Retour Au Sexshop

J’ai mis du temps pour décider ma femme Céline à retourner dans ce sex-shop. Bien sûr sur le moment, elle avait été excitée par cet essai du soutien gorge auquel avait participé le vendeur, et m’avoua qu’elle avait frémi quand le vendeur avait frôlé les bonnets du vêtement sur elle.
Je lui promis alors de lui acheter les chaussures qu’elle convoitait si elle venait avec moi. Je me débrouillais pour que nous arrivions chez le marchand vers 6h45, soit près de l’heure de fermeture. Quand nous entrâmes un client achevait de se faire servir et était en train de payer. Le type voyant ma femme resta quelques minutes faisant semblant de chercher un autre article afin de mater cette bourgeoise qui s’enhardissait à venir dans un tel endroit.
J’avais déjà dit au vendeur l’objet de notre visite : le soutien gorge acheté la dernière fois était trop petit et nous désirions un ensemble coordonné.
Ma femme n’en menait pas large, mais sembla un peu se détendre lorsque l’autre client s’en alla. Le vendeur toujours aussi ventru et adipeux lui demanda ses goûts et elle parvint à lui donner quelques précisions : le même que l’autre fois mais d’une taille supérieure.
Il chercha un moment et lui remit. On se dirigea vers la cabine tandis que le vendeur, puisqu’il était 7h00 fermait le magasin.
Céline enlève son sweet shirt puis son soutien gorge et passe le nouveau. Il était trop grand. J’appelle le vendeur qui entre aussitôt dans la cabine et fais tourner Céline sur elle-même. Il l’a fit se pencher en avant, sans doute pour mieux voir ses seins. Puis il avança la main et passa le doigt sur le coté, pénétrant dans le bonnet, puis par le haut pour évaluer de combien la taille était trop importante. Je vis le doigt insister au niveau du téton de Céline qui sursauta, mais ne dit rien.
Hélas Madame je n’ai pas de taille intermédiaire, il faut choisir un autre modèle. Sur ce il partit dans le magasin.
Ma femme, toute rouge m’a murmuré : « tu as vu ce cochon, il m’a touché les seins ! Et tu n’as rien dit ! »
« Tu sais c’est son métier, et il n’a pas trop insisté »
Le type revint avec plusieurs modèles.

Ma femme en élimina quelques-uns et en choisit un. Le type restant là, elle se tourna pour enlever le soutien gorge trop grand et mettre le nouveau. Elle eu du mal à fermer l’attache aussi le vendeur se précipita pour l’aider : cela serrait trop ! « Attendez il y a une deuxième position » il ré-ouvrit le fermoir et passa les mains sous les bonnets caressant à pleine main les seins de Céline qui surprise ne dit rien puis reprenant ses esprits : « non, ne me touchez pas, je peux me débrouiller toute seule ! » l’autre continuait à la palper.
« Il faut que je connaisse mieux la forme de vos seins ! Et puis si vous venez ici c’est que vous êtes un peu libérée ! Non ? » Sans attendre de réponse il disparut.
« Georges je veux partir ! »
« Ma chérie, il t’a fait mal ? »
« Mais non, au contraire, mais c’est un inconnu pour moi et c’est toi que j’aime ! »
« Je sais que tu m’aimes et je t ‘aime aussi et encore plus quand tu es un peu salope, tu le sais »
« Bon alors on ne fait plus qu’un essai ! »
Le type revint ;
« Voilà j’ai trouvé un modèle qui doit très bien vous aller. Tournez vous s’il vous plait, et fermez les yeux »
Ma femme surprise se tourna. Il lui ôta le sg puis, après l’avoir caressée une nouvelle fois, lui mis le nouveau qui avait l’air d’aller comme un gant.
« N’ouvrez pas les yeux » et en un tour de main il lui détache la jupe et descend le slip.
« He ! Vous êtes fou ! »
« Tais-toi et laisse moi faire je vais t’enfiler le slip coordonné »
Comment Céline a-t-elle pu se laisser faire ! Je ne la reconnaissais pas !
Le vendeur sentant les défenses de ma femme amoindries, se mit à la caresser, les fesses d’abord puis il passa la main devant en se collant contre son cul.
« Oui ouvre mieux les cuisses salope, avoue que tu en avais envie, allez dis le ! »
« Non je ne voulais pas… enfin si un peu. Oh arrêtez je ne peux plus me retenir je me sens toute molle… »
« Allez enfile le slip, tu vas aimer, les yeux fermés »
Puis il la retourne pour me montrer : c’est un slip ouvert, dont l’ouverture rend encore plus obscène le con de Céline.
Se tournant vers moi « Comment vous trouvez ? »
« Oh cela lui va très bien et c’est très excitant ; se balader avec ces sous vêtements sous une robe cela doit être super excitant pour la femme et le mari ! Je l’achète »
Le type se met à genoux et sens puis embrasse le con de Céline, le caresse un peu, et avec un soupir se retire.
Je sors alors ma queue et j’enfile ma femme et nous jouissons très rapidement. En payant le vendeur nous dit de revenir quand nous voulons ; il s’éloigne alors du meuble où est posée la caisse, et nous pouvons voir qu’il a sorti son sexe et ses testicules ; une belle queue ma foi. Nous sortons du magasin.