Josie, Ma Fermière, Encore Une Fois

Comme chaque samedi j'arrive à ma propriété et y trouve Josie, ma fermière, préparant un bon petit repas pour plusieurs personnes. Dès qu'elle me voit, elle se jette à mon cou, vêtue du seul peignoir transparent que je lui ai offert. Je peut voir tous ses trésors: ses seins pointus, son sexe velu et la ligne de ses jambes ses fesses. Je sais qu'elle doit avoir en elle les boules de geisha et le plug dans le cul. je sais aussi que ce main au réveil elle a du se faire l'amour avec le plus gros godemiché que je lui ai offert également. Je me souviens quand elle baisait devant moi avec sa cousine, avec le facteur et avec un jeune que j'avais branlé.
Je me demandais pourquoi elle préparait un tel repas. Elle me rappelait que je ne venait que le samedi et qu'elle ne se branlait pas toujours. Elle avait invité des voisins avec qui elle avait déjà eu plusieurs fois des coucheries: Il y avait le voisin le plus proche, un homme de 45 ans à peu près, deux femmes de 30 ans. et bien sur moi-même.
Je n'avais rien à redire, elle était libre et lorsque nous faisions l'amour, nous l'avons souvent fait à plusieurs. Elle avait posé bien en vue, d'autres godes, et je remarquais qu'elle avait déplié le divan pour avoir plus de place. Elle avait l'intentions de baiser avec plusieurs et faire une partouze.
Elle me demandait en attendant que les invités arrivent de la sucer, parce qu'il n'y avait que moi qui savait la faire bien jouir avec ma bouche. Je lui rappelais que la dernière fois un jeune garçon l'avait sucé en fin de baise. mais non, il n'y avait que moi. Pourtant quand elle baisait avec une autre fille elle se faisait bien sucer aussi. Ce n'était pas pareil avec les filles.
Comme d'habitude elle s'appuyait sur la table, jambes écartées et commençais par une bonne masturbation devant moi. Elle le faisait pour deux raison, la première pour m'exciter et c'est vrai qu'elle me faisait toujours bander, et la seconde plus terre à terre, elle se donnait du plaisir, d'une part par ses main et d'autre par parce qu'elle s'exposait comme une garce devant moi.


