La Première Fois En Public
Cest la première fois que je rentrais dans un établissement de ce genre, lidée même de my rendre ne métait jamais venue. Mon mari mavait invitée au restaurant où nous avions mangé et bu plus que dhabitude. Pour loccasion, javais mis une jupe mi-longue et un chemisier légèrement transparent afin quil puisse deviner mes tétons dressant à travers les bonnets de mon soutien gorge, modifiés pour cet usage, sous ma jupe, un collant ouvert et un string. Je pensais quen sortant, il me proposerait daller danser quelque part, comme nous le faisons souvent.
En montant dans la voiture, il me dit : « Que dirais-tu daller dans un club pour changer ? », prise de court et un peu émoustillée, je ne pus répondre que : « Pourquoi pas ! ». Chemin faisant, je me demandais ce que nous allions découvrir et voir là-bas, une certaine chaleur dans mon ventre trahissait lexcitation qui me gagnait. Arrivés au parking, mon mari fit le tour de la voiture pour fermer les portes de mon coté, et me pris par la main, comme sil craignait que je ne change davis, ce qui nétait pas loin dêtre le cas. Nayant plus le choix, je me laissais guider jusquà la porte, et nous entrâmes.
Léclairage tamisé était accueillant et intimiste, nous nous sommes débarrassé de nos manteaux au vestiaire et nous nous dirigeâmes vers une salle où trône une piste de danse, un Rock y était diffusé, nous nous sommes aussitôt mis à danser, nous continuâmes sur divers airs et rythmes. Un passage de Tangos que nous ne dansons pas, nous laissa un répit qui nous permit de chercher un endroit où nous asseoir. Cest là que je me rendis compte quune partie de la salle, dans la pénombre, était équipée de banquettes et de tables basses, dont certaines étaient déjà occupées. Nous en trouvâmes une nous convenant, une fois assis, on ne pouvait deviner que nos voisins immédiats.
Mon mari sapprocha alors de moi et membrassa fougueusement. Tandis que sa langue titillait la mienne, sa main flattant mon ventre remonta jusquà ma poitrine et commença à caresser mes seins à travers mon chemisier.
Mon mari abandonna alors ma bouche, il ouvrit un peu plus mon chemisier et commença à me titiller la pointe du sein gauche du bout de la langue, tandis que sa main continuait caresser mon sein droit. Cette caresse mexcite énormément et mon mari le sait. Sa langue abandonnant mon sein gauche, procure les mêmes stimuli au sein droit, tandis que sa main droite prend le relais sur le sein gauche. Le désir devient de plus en plus vif, sa main gauche, libérée, glisse jusquà mes genoux et remonte, petit à petit, en me caressant lintérieur de la cuisse, entraînant le bas de ma jupe dans son mouvement, mobligeant à ouvrir un peu les cuisses que je tenais lune contre lautre. Cest quand ses doigts arrivèrent en contact avec le tissu de mon string et appuyèrent sur ma fente quune piqûre de désir me fit frémir et que je réalisais que lon pouvait voir le haut de mes cuisses et mes seins.
Je regardais autour de moi et à la table voisine je pus distinguer quun couple était occupé, une brune aux cheveux courts, le torse à lair, était courbée sur le bas ventre de son partenaire, les mouvements de va et vient de sa tête ne laissant aucun doute sur la nature de son activité. La surprise de ce spectacle laissa à mon mari le loisir de me faire écarter un peu plus les cuisses, permettant à ces doigts de se glisser par le coté de mon string jusquà ma fente plus quhumide. Mon mari se mit à faire glisser ses doigts de ma fente à mon clitoris, cette caresse me fit fondre et jécartais encore un peu plus les cuisses.
