exemple. Il se proposait même pour y participer. Je connaissais diverses femmes capables de venir, avec leurs compagnons.
J'organisais ainsi, chez moi une soirée particulière. J'organisais mon appartement en boite un peu particulière. Julie m'aidait beaucoup : nous disposions des coussins, tapis et autre divans. Nous avions préparé divers alcools pour chauffer un peu l'atmosphère.
Le soir dit, tous mes invités étaient là, y compris Jean. Tout le monde parlait à tout le monde. Mais sachant ce qu'ils étaient venus chercher chez moi, nous nous étions mis entièrement nus, et les femmes, surtout elles, se sont livrées à des débordements. Particulièrement une, Claire, que je savais très accro du sexe multiple. Elle était attirée par Jean qui était beau gosse. Ses avances portaient puisque bientôt ils s'isolaient dans un coin. Claire le chauffait sans arrêt jusqu'à lui sortir la bite du pantalon. Il bandait assez lorsque devant tout le monde, Claire la lui prenait dans la bouche pendant que nous tous les regardions. Son compagnon nous disait qu'elle suçait toujours très bien.
Cette fellation nous mettait en route pour le grand mélange de couples. J'ai perdu Julie qui était avec la femme d'un ami avec qui elles se suçaient.
Pendant ce temps, Jean qui n'avait pas trouvé sale le fait de se faire sucer à son tour prenait le con de Claire dans sa bouche et se mettait à la sucer sous la direction de la femme, qui jouissait encore. C'est toujours Claire qui voulait une double pénétration : son compagnon venait la baiser et elle demandait à Jean de venir l'enculer parce que pour elle s'était très bon. Et Jean bien que surpris par la demande venait la satisfaire en lui mettant au cul sa bite. Claire gémissait sans arrêt jusqu'au moment de sa jouissance.
Entre temps, j'avais retrouvé Julie qui après avoir baiser avec une femme me disait qu'elle s'était bien divertie puisqu'elle n'avait plus eu de relation homo depuis plusieurs années et qu'une fois de temps en temps ce n'était pas pour lui déplaire. Cette fois elle me demandait un 69 pour que nous puissions jouir ensemble dans la bouche de l'autre. Mais avant je jetais un coup d'oeil dans la salle : tout le monde baisaient sauf une femme qui à cheval sur un couple dont l'homme enculait une femme, se branlait naturellement en se caressant un seins.
Nous faisions notre 69 quand on entendais un grand cri : Jean venait de se faire enculer par un homme assez membré. Jean à ce moment baisait, debout une autre femme lorsqu'il recevait cet homme. Javais peur qu'un scandale éclate. Mais non, Jean se laissait enculer avec plaisir semble-t-il !
La femme que baisait Jean se retirait et le branlait. Et jean eu un orgasme qui le faisait crier. Le mec qui l'enculait n'en était pas à sa première sodomie avec un autre homme, sa compagne précisait même qu'il aimait enculer un homme quelque fois mais que surtout il aimait se faire lui même enculer. Nous regardions se couple d'hommes faisant l'amour surtout quand à son tour Jean est venu à la demande de l'autre lui mettre sa bite au cul.
Plusieurs jours après je rencontrais Jean qui me faisait part de son bonheur : il avait trouvé une autre façon d'aimer.
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