Safari
SAFARI 1
Cette histoire est une histoire vraie que j'ai vécue.
Je mappelle Nancy, jai 24 ans, blonde aux yeux verts, de taille moyenne, mince, jolie daprès ce que lon dit.
Cela fait 7 mois que javais accepté dépouser Fred. Nous nous connaissons depuis lâge de 16 ans pour moi. Fred a 5 ans de plus que moi, il est informaticien chez IBM. Fred est un grand amateur daventures, passionné de photographies, il rêvait daller faire un Safari depuis sa tendre enfance en Afrique. Cest ainsi que nous avons pris contact avec un tour opérator qui nous a mis en relation avec Teddy à Mombasa au Kenya.
Par téléphone et par mails nous nous sommes mis daccord sur les conditions de notre séjour, sur litinéraire pour une durée de 12 jours. Teddy nous précisa quil ne prenait pas plus de 4 personnes par excursion et quil disposait pour celle-ci de 2 Range Rover, dun pisteur Masaî et dun cuisinier. Pas de séjour en chambres dhôtel, ni de restaurants au programme. La vraie vie de brousse style Indiana Jones nous attendait.
Pour ce safari, nous nous étions équipés suivant les consignes données par Teddy, c'est-à-dire du minimum. Cela tombait bien car Fred nétait pas du genre dhomme à sencombrer de choses inutiles.
Cest ainsi quaprès avoir atterris à Mombasa, nous fîmes la connaissance de Teddy qui nous attendait avec son pisteur Masaï, Kipkogut. Après une prise de contact chaleureuse et enthousiaste, Teddy un grand costaud dun bon mètre quatre vingt dix, queue de cheval , tenue saharienne de rigueur, fit charger nos sacs à dos dans une Range Rover qui ne sentait pas le premier âge.
Devant notre air inquiet Teddy nous précisa que sa « machine » était increvable et quelle convenait parfaitement aux escapades que nous allions vivre.
Après sêtre installé au volant, Teddy nous précisa que nous allions à son bureau situé en plein centre de Mombasa remplir les dernières formalités, faire la connaissance dun couple de belges qui devaient avoir dans la cinquantaine et qui seraient nos coéquipiers dans ce safari.
De là on passerait charger léquipement, toiles de tente, barbecue, carabines, jumelles, sacs de couchage, lampes torche de longue portée, poste radio, panneau solaire etc etc.
Teddy nous précisa que lon dormirait tous les soirs à la belle étoile et que nous nétions pas en saison de pluie une chance de plus !
Après mêtre inquiétée sur les sanitaires et sur les dangers de la brousse, Teddy en riant nous précisa que pour la toilette on disposerait dune cabine douche en toile et quil était de coutume de se laver ainsi ou daller nous laver dans les rivières. Quant aux dangers de la brousse, il précisa que le camp serait gardé la nuit par lui, par Kiprugut et son neveu Masaï par quart. Son neveu malgré ses 20 ans était un bon cuisinier. Il confirma que le camp dans un rayon de 50 mètres était équipé de détecteurs de présence et de sirènes nous avertissant lapproche dun animal ou dun homme.
Lors du dernier safari un éléphant femelle sétait aventurée dans le périmètre de sécurité en pleine nuit, pour une raison inconnue. Les sirènes se sont mises en marche, léléphant sest alors éloignée.
-Vous voulez de laventure les amis
vous êtes là pour en avoir !
Tassée sur le siège arrière, brinqueballée de droite à gauche, je restais inquiète des heures et des jours à venir. Je fis remarquer que la suspension de la Range était plutôt dure, ce à quoi en passant peut être volontairement dans un nid de poule, Teddy me répondit que si la suspension nétait pas résistante aux pistes, nous nirions pas loin.
Après une demi-heure de trajet, après avoir traversés Mombasa, par des ruelles encombrées et malodorantes nous nous garons devant une bâtisse blanche en torchis et aux volets bleus.
-Mon bureau les amis ! Vous pouvez descendre nos belges doivent nous attendre.
