Jeune Fille Naïve

Jeune fille naïve,

Toute heureuse, Eugénie prend le train pour Paris, elle a enfin trouvé du travail, même si pour cela elle doit quitter sa famille.
Elle ignore que c’est sa belle mère qui la déteste qui lui a trouvé ce travail, elle lui a dit de mettre une courte jupe plissée, une chemise blanche et des dessous blancs.
Tu serviras de secrétaire à cet homme, il accepte de te loger, ne nous fais pas honte surtout, je sais que l’éducation que tu as reçue chez les sœurs est excellente même si elles ne t’ont rien révélé de la vie, cet homme complètera également ton éducation.

Eugénie sait que quelqu’un doit l’attendre gare de Lyon, un chauffeur, il a le numéro du train et de la voiture et doit l’emmener vers son nouveau travail.

Lorsqu’Eugénie descend du train, un homme encore jeune arrive vers elle,
- Bonjour tu es Eugénie ?
-Oui bonjour,
-Moi c’est Matthieu, je dois te conduire la voiture n’est pas loin, donne moi ton sac.

Une grosse limousine est garée, Eugénie s’installe près du chauffeur, où allons- nous ?
Ne crains rien, Monsieur Alain déteste la ville, il habite une immense propriété près de Rambouillet, c’est là que tu vas t’installer et tu sais il n’est pas très méchant, il faut simplement faire ce qu’il demande. C’est un écrivain célèbre.
Il a installé ses bureaux dans une aile de la maison, j’habite là moi aussi, si tu as besoin de quelque chose, n’hésite pas.

Nous arrivons, la maison est immense entourée d’un grand parc. Intimidée, Eugénie suit son chauffeur et pénètre à son tour dans la maison. Il ouvre une porte et la fait rentrer, Monsieur, voilà Eugénie, je vous laisse.
-Bonjour Eugénie, approche je m’appelle Alain, tu travailleras pour moi, ta belle-mère t’a expliqué ce que tu aurais à faire
-Non juste votre secrétariat, mais que je devais vous obéir et surtout de ne pas lui faire honte.
-C’est bon repose toi pour l’instant, le dîner est à 19 heures, soit ponctuelle, je te dirai ce que j’attends de toi.

Matthieu, emmène Eugénie à sa chambre, tu sais laquelle c’est ?
- Oui,
- explique-lui qu’on s’habille pour dîner.
- Viens suis moi.

Nous traversons d’immenses couloirs, poussons une porte, entrons dans une pièce tout en verre, au milieu un lit, une autre porte, la penderie, et vitrée aussi la salle de bains.
Tu pourras tirer les rideaux si tu veux pour dormir.
-Tu sais Monsieur Alain aime les jeunes femmes élégantes, as-tu une jolie robe pour dîner ?
-Ma belle-mère m’en a offert une juste avant de partir je ne l’ai encore jamais porté, j’espère que cela ira
-Ne t’inquiètes pas ta belle-mère connaît parfaitement les goûts de Monsieur Alain.

Eugénie se retrouve seule dans sa chambre, elle se douche malgré les cloisons vitrées, et se prépare à s’habiller.
Elle sort la robe du paquet, c’est une robe longue, décolletée empire, blanche, en voile, compte tenu du décolleté pas possible de porter de SG, pour aller avec la robe il y a de jolies escarpins blancs à talons.

Eugénie descend dans le salon, M. Alain est là et la regarde entrer, on dirait une vierge habillée ainsi, tu es superbe, ton décolleté est indécent jeune fille, regarde il couvre à peine tes seins, disant cela il empoigne les seins et les caresse, ils sont superbes.

Nous passons à table, le dîner se passe normalement sous le regard peu amène de la vieille bonne qui assure le service.
Elle, c’est Alexandrine, elle me connaît depuis toujours, tu n’auras pas à t’occuper des repas et de la maison elle le fait très bien, maintenant va dormir, tu peux tirer les rideaux si tu veux.

Le lendemain matin Alexandrine est dans la chambre pour me réveiller, allez levez-vous le petit déjeuner est prêt, je vais vous apporter des vêtements choisis par M. Alain, vous les passerez et je vous conduirai à son bureau.