Enfin les invités arrivaient l'homme d'abord, assez costaud qui semble -t-il devait avoir une bonne bite, et les feus femmes qui se tenaient déjà par la taille. Je les soupçonnais d'avoir pris ensemble un acompte sur les baises à venir.
Josie embrassait sur la bouche assez profondément tout les arrivants. Elle profitais des arrivées pour ôter son peignoir et paraître totalement nue, comme elle aimait être et demandait aux autres de l'imiter. La pudeur ne faisait pas partie des valeur de Josie, surtout à la campagne
Et semble-t-il des autres arrivants nous étions nus tous en moins de temps qu'il faut pour le dire. Je regardais tout d'abord la bite du seul homme invité: c'était bien ce que je pensait il était sacrément monté, beaucoup plus que moi, en tout cas et il ne bandait pas encore complètement.
Les deux autre femmes étaient très attirantes et j'avoue que je me serait bien payer les deux à la fois si j'avais été seul. Cet idée me faisait bander. Je me posait une question à leur sujet: étaient-elles bi ou lesbiennes?
Avant de commencer nos baises Josie nous invitait à passer à table. Le repas était bizarre: nous avalions un bouché et pour finir nous caressions un peu une fille. Le voisin et moi ne nous privions pas du plaisir de prendre n nichon et de le caresser ou de mettre la main au panier d'une voisine. J'étais toujours attiré pas les deux voisines et le leur dit qu'elle m'excitaient d'avance touts les deux. Josie me disait qu'elle aussi les désirait et qu'on pourrait les partager. Elles soutiaient en s'embrassaient pour faire monter la tension. Avec le voisins nous bandions tellement que les trois femmes le voyait, mais ne faisaient rien pour nous soulager. Le moment du dessert arrivait et je pensais que comme souvent ma fermière allait s'en tartiner les seins et le con. Elle la fait, mais aux autres filles. Dons, avec elle et le voisin, nous nous sommes précipiter pour laver le seins et le pubis des donzelles. Elle se laissaient faire pendant que nos langues nettoyaient leurs seins.
C'est Josie qui décidait de nettoyer le con des deux filles. La première jouit assez vite, surtout que je lui suçais les seins. L'autre fille était sous l'emprise du voisin qui lui aussi avait dans sa bouche un des seins et caressait l'autre avec beaucoup de sensibilité. Je voyais cette fille se laisser faire tranquillement et déguster l'instant. Josie venait lui prendre le con dans sa bouche et elle aussi jouissait rapidement. Il fait dire que Josie est une fille épatante pour sucer un sexe masculin ou féminin.
Nous nous sommes installés sur le divan. Nous étions donc 5 pour baiser. Les rôles se sont répartissent ainsi. Josie a choisi la plus petites des voisines. Elles ont commencé par un baiser langoureux, se sont caresser la poitrine et ont poser leur mains sur le con de l'autre et commencé à le branler. je voyais les deux mains aller et venir sur leur clitoris respectifs. Elles se donnaient un plaisir tel qu'elles avaient leur bas ventre agité. Elles se faisait jouir lentement avant de basculer pour une série de 69. Josie et sa compagne prenait chacune un godemiché et le plantaient dans le cul de l'autre.
Avec le voisin nous baisions la seule filles libre. Elle prenait touts nos élans érotiques.Mais c'est elle qui a commencé en prenant dans sa bouche la très grosse bite du voisin avant de me branler savamment. Je voyais sa bouche s'occuper de la pine du voisin: elle la prenait lentement dans la bouche et la rejeter pour la reprendre encore et la lécher. Elle l'enfonçait presque entièrement et lé tétait comme un biberon. J'observais ses mouvements: elle me branlait toujours. Elle faisait jouir la bite dans sa bouche et avalait le sperme. Elle arrêtait la masturbation qu'elle me faisait et nous nous sommes mis en 69. J'étais dessous et pouvais sentir l'odeur de ce con qui m'excitait. Elle prenait ma bite dans sa bouche, la léchait avant de la sucer exactement comme elle venait de faire à mon coéquipier. Je lui avait pris le clitoris entre les lèvres.
Soudain nous avons jouit presque ensemble. Mais le voisin nous voyant faire ce 69 bandait encore. Il prenait pour cible le cul adorable de la fille et posant sa pine dessus, il poussait un grand coup et enfilait entièrement son manche dans l'anus de cette fille qui jouisait encore une fois.
Josie voulait changer les partenaires, mais sans lui en laisser le temps, nous prenions, avec le voisin les deux filles qui aimaient autant les filles que les hommes. La fermière se retrouvait seule. Elle prenait un godemiché et se masturbait en nous regardant baiser. Le voisin avait repris celle qu'il avait enculé et moi la compagne de Josie. Je m'apercevais qu'elle avait beaucoup de talents cachés: elle savait baiser avec une fille. Elle savait et appréciait de se faire enculer par une fille. Mais avec un homme, elle savait également comment se comporter en fille bien élevée. Elle m'embrassait longuement en me prenant la bite dans une main, pas pour la branler,non, mais pour la masser lentement, très lentement. Pendant que je la caressais partout sur le corps, elle offrait encore plus ses seins, ses fesses dodues et son con. Je la branlais et la faisais jour sous mes doigts. Je la doigtais et lui rentrer deux doigts dans le cul. Elle en jouissait. Pour la pénétrer elle voulait se mettre sur moi. Je la laissait faire. Elle venait d'elle même s'empaler sur ma bite, la première fois elle jouissait de l'avoir dans le coin et la seconde elle se la plantait directement dans le cul: elle se branlais également. Nous avons jouit longuement.
Pour finir nous avons organiser une grande ronde, sexe contre bouche, sans plus trop savoir qui suçait qui. L'après mlidi touchait à sa fin et les voisins, saouls de stupre sont partis, nous laissant Josie et moi seuls. A ce moment là, nous avons repris nos jeux familiers; je la suçais, elle jouissais je la lui mettais dans le cul, elle jouissait. Mais je n'étais qu'un homme et les godemichés me permettais de lui faire une des chose qu'elle préférait: un bonne double pénétration.
Elle se tortillait dans tous les sens en criant qu'elle avait mal et qu'elle voulait que ça continu, jusqu'au moment suprême où elle jouissait longuement et me demandais de recommencer. J'allais partir et elle se remettais les boules de geisha et le plug anal.

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