Nous pénétrâmes dans une salle encombrée de trophées, de sacs, de brochures équipée de deux bureaux, lun encombré dune tonne de papiers, de cendriers plein à craquer, de gobelets entassés et dune statue déléphant en ébène, au mur deux fusils à lunette.
-Mon plan de travail ! dit Teddy en sasseyant dans un fauteuil des plus usagés. Je vous présente Emma ma secrétaire elle vient du Mozambique et contrôle toutes nos opérations. Emma reste toujours au bureau, elle a une chambre au dessus et reste en relation permanente par radio avec moi lorsque je suis en brousse. En cas de panne ou de pépins, accident, santé, formalités elle est parfaitement formatée pour tout gérer et nous faciliter la tâche.
Emma était une femme noire, bien enrobée, aux cheveux remontés en chignon tressé.
-Ah mes amis je vous présente nos compagnons belges
En me retournant je découvris sur un banc le couple quinquagénaire belge. A notre vue ils se levèrent et vinrent à notre rencontre tout sourire.
-Moi cest Willy
dit lhomme en nous tendant une main ferme. Je suis de Bruges et ma femme Suzanne
enchantés !
Nous nous présentâmes à notre tour Fred et moi
-Ben alors une fois, nous allons vivre laventure ensemble, lança Willy dans un grand éclat de rire comme seuls les belges savent le faire
une fois !
-Bon, maintenant que les présentations sont faites, nous allons pouvoir charger
Au fait Willy conformément à votre demande, jai fait livrer 8 pacs de bière
jespère que vous tiendrez le séjour, mais en cas de panne sèche comme nous passerons à Nairobi dans moins dune semaine, nous referons le plein ! Nest-ce pas, une fois !
-Vous buvez aussi de la bière nous demanda Willy ?
-Nous en consommons, mais certainement moins que les belges ! ironisa Fred.
-Bon nous avons deux Range Rover
la première celle qui est bâchée nous sert de transport de matériel, nourriture, équipement, armes, je la conduis au départ, mais si le cur vous en dit vous pourrez aussi la conduire
avec moi je ne peux prendre quune personne et ce sera notre ami cuisinier Kipcho. Dans la deuxième vous serez 4 passagers et notre ami pisteur sera le chauffeur. Là encore on pourra changer de conducteur en cour de route ! Okay comme cela ?
En cur nous répondions par laffirmative.
Cest ainsi que débuta notre première journée de Safari. Nous prîmes la direction du parc dAmboseli situé à 270 kms de Mombasa.
Nous passâmes une grande partie de celle-ci dans des pistes caillouteuses et de terre rouge, nous arrêtant régulièrement afin de prendre des photos et soulager nos vessies. Très vite nos sahariennes prirent la couleur de la terre rouge qui envahissait la cabine. Nous navions pas de clim dans notre Range, et nous devions rouler toutes glaces baissées afin daérer au maximum lhabitacle surchauffé.
Willy était assis devant à la place du passager à la gauche du chauffeur, moi jétais tantôt côté portière tantôt au milieu de la banquète arrière. Willy occupait la conversation de façon très volubile, ponctuée de rires sonores en se tapant sur les cuisses de son chapeau de brousse. Fred était équipé de son appareil photo numérique doté dun zoom ultra puissant et mitraillait tout ce qui lintéressait.
Suzanne était une femme discrète effacée, un tempérament totalement opposé à celui de Willy. Elle avait été marquée par 4 naissances. Cétait la première fois quelle partait en vacances disait elle. Elle a consacré toute sa vie à élever ses s. Après avoir quittés Bruges ils vivaient à présent à Namur.
-Cest mon premier voyage, confirmait elle en saccrochant à la poignée de toit.
A la fin de la journée, après avoir été admirés les animaux sauvages se désaltérant près dun petit lac, nous eûmes la confirmation que nous allions installer notre premier bivouac à plus de 500 mètres du lac afin déviter la présence des animaux
La nuit tombait sur la savane, nous pouvions admirer entre les grands bras des baobabs la lumière rouge vif du coucher de soleil. Kiprugut après avoir ramassé avec notre aide un stoc de bois pour la nuit alluma un feux de camp entre les trois tentes dressées. Lune la plus grande nous était réservée aux belges et à nous. Lune derrière les Range garées en V était celle de Willy un peu à lécart.