Je souhaitais imiter ma voisine et le sucer, je repoussais mon mari et mettais son sexe dans ma bouche, lui, ne pouvant plus me caresser lentrecuisse, me titilla encore la pointe des seins. Puis se dégageant, mon mari vint se mettre à genou face à moi, ces deux mains passant sous ma jupe retroussée à mi-cuisse, attrapèrent les deux cotés de mon string. Je comprenais bien où il voulait en venir, le couple à coté étant toujours aussi occupé et ny tenant plus, je soulevais les fesses et mon mari fit glisser le maigre carré de tissu qui cachait mon intimité jusquà mes pieds, puis il mit mon string dans sa poche. Je me glissais au plus près du bord du divan, mon mari toujours à genou entre mes cuisses largement écartées maintenant, jétais trop excitée, javais trop envie de sentir sa langue sur ma fente pour me soucier de ma pudeur. Mon mari remonta ma jupe jusquà la taille, mettant mon intimité offerte à nue et commença à me titiller le clitoris de la pointe de la langue tout en mexcitant la pointe des seins avec les doigts. Je me voyais offerte dans la pénombre et jai jouis, giclant mon liquide dans la bouche de mon mari, essayant de contenir mes râles. Celui-ci ramena une main entre mes cuisses et introduisit deux doigts dans mon vagin, leurs donnant un mouvement de va et vient, tout en continuant de me lécher le clitoris, je jouis à nouveau dans un bruit de clapotis, libérant des jets de liquide. Maintenant je voulais quil me prenne, quil enfonce sa queue au fond de mon ventre, je lui dis : « Viens. ». Il me regarda et dit : « Pas encore, allons danser plutôt. »
Il me fit mettre debout, ma jupe repris sa position décente, je refermais deux boutons de mon chemisier pendant que mon mari rangeait sa queue, il me prit la main pour mentraîner vers la piste de danse avant que je ne puisse aller plus loin.
Je nose regarder autour de moi, pourtant je finis par me rendre compte que je ne suis pas la seule à être peu vêtue, et que personne ne nous a remarqués. La situation, bien quen contradiction avec ma pudeur, était très excitante, dautant que mon mari continuait à me titiller les seins dune main et à me malaxer les fesses de lautre, trop excitante, puisquil veut que je montre mon cul, il va montrer le sien aussi. Je défais son ceinturon et le bouton de son pantalon, il se laisse faire, je sors sa queue, celle-ci vient se presser contre mon ventre. Ne me reconnaissant pas, je la guide alors sur ma fente trempée, mon mari se colle à moi, sa queue glisse entre mes cuisses, mais ne pénètre pas dans mon sexe, jen ai pourtant tellement envie. Mon mari fait maintenant glisser mon chemisier sur mes épaules, je le laisse faire, anéantie, il menlève mon chemisier et je laide pour le soutien-gorge. Je suis complètement nue, à la merci de nimporte quel mâle, et jai envie dêtre prise, je défais la chemise de mon mari.
Ce disant, il sassit sur la banquette, me fait pivoter pour lui tourner le dos et me tire en arrière. Jen ai trop envie, je guide sa queue et la fais rentrer dans mon sexe, écartant au maximum les cuisses. Tout le monde peut me voir empalée sur mon mari et plusieurs couples sourient en nous voyant. Au bout de quelques va et vient, je sens mon mari se crisper, je sais quil est en train de me remplir de son sperme. Jai envie de jouir aussi, je me relève, mon mari sallonge sur la banquette et je le chevauche face à lui, introduisant son sexe encore dur et luisant de nos sécrétions dans le mien. Je me mets alors à frotter mon bas ventre contre le sien pendant que mon mari me titille la pointe des seins. Cette position mamène rapidement à la jouissance, je ne peux retenir quelques râles lors de la première explosion de plaisir, suivie de près par une seconde encore plus puissante qui mamène à mexprimer bruyamment. Je suis comblée et épuisée, et me laisse aller contre mon époux. Reprenant mes esprits, je me vois nue, assise sur le sexe de mon mari, au milieu dinconnus. Je relève la tête et vois la brune de tout à lheure, les cuisses largement ouvertes, son compagnon allant et venant dans son intimité. Un peu honteuse, je remets ma jupe et mon chemisier et demande à mon mari de quitter le club. Après avoir mis nos manteaux, pendant le trajet à la voiture, je sens tous les liquides contenus dans mon vagin couler le long de mes cuisses.
Je naurais jamais imaginé pouvoir me laisser aller de la sorte en publique, oublier ma pudeur et me conduire comme la pire des traînées.
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