La tenue de travail me surprend, mais je ne dis rien, il s’agit d’une très courte jupe à bretelles que je dois porter sans rien dessous, Alexandrine me dit :
C’est sur il va aimer, remarquer cela vous va bien, et pour ce que l’on attend de vous cela suffit bien !
Alexandrine me conduit jusqu‘au bureau, une lourde porte est poussée, Maître Alain me dit,
J’espère que tu aimes la tenue que j’ai choisi pour toi, toutes les secrétaires sont ainsi tu sais, et comme je travaille chez moi il n’y a aucun problème à ce que tu restes comme cela, il te manque juste une chose pour parfaire ta tenue et il glisse autour de mon cou un collier où s’enchevêtrent pleins d’anneaux.

-Tu aimes ?
-Oui monsieur même si je n’ai pas l’habitude, vous pensez que toutes les secrétaires sont ainsi ?
-Oui bien sur à Paris elles le sont toutes, ta belle mère ne t’a vraiment rien dit ?
-Je suis juste sortie de pension vendredi et j’ai pris le train hier, nous ne parlons jamais ensemble.
Alors je vais t’expliquer ce que tu devras faire, nous irons doucement mais tu devras le faire, si tu as besoin de quelque chose demande à Alexandrine. D’abord tout travail commence par une visite médicale, et comme tu n’es pas malade, c’est moi qui vais t’ausculter.
Grimpe sur la table, mets toi à 4 pattes et laisse moi faire, des mains parcourent mon corps, empoignent mes seins comme on soupèse des melons au marché, descendent plus bas, et soudain : qu’est ce que c’est que ça, demande à Alexandrine de t’épiler je n’aime pas les poils, c’est très laid, ma croupe est flattée et un doigt se glisse dans mon petit trou, oh il est bien serré, c’est magnifique.
Tu es apte, je te félicite, juste l’épilation et ce sera parfait.

Ton travail consistera à prendre mes rendez-vous, gérez mon emploi du temps, t’occupez du courrier et tapez mes romans.
Une pile de papier m’attend sur le bureau, en verre aussi, je m’installe et commence ma journée.

Vers midi, Alexandrine passe la tête, Monsieur prendra son apéritif dans le petit salon ?
Oui Alexandrine, emmène Eugénie, informe la lui bien de ce qu’elle devra faire pendant ce temps là, et pendant que j’y pense, ce soir tu l’épileras complètement.

Je suis Alexandrine qui m’explique que pendant que Monsieur Alain prend son apéritif, je dois me glisser à ses genoux et le prendre dans ma bouche pour le sucer, elle me demande si je l’ai déjà fait je lui dis que oui, avec le frère d’une amie de pension, mais que ma belle mère ne le sait pas.

Monsieur Alain s’assoit dans un fauteuil, ouvre son pantalon et me fait signe d’approcher, viens me sucer Eugénie comme une brave petite, c’est normal, cela se fait, allez …………….
Mais tu es douée, bravo, je compte sur toi à chaque apéritif.
-Je te laisse du travail, j’ai un rendez vous cet après midi, je serai rentré pour dîner ne craint rien.
L’après midi se passe, le travail est fait, je rejoins ma chambre pour me changer pour le dîner, Alexandrine arrive
-J’ai fait des courses pour toi cet après-midi, Monsieur Alain m’a demandé de t’acheter des robes du soir, je connais parfaitement ses goûts, sois belle ce soir, à propos il ramène quelqu’un à dîner, je monterai voir si tout est OK, je te laisse te préparer.

Je passe la robe choisie pour moi, c’est une robe noire, longue très près du corps, qui laisse les seins nus, offerts aux regards et qui présente une ouverture en forme de cœur sur les fesses, elle se porte avec des mules à très grands talons (15 cms)
-On voit mes seins, cela me gêne
-Non tu es très belle ainsi
-C’est indécent, passe moi un châle s’il te plait,
-Non tu dois porter cette robe, on doit voir tes seins et tes fesses, ordre de Monsieur Alain, il ne faut pas lui désobéir, d’ailleurs je vais fixer des bijoux à tes seins ils n’en seront que plus beaux
Afin de fixer les bijoux, Alexandrine titille mes tétons, les prends entre ses dents pour les étirer et y fixe de longs pendants, ayant volontairement serrée assez fort la boucle.
-Voilà tu peux descendre et n’oublie pas les consignes pour l’apéritif, même s’il y a quelqu’un,
-Oh reviens, tu as oublié de remettre ton collier, tu voulais être punie, évites au maximum les punitions, elles sont très dures.