Dans la tente nous avions 4 couchages disposés parallèlement. Chacun dentre nous disposait ses petites affaires à la tête de celui-ci. Moi je me trouvais au milieu entre Fred et le gros belge.
Le repas pris, composé de brochettes succulentes et de riz blanc avec de gros haricots rouges épicés, nous avons écouté les consignes de Teddy.
-Ne vous éloignez jamais du campement, si vous entendez les alarmes se mettre en marche, ne bougez pas de votre tente sans que je vous en donne lordre. En cas dévacuation réfugiez vous à mon signal dans les deux Range, celles-ci ne sont pas fermées, sauf les coffres pour des raisons aussi de sécurité. Gardez près de vous vos lampes torches, en cas de charge dun animal nhésitez pas à braquer votre lampes dans sa direction. Toute la nuit quelquun sera de garde, je commence, ensuite ce sera Kiprugut, puis son neveu Kipcho.
Le réveil demain vers 7 heures
le jour se lève tôt sur la savane.
-Si vous désirez vous laver, vous avez des Jerricanes deau derrière chaque véhicule. Demain soir nous installerons la cabine de douche pour ceux qui le souhaite
mais est-ce utile car nous pourrons nous baigner dans une eau très claire vers 16 heures ! Je vous souhaite une excellente nuit mes amis.
Teddy et son pisteur partirent disposer les balises alarme tout autour du campement. Nous nous installâmes dans la grande tente. Willy lançant quelques plaisanteries qui firent rire notre petite assemblée. Je métais mise en Jogging au par avant après avoir fait une rapide toilette enlevant le plus possible de terre rouge. Mes longs cheveux blonds je les avais protégés par un chignon recouvert dune écharpe sous mon chapeau de brousse. Cest avec plaisir que je pus les relâcher pour dormir. Suzanne précisa quelle dormait avec des boules Quiès dans les oreilles parce que Willy ronflait parfois trop fort. Belle augure pensais-je.
Jeus du mal à mendormir, prêtant attention aux bruits venant du loin, indescriptibles, confus, ceux de la savane la nuit, mêlés de criquets nocturnes. A travers la toile de tente éclairant celle-ci dune lumière jaune orangée, le feux de camp nous permettait dans la pénombre de prendre nos marques.
Après un long et tendre bisous à Fred qui mavoua être mort de fatigue, celui-ci se tourna vers le fond en senfouissant dans son sac de couchage. Je me tournais vers lui le bras replié sous ma tête.
Tout entra dans un silence reposant. Très rapidement jentendis la respiration plus lourde de Fred me confirmant quil sétait endormi profondément. Les yeux grand ouverts , je revivais la journée, passée déjà très chargée dimages spectaculaires essayant de trouver un sommeil réparateur. De longues minutes passèrent ainsi, bercées par la respiration de chaque occupant. Cest alors que je sentis le poids de la main de Willy se poser à la hauteur de ma hanche. Surprise je ne bougeais pas, mon cur se mit à battre la chamade résonnant dans ma tête comme un tambour endiablé dans le silence de la nuit. Je restais figée dans mon sac de couchage en attente de ce qui allait suivre. Peut être que dans son sommeil le gros belge sétait laisser aller !
Ma gorge se serra lorsque cette main se resserra me tenant à travers lépaisseur du sac au niveau de ma hanche. Jétais prise entre lenvie de prendre cette main et de la repousser et lenvie de voir ce quil était en train de mijoter.
Croyait-il que je dormais ? Je ne bougeais toujours pas, les yeux ouverts .Devant moi je voyais les cheveux bouclés de Fred dépasser de sa couche ; il dormait comme un sonneur ! La main de Willy à présent remontait sur mon bras, puis voyant que je ne bougeais pas redescendit sur ma hanche puis il la retira.
