Perdus Dans Le Désert.
Le Sahara sétendait devant nous. Manu et moi avions entrepris une aventure qui allait bientôt nous plonger dans une autre dimension
Nous ne connaissions rien de ce nouvel environnement. Manu mon jeune compagnon, à la peau maintenant bronzée par cet immense soleil dAfrique, me précédait torse nu et je pouvais admirer ses muscles que la sueur faisait briller.
Nous étions sur des dromadaires plutôt revêches - loués à Tamanrasset - et qui avaient du mal à nous obéir. Tant et si bien que soudain, celui de mon compagnon se cabra, Manu en tomba, et lanimal senfuit au-delà de lhorizon. Alors quon essayait de le rattr, le mien - profitant de loccasion - fit de même.
Leur perte était très grave car toute notre eau était partie avec eux ainsi que nos espoirs de survie.
Manu me dit : « Quallons-nous devenir ici sans eau, il ny a pas dombre, je ne porte quun short comme toi, on va brûler au soleil, de plus je commence déjà à avoir très soif
»
-, « Surtout ne pas saffoler, jai ma boussole, nous allons aller droit au Nord, on nest pas si loin de loasis de Foumwalah Awkouhl
»
Nous entreprîmes donc de marcher vers cet espoir de survie que - je le pensais sans le dire - nous natteindrions sûrement jamais.
Le temps passait et Manu nen pouvant plus sallongea sur le sable les yeux perdus dans le ciel. Désespéré, il pleura.
- Je dis : « Je sais tu as soif, mais il faut tenir le coup, moi aussi, et
(une idée me vint soudain à lesprit)
attends je crois que jai une solution
»
- « Tu sais où y a de leau, où ?, où ? »
- « Cest pas tout à fait de leau, mais faute de grive
Cest tout simplement là. » Je désignais de mes mains mon entrejambe et celui de mon compagnon.
- « Quoi, nos couilles
? Jai compris
! Notre sperme ! ! »
Aussitôt, assoiffés que nous étions, nous jetâmes nos shorts dans le sable, découvrant nos paquets et nous nous livrâmes à un 69 salvateur.
- « Serre mes couilles pour en faire sortir le maximum de jus quand ça viendra, comme je le ferai pour toi aussi !»
Le plaisir montait, le soleil au zénith était le seul témoin de la scène, du moins le croyais-je.
Soudain, je nen pus plus, je criai « ça y est, vas-y bois, nen perds pas la moindre goutte !»
Je sentis alors que Manu maspirait de toutes ses forces, ses doigts entourant fortement mes couilles, cela afin dabsorber ce liquide qui, bientôt, le désaltèrerait.
Jéjaculai abondamment à mon tour.
Il me but jusquà la lie et poussa un gémissement de satisfaction tout en léchant avidemment le peu qui sétait étalé sur les poils de sa main velue.
Manu avait un visage juvénil. Mais la pilosité de son corps, notamment son torse, ses avant-bras et ses mains avaient été les éléments déclancheurs qui mavait poussé à le draguer quelques années plus tôt sur une plage du Sud. Il était le genre de mec que javais toujours recherché, de plus sa musculature avait été la cerise sur le gâteau, alors je navais pas hésité
Et maintenant nous étions là, et le plus bel organe de son corps, lui allait et venait dans ma bouche reconnaissante
«Jespère que tu en cracheras autant que moi, jen peux plus de la soif moi aussi !»
La réponse ne se fit pas attendre. Sa bite au plus profond de ma gorge, libéra son liquide qui bien que chaud, nen était pas moins la chose la plus merveilleuse que je nen pouvais recevoir
Un râle de plaisir commun termina cet échange spermatique
Rassasiés, nous restâmes, les jambes écartées, nos sexes dardés.
Un moment plus tard nous léchâmes les derniers vestiges de plaisir qui suintaient du bout de nos bites un peu moins dures maintenant.
Au-delà des dunes, un garçon du cru avait lorgné la scène avec appétit, il descendit vers nous et se présenta un sourire sur les lèvres.
- « Vous êtes français, jai entendu et
vu. Je mappelle Ahmed Mélahla de la tribu Touareg des Fokia, si vous voulez je vais vous accompagner à Foumwalah Awkouhl
mais à une condition
vous me buvez moi aussi
»
Notre soif fut complètement oubliée quelques minutes plus tard, le jeune homme ayant un débit plus quabondant en loccurrence
Il tint sa promesse.
Voilà, je me souviendrai toujours de cet épisode de ma vie où je fus sauvé par ces deux sexes vigoureux et généreux que je pourlèche et bois maintenant avec toujours autant de reconnaissance et encore plus de plaisir que par le passé, Ahmed
partant désormais tous les ans en vacances avec nous
j:p)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!