Gênée je pénètre au salon, Monsieur Alain est là, face à lui son invité.
-Eugénie, je te présente Etienne, mon éditeur,
-Etienne, je te présente Eugénie, mon assistante, mon jouet qui deviendra ma chienne.
-Alexandrine très bien choisi ta robe, il est vrai qu’elle connait mes goûts,
-Etienne, tu peux toucher les seins d’Eugénie, ils sont vrais et faits pour le plaisir.

Etienne empalme mes seins, tords les tétons, je crie
-Arrête je ne t’ai pas fait mal, tu prendras l’habitude tu sais ils en subiront bien plus.

-Alain si tu m’offrais l’apéro,
-Volontiers, sers nous Eugénie, puis tu viendras à moi.
Je sers un whisky à chacun des 2, puis viens m’agenouiller face à monsieur Alain, son sceptre jaillit, je le fais doucement glisser dans ma bouche et commence à la sucer..
-Etienne, nous en étions où ?
-Je te disais qu’Eugénie a un beau cul d’après ce que j’ai pu voir,
-Très beau oui, mais un peu étroit, il est tout neuf,
-Ce n’est pas grave, nous allons y remédier dans les prochains jours,
-Ton aide ne sera pas superflue.
Je sens son plaisir m’inonder la bouche,
-Eugénie prend aussi son apéritif, avale ma belle, c’est très sain.

C’est bon relève toi, précède nous à la salle à manger.
Mes tétons me brûlent parce que les pendants ont été volontairement très serrés, ils sont dressés,
J’ai mal et en même temps ressens comme une onde de plaisir.
Etienne : Alain, avant de dîner j’aimerais te demander quelque chose
-Tout ce que tu veux
-Je voudrais qu’Eugénie me montre sa chatte, j’aimerais bien la voir
-Eugénie, relève ta robe et montre ta chatte à Etienne
-Vous croyez,
-Fais ce que je te dis sinon gare à toi

Je remonte ma robe offrant mon sexe lisse à la convoitise d’Etienne, qui regarde, touche, pince….
-Comme il est beau, presque neuf, il mérite plein de bonnes choses tout comme son petit bouton,
-Je sais oui, j’ai déjà des idées mais si tu en d’autres n’hésite pas.
-Maintenant passons à table.

Je m’assois entre eux, le dîner se déroule presque normalement et ils parlent entre eux comme si je n’existais pas :
-La soirée c’est quand
-Dans un mois,
-Tu crois qu’elle sera prête
-Il faudra bien, même s’il faut doubler les séances d’entraînement, je veux reconquérir le titre que j’ai perdu l’an passé
-Tu lui as expliqué en quoi consistait le concours,
-Non je le ferai au fur et à mesure, elle est pratiquement novice, ce sera un régal de la former, sa belle-mère m’a donné tout pouvoir sur elle,
-Je n’ai jamais aimé cette femme,
-Moi non plus mais elle cherchait à se débarrasser d’elle, et voulait l’envoyer chez Mme Agnès qui était décidée à l’acheter
-Comment as-tu eu Eugénie ?
-J’ai menacé sa belle-mère de la dénoncer et lui ai simplement dit que je cherchais quelqu’un, elle sait parfaitement ce qui se passe ici, et comme elle voulait se débarrasser d’Eugénie je l’ai prise à mon service.
-Eugénie sait ce que tu attends d’elle ?
-Elle n’est là que depuis dimanche soir, je ne veux pas précipiter les choses, une chienne s’éduque avec fermeté mais douceur, et elle sait que si elle m’obéit tout se passera bien, par contre si elle désobéit ou refuse d’obéir à un ordre, elle sera punie.

Le repas est maintenant terminé, Eugénie, approche d’Etienne pour qu’il te dise au revoir, après tu pourras monter dans ta chambre.
Je m’approche d’Etienne, il me retourne, me fait cambrer et introduit le manche du couteau dans mon petit trou, je grimace,
-Bonsoir, belle Eugénie, va dormir maintenant.

Je sors de la salle à manger et fonce en pleurant dans ma chambre, Alexandrine vient me consoler

-La seule chose que tu aies à faire c’est d’accepter tout ce qu’ils te demanderont, je sais que c’est dur pour toi parce que tu n’y étais pas préparée, tu n’as plus le choix, il va faire de toi sa chose, te prêtera à ses amis, il n’y en a qu’un que tu devras essayer d’éviter de rencontrer seule, il est cinglé, mais en présence de Monsieur Alain il se tient tranquille ! Je les connais tous, je t’expliquerai au fur et à mesure. Dors bien !

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