Mon cur cognait de plus en plus fort, ma gorge était sèche et nouée. Cest alors que jentendis distinctement que Willy faisait descendre lentement la fermeture éclair de mon sac de couchage. ! Devais-je bouger et ainsi larrêter dans ses motivations. Je sentis le sac souvrir dévoilant certainement mon dos à la vue du Belge. Quelle audace ! Pensais-je, sa femme à côté de lui ! Mais à priori celle-ci dormait, les oreilles bouchées par ses boules Quiès et ne pouvait entendre quoique cela soit.
Je décidais de ne pas bouger, quelque peu à présent excitée par cette situation. Je ne me reconnaissais pas, mais javais envie de voir jusquoù Willy dans son manège pouvait aller. Je sentis le dessus de mon sac se soulever quelque peu. A priori le Belge était en train de passer sa main en dessous. Gêné certainement dans ses gestes il se retira pour abaisser le zip encore plus bas jusquà la hauteur de mes mollets que je tenais serrés lun contre lautre.
Mon cur cognait dans ma poitrine et lexcitation qui me gagnait masséchait la gorge. Je sentis la main à nouveau se glisser sous le duvet et se poser maintenant à sur ma hanche. Voyant que je navais toujours pas de réaction, il descendit jusquà mes fesses. Sa caresse me déclencha un frisson que jeus du mal à dissimuler. Puis il remonta jusquà la jonction haut et bas de mon survêtement.
Quallait-il faire ? Quallait il oser faire ? Je le sus rapidement, car sa main baladeuse écarta le haut de mon survêtement et entra en contact avec ma peau. Cétait devenu hyper excitant et je me surpris à ressentir dans mon ventre des contractions bizarres . Sa main avança sur le côté de mon ventre dont il palpait la souplesse et la douceur de la peau. Je restais toujours sans un geste le laissant faire son tour dhorizon.
La position de mon bras replié sur moi lempêchait de remonter jusquà ma poitrine. Je sentis celle-ci se durcir et mes pointes se tendre sous mon survêtement. Savait-il que jétais éveillée? Pensait il que je pouvais être consentante. ? Jentendais sa respiration plus forte dans le dos prouvant son excitation. Bandait-il ? Jimaginais son sexe tendu
comment était-il ? Jai toujours connu comme homme Fred. Jamais un autre homme que lui ne mavait touchée, je lui avais donné ma virginité à 17 ans et depuis je nai jamais eu daventure.
Nous avons décidé de nous marier il y a peu de temps et dans le but de fonder un foyer. Là à cet instant un homme qui pouvait être mon père osait saventurer sur mon jeune corps. Lexcitais-je à ce point quil ne puisse pas se retenir ? De toute la journée je nai pas fait très attention à lui, ni croisé un regard lubrique de sa part.
Mon regard dans lobscurité ne quittait pas la tête de Fred priant quil ne se réveille pas et que notre début de voyage ne se transforme en incident. Je connaissais Fred et son caractère impétueux
il se jetterait sans réfléchir sur le Belge. Rassuré par sa respiration josais déglutir dans lespoir que Willy ne mentende pas.
Je frissonnais à nouveau lorsque sa main souleva lélastique de mon bas de jogging et se glissa sur la peau de ma fesse. Je sentais mon sexe parcouru de mille petites décharges électriques et shumidifier.
Willy savait que je ne pouvais quêtre réveillée, cétait impossible que je ne sente pas son incursion dans mon pantalon. Il osait, je ne bougeais pas ! Il avançait comme un conquérant palpant mes jeunes chairs, je ne le chassait pas ! Alors que sa respiration semblait se rapprocher de mon dos, il osa abaisser mon jogging le faisant rouler sur mes jambes jointes, dévoilant mes fesses à sa vue. Jimaginais son visage bouffi, ses yeux exorbités !
Je sentais nettement lélastique de mon jogging rouler sur ma cuisse jusquà mes genoux. Jétais à présent nue offrant à cet homme. Même si léclairage dégagé par le feux de camp nétait pas très fort, une vue sur mon bas de dos et mes fesses ne pouvait le rester insensible. Je trouvais après leffet de surprise cette situation dun érotisme extraordinaire. Jétais prête dans ma tête à le laisser saventurer encore plus loin.
