La Copine Du Voisin...

Il y a environ 5 ou 6 ans, j'étais invité à la pendaison de crémaillère d'un couple de voisins Aude et Charles, qui avaient acheté l'appartement en dessous du mien. Ils avaient pas mal de travaux à effec chez eux et je suis venu plus d'une fois leur donner un coup de main, leur prêtant des outils. La première fois que j'ai croisé Aude, j’ai tout de suite ressenti une attirance pour elle : un sourire à tomber par terre, des yeux pétillants, un visage vraiment charmant, brune, cheveux lisses jusqu'aux épaules, 1m70 environ, fine, de jolies fesses et beaux seins, ni trop gros, ni trop petits, toujours bien habillée, mais même en jean's et en t shirt plein de peinture, elle dégage quelque chose. Charles est sympa, c'est un "mec bien", mais physiquement, ils ne sont pas super assortis... Et j'ai eu l'impression, à sa façon de me regarder et de parler, qu'elle n'était pas insensible à mes charmes. J'en eu la confirmation quelques semaines plus tard...
Chaque fois que nous nous croisions, le courant passait immédiatement, nous parlions souvent sur le palier de longues minutes, chacun d'entre nous relançant la conversation, sans doute pour reculer le moment de la "séparation".
Une fois les travaux finis, la traditionnelle pendaison de crémaillère fut organisée, avec d'autres voisins et quelques amis à eux. L'appartement était rempli de monde, qui allait et venaient entre le salon, la cuisine et le jardin situé sur l'arrière.
La soirée s'est déroulée dans une ambiance joyeuse et très amicale, nombreux verres de punch et champagne, petits fours, vérines, etc...
La nuit avançant, les hommes se sont retrouvés autour d'une partie de poker dans le salon, pendant que les femmes restaient dans le jardin à discuter et profiter d'un air un peu moins chargé en fumée de cigarette. N'étant pas spécialement branché jeux de cartes, j'aidais Aude à débarrasser la salle à manger puis à faire la vaisselle. Un peu éméchés tous les deux, nous parlions sans retenue de sujets et d'autre.

Aude en vient à me confier que ça faisait prés de 10 ans qu'elle était avec Charles, qu'elle était amoureuse de lui, mais qu'il lui manquait un peu de piquant dans son couple, que la passion et l'excitation des premiers jours n'étaient plus là et qu'elle le regrettait. Je lui répondis que je comprenais parfaitement ce qu'elle voulait dire, car j'avais quitté quelques mois auparavant ma copine pour les mêmes raisons. Bien que je ne lui apprenne rien, elle s'étonna une nouvelle fois de me voir célibataire et, après un silence, m'avoua en me regardant droit dans les yeux et avec son si charmant sourire que si elle n'était pas déjà avec Charles, elle aurait sans doute craqué. J'étais un peu gêné d'un tel aveu mais, l'alcool aidant, je lui avouais que c'était effectivement très dommage car elle était tout à fait mon genre. Je sentis une sorte de malaise naitre entre nous. J'avais mal au ventre et la gorge sèche. Aude avait l'air troublée aussi. Nous continuons la vaisselle quelques instant en silence. Je me concentrais sur son parfum, sa nuque, ses cheveux, en me disant que Charles avait vraiment beaucoup de chance. Mais je ne voulais rien tenter, par principe. C'est Aude qui entama les "hostilités"... Elle s'arrangea à plusieurs reprises pour que nos mains se frôlent et je la sentis se rapprocher de moi, me collant presque. Le message devenait de plus en plus clair... Je la regardais droit dans les yeux, elle aussi, et elle commença à approcher sa bouche de la mienne. Après avoir jeté un œil au dessus de mon épaule pour vérifier que personne ne pouvait nous voir, je l'embrassais. Après un baiser sensuel, nos langues se mêlèrent avec de plus en rapidement et profondément. Elle avait une langue fantastique, longue et joueuse. Je lui passais la main dans les cheveux et elle me tenait la taille, me pressant contre elle. Je commençais à avoir une érection... Elle le sentit et me souris en disant : "Tu me donnes envie aussi. C'est vraiment trop bête que je ne sois pas célibataire...". Je lui répondis en plaisantant : "Mais tu n'es pas mariée pourtant" En me regardant avec son regard si parfait, elle me répondit rapidement : "Tout à fait... Tu n'aurais pas envie qu'on monte chez toi là ?". Je n'en croyais pas mes oreilles ! "Tu plaisantes là ?"
