Histoire Simple

Ma bite ramonait le cul de Sylvie, lentement, comme elle me le demande. Sa main s'agite sur son clitoris rapidement. Je la pelotais, elle aime se faire mettre comme ça. Depuis hier au soir, nous baisons sans arrêt ou presque. Nous étions séparés depuis deux semaines et tant pour elle que pour moi, la masturbation de compensait pas les contacts directs entre nos sexes. Notre première étreinte a commencé une série de baise rare. Avant nous baiser, Sylvie adore établir un programme qu'on ne suit jamais. Ca l'excitait beaucoup de me dire comment nous allons baiser: d'abord à la papa ensuite en se branlant,continuant par une autre baise et un 69.
Hier au soir nous nous sommes déshabillés, Je me suis assis sur le bord du lit, elle debout devant moi, je lui caressais le pubis, avant de mettre une main au con, Déjà très grosse ma bite bandait de plus en plus. Elle me racontait ses dernières masturbations et les plaisirs qu'elle en avait retiré. Elle me disait en détail comment elle se caressais le clitoris, comment et quand elle de mettais un doigt dans le con et un autre dans le cul. Sylvie mouillait de plus en plus, et elle mouillait encore davantage quand je lui racontais mes propres masturbations, les va-et-vient de ma main sur la bite et les caresses sur mes couilles et comment au moment de jouir, je me rentrais deux doigts dans le cul.
Elle me suppliait de la sucer. Pourquoi non puisque j'ai aimais son odeur et le gout de son con surtout quant elle mouillait. Je me couchais sur le do et elle venait s'installer sur ma bouche, assise sur ma poitrine. Ma bouche cherchait et trouvait son clitoris et ma langue passait de son cul à son con avec un arrêt sur son vagin dans lequel ma langue entrait en la faisant patienter. Mais quand je prenais entre ma lèvres son bouton et que je l'aspirais elle gémissait et au moment de l'orgasme, elle criai, comme toujours, je jouiiiiis.
Rassasiée un peu, elle voulait me sucer à son tour et sa bouche prenait possession de ma bite et sans me toucher, elle faisait coulisser ses lèvres dans sa bouche en me passant sa langue sur le gland.

En quelques minutes trop courtes, elle me faisait jouir et gourmande ne laissait pas perdre une goute de mon sperme.
La longue séparation me faisait toujours bander, et Sylvie en profitais pour continuer nos baises. Elle voulait que je la prenne debout, ses jambes autour de ma taille et nos sexes l'un dans l'autre. Elle donnait la cadence ne s'arrêtant que pour mieux se tenir contre moi. Cette position était fatigante pour elle, mais elle en jouissait malgré tout. Pour moi s'était différent. Je ne pouvais pas jouir comme ça. Mais je savais que la prochaine fois j'allais bien jouir. Et elle se couchait sur le dos, les jambes bien écartées pour que je voie son entier con, depuis le cul jusqu'au clitoris. Je me couchais sur elle entre ses cuisses et lui posais ma bite sur son con; je ne la baisais pas aussitôt. Je passais ma bite simplement sur ses lèvres et un peu, sur son bouton. Elle me suppliait de la baiser et j'attendais un peu plus. Finalement d'un coup suc je pénétrais dans son vagin et allais jusqu'au fond, et ensuite lentement nous faisions ensemble les mouvement de va-et-vient jusqu'au accélérer au maximum pour jouir ensemble. Mon jus giclait dans son con et je sentais autour de ma bite sa cyprine.
Après avoir baiser ainsi, nous faisions un 69. Nous nous sucions lentement. Elle recommençais ses caresses linguales autour du gland et moi je lui mettais dans ma bouche son clitoris.. Nous jouissons ainsi souvent.
Enfin Sylvie de demandait toujours en fin de séquence de l'enculer. Et elle se mettais en levrette. Je lui posais ma bite sur son anus et elle le mouillais avec son jus. Elle se retenais sur le lit avec un bras et la tête et l'autre main venais sur son con. Je la sentais se branler et elle sentais mes couilles contre ses fesse.
Nous avons joui sans cesse plus de 4 heures et complètement vidés, nous avons dormi l'un contre l'autre, à tel point que le lendemain, vers 10 heures en nous réveillant je bandais et la baisais encore plus d'une fois.