Je devenais sa complice et tout en restant immobile et en ne lui facilitant aucun passage je ne pouvais que lencourager à saventurer. Je guettais tout bruit ou tout signe pouvant perturber cette aventure hors du commun. Jamais un autre homme que Fred ne mavait à ce jour touchée.
Que penser de cela ? Avais-je le droit daccepter ces caresses là, sous cette tente, lors de ce safari, de laisser mon corps se faire ainsi palper ? Je neus pas le temps de réfléchir que je sentais un doigt glisser à présent entre mes deux fesses puis se positionner sur mon petit trou. Une décharge électrique me secoua à ce contact. Willy respirait de plus en plus fort. Son excitation au toucher de mon petit trou. dans ces conditions très particulières le transcendait. Je sentis sa deuxième main écarter mes fesses, ses mains étaient chaudes certainement démotion.
Que devais-je faire ? Lui montrer que jétais consentante et au fond de moi je trompais Fred ou alors je repoussais ses avances. Cette situation mexcitait et je me disais que jaimerais aller jusquau bout de ladrénaline qui me tenaillait mes entrailles mais en avais je le droit ? Comment pourrais-je regarder demain Fred
même si cela était mon secret ?
Le doigt qui était posé sur ²mon anus à présent semblait forcer le passage. Willy appuyait un peu plus fortement sur mon orifice. Jamais je navais accepté une telle caresse de Fred malgré toutes ses tentatives et là à cet instant précis je semblais accepter cette pression.
Je ne me reconnaissais plus. Etait-ce lambiance particulière qui me faisait ainsi chavirer dans mes convictions ? Je me surpris den accepter laugure et je me préparais à cette pénétration impensable en me mordant la main en silence. Il veut me pénétrer quil le fasse et instinctivement je relâchais les muscles de mon anus et je sentis son doigt senfoncer en moi, violant ma caverne secrète encore vierge.
Il était doux et il comprit à mon relâchement que jen acceptais laudace. Willy lentement enfonça son doigt dans mon rectum complaisant. Je sentis monter en moi une sensation de bien être. Jétais très serrée et cela, il devait le ressentir. Il me lima un certain nombre de fois et je me mis à en apprécier la caresse. Sa main gauche écartait toujours à lextrême mes fesses. Mon sexe montait en chaleur, je sentais une sensation chaude et humide lenvahir, javais à présent envie de sentir quelque chose en moi.
Cet homme qui pouvait être mon père, jouait avec mon corps avec expérience. Qui eut cru que Willy allait menvahir de cette façon il y a à peine quelques heures ! Pourtant je me refusais dêtre trop participative et je restais comme figée tout en étant émue au plus au point. Je sentais un orgasme commencer à menvahir le bas du ventre et rayonner dans celui-ci.
Willy retira son doigt de mes entrailles et son autre main flattait à présent mon sexe qui souvrit sans résistance son index me pénétra sans difficulté.
Pour la première fois de ma vie un homme autre que Fred entrait dans ce sanctuaire que je lui réservais avec amour. Le corps a ses faiblesses et jappréciais de plus en plus cette caresse intime qui déclencha un orgasme puissant secouant mon ventre de spasmes diffus entrainant un cri étouffé de ma part. Les yeux troublés , après la reprise de mes sens, je me mis à observer Fred afin de savoir si cet orgasme lavait réveillé ?
Non Fred continuait à dormir plongé dans ses rêves ! A présent Willy fouillait mon sexe détrempé, mon anus distendu avec empressement puis il se retira à ma plus grande surprise, me laissant ouverte a demi couchée sur le côté. Je sentis Willy baisser encore plus le bas de mon jogging et sans résister je dégageais ma jambe gauche. Cétait le premier mouvement que je faisais.
Que voulait-il faire dans cette situation ? Javais encore envie de ces caresses secrètes et si érotisantes. Cest alors quil tira mon bassin vers lui, je ne résistai pas.