Elle me répondit simplement "Non" en m'embrassant une nouvelle fois, avec plus de sensualité. N'y tenant plus je lui dis : "je monte chez moi, rejoins moi dans 5 mn mais va te montrer un peu, que l'absence ne semble pas trop longue aux autres".
Arrivé dans mon appart, j'avais l'impression de rêver, me trouvant dans un état d'excitation extrême, les mains moites et le ventre noué. Mais aussi, une énorme érection dans le pantalon... Aude ne tarda pas à me rejoindre, entrant en silence sans frapper. L'appart était dans le noir, seul l'éclairage public projetait une lumière orangée et tamisée dans les pièces. Nous nous enlaçons immédiatement, nous embrassons avec une grande sensualité, caressant nos corps très réceptifs... Je sentais ses seins durcir sous son chemisier. Elle enleva ma chemise, je fis de même avec son petit débardeur et son soutien gorge. Elle avait comme je l'ai dit des seins magnifiques. A bien y réfléchir, cette fille à vraiment tout pour elle, car en plus d'un physique très très agréable, elle a aussi une tête bien faite... Mais ce n'est pas vraiment ce à quoi je pensais à ce moment là.
Je caressais son dos, ses épaules, ses seins durcis et ses tétons tendus de désir. Aude empoigna ma ceinture, ouvrir mon pantalon et le tira jusqu'a mes cheville, en venant frotter son visage contre la belle bosse dans mon boxer. A mon tour, je fis tomber son pantalon et caressa ses fesses a travers sa fine culotte. Je passais mes doigts entre ses fesses et senti que sa petite chatte était chaude, gonflée et mouillée. Je la caressai alors plus précisément à cet endroit, sentant sa culotte mouiller de plus en plus. Aude respirait de plus en plus fort, nous avions très chauds tous les deux. Je passais mes doigts dans sa culotte et après les avoir bien mouillés en caressant sa chatte, je commençais à la doigter. Elle s'agrippait à mon cou, frottait ses seins contre mon torse et passa sa main dans mon boxer. Elle saisit mon sexe et commença à me branler pendant que je la doigtais à deux doigts. Je la sentais bouger et venir à la rencontre de mes doigts, poussant ses fesses en arrière pour que je la doigte plus profondément. Après m'avoir embrassé langoureusement, elle se baissa vers mon sexe et me suça en me branlant. Elle faisait ça à merveille, alternant branlage et aspiration. J'aurais pu jouir comme ça en me laissant aller. Mais j'avais trop envie de lui faire l'amour. Je l'attirais dans ma chambre où elle continu à me sucer, moi debout devant elle. Tout en savourant cette pipe divine, je pris une capote dans ma table de nuit et après avoir embrassé une nouvelle fois Aude, dont la bouche sentait mon sexe, je déroulais la capote sur mon sexe dur pendant qu'elle s'allongeait sur le lit, m'attirant déjà vers elle. Après avoir enduit mon sexe et le sien de salive, je m'enfonçais doucement en elle. Après quelques allers retours partiels, je finis par aller bien au fond. Elle se cramponnait à moi et me serra fort vers elle pour que je la prenne bien complètement. Nous fîmes l'amour de longues minutes. Je dus ralentir plusieurs fois pour éviter de jouir trop tôt, car je tenais absolument à ce que nous jouissions ensembles. Je finis par la sentir gémir de plus en plus, se frottant plus fort contre moi. Je commençais à sentir sa chatte se contracter pendant qu'elle se tendait à son tour, me plantant ses ongles dans le dos. Elle étouffa un cri et gémi plus longuement. Je ne pouvais plus me retenir et joui à mon tour avec force en elle. Nous sommes restés sonnés quelques instants puis ayant repris nos esprits, avons vite pris une douche pour effacer toute trace de notre forfait et refroidir nos corps et nos esprits...
La soirée s'est finie normalement, mais j'avais l'impression que les gens allaient se douter de quelques choses.
Il n'en fut jamais rien et j'ai revu Aude plusieurs fois jusqu'à ce qu'ils déménagent.
Je vous raconterai d’autres moments torrides entre nous une prochaine fois sans doute.