Je compris ce quil voulait lorsque je sentis son sexe dur et tendu contre mes fesses. Non je ne pouvais pas accepter ! Je me traitais de salope, mais mon inconscient me trahissait, javais envie dêtre pénétrée.
Fred mon chéri ne se doutait pas que sa petite femme, son ange comme il disait était en train de succomber aux désirs de la chair. Je sentais mon sexe à présent détrempé en train de couler sur mes cuisses intérieures. Willy écarta une nouvelle fois mes petites fesses et présenta son sexe que je sentais particulièrement épais à lentrée de ma vulve. Alors je fis ce que je ne pensais jamais faire je soulevais légèrement ma jambe sous mon duvet pour quil puisse mieux me pénétrer. Jacceptais en, moi un sexe inconnu.
Willy doucement soucieux de ne pas faire de bruit poussa son bassin afin de faire entrer dans mon vagin lubrifié de cyprine son sexe engorgé de sang. Je reculais mes fesses afin de le recevoir au fond de moi ce membre qui distendait mes parois. Cétait bon et je me mordis à sang le creux de ma main pour ne pas crier de plaisir.
Doucement Willy dont je sentais son ventre mou contre mes fesses, à présent entamait de longs va et vient. Un orgasme éclata à nouveau me poussant à coller mes fesses contre son ventre. Les spasmes qui me secouaient développèrent son excitation et là alors que je ne my attendais pas, Willy se contracta et se déversa au fond de moi, minondant de son liquide chaud mon vagin.
Je ne me retirai pas acceptant par la force des choses ce sperme visqueux.
Willy laissa son sexe se vider de ses dernières gouttes au fond de moi pendant quelques instants encore et se retira lentement me laissant béante. Javais apprécié cette présence en moi de ce membre que je sentais beaucoup plus gros que celui de Fred.
Puis Willy passa un doigt dans ma chatte détrempée de cyprine et de sperme et une dernière fois lenfonça dans mon anus qui ne résista pas à cette nouvelle pénétration. Javais pris un pied terrible.
Je sentis que ce liquide visqueux commençait à sécouler sur mes cuisses et dans mon sac de couchage, je tendis la main droite et afin dattr un mouchoir en papier dans mon sac. Jen fis comme une couche, le plaquai sur mon sexe et remontai mon jogging sur mes hanches. Jentendis Willy se replacer dans son couchage en soufflant fortement. Fred navait rien entendu et Suzanne retournée vers la toile de tente dormait paisiblement.
Jattendis quelques minutes reprenant mon souffle et mes esprits et je décidais de sortir prendre lair en embarquant avec moi mon paquet de cigarettes. Je sentais entre mes jambes une humidité débordante qui me gênait et qui commençait à coller. Il fallait que jaille messuyer.
Je pris le paquet de Kleenex dans mon sac, me dégageai de mon duvet et sans faire de bruit abaissai la fermeture de la tente. Je ne pus me retenir de me retourner avant de sortir pour voir Willy.
Celui-ci sétait endormi brutalement après sa saillie et déjà commençait à ronfler.
Quel goujat pensais-je en sortant il sétait servi de mes fesses, de mon sexe pour assouvir ses pulsions et maintenant il dormait comme si rien nétait les bourses apaisées.
En sortant de la tente, je me mis à respirer un grand coup encore sous le choc de ce qui venait de se passer sous la tente avec cet inconnu. Je me mis à me culpabiliser.
Jallumais une cigarette, le fond de mon jogging était véritablement détrempé. Près du feux de camp qui brulait éclairant de son halo le campement japerçus Kiprogut assis sur un mini tabouret et entretenant les braises. Il mentendit, se retourna vers moi et avec un grand sourire tranchant avec ²sa peau noire, il minvita à masseoir sur une grosse pierre à moins dun mètre du foyer.
La nuit était étoilée, lair était doux en cette saison il devait être plus de minuit, Teddy avait laissé le poste de garde au Masaï. Cétait notre première journée au Kenya.
Suite dans SAFARI 2
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