Orage
Avec ma femme nous nous promenons dans la campagne, en ce mois d'aout. Il fait très beau. Nous ne sommes pas couverts et notre balade n'est pas difficile. Comme souvent nous bavardons de sexe. Il faut dire que ma femme en particulier est friande et ne peut se passer de jouir plus de 24 heures, sauf pendant une courte période pendant ses règles. De plus en plus, se sens qu'elle fait plus que parler de sexe: elle veut baiser à l'instant: Elle avoue qu'elle mouille de plus en plus. Nous trouvons, sans vraiment le chercher un endroit à l'abri des regards, sous un chêne , tapissé de mousse, et vraiment destiné à recevoir des corps d'amants.
Nous nous asseyons tout d'abord et nous nous embrassons: nos langues fouillent nos bouches et mon désir monte vite. Mon épouse était très excitée. Je lui caresse les seins comme elle adore: elle ôte son t-shirt et sa poitrine nue se tend pour que je la caresse, ce que je ne manque pas de faire. Je lui suce les tétons. De son coté, elle passe une main sous mon t-shirt et me caresse la poitrine. Je pose ma main sur le pantalon qu'elle porte, à l'endroit stratégique: elle écarte les jambes et me demande de lui enlever ce vêtement. Je le tire comme si je pelai un lapin, sauf que le mien de lapin est bien vivant. Elle enlève d'elle même son string et écarte les jambes. Je lui caresse une cuisse jusqu'au genoux et remonte vers son con. Elle me provoque en posant sa main sur la bosse de mon pantalon. Elle sait que cette façon de faire me rend encore plus excité.
Enfin elle enlève son t-shirt et sa poitrine jaillit: ses seins défient la pesanteur. Elle est totalement nue et sa vue de fait bander encore plus. A mon tour je suis nu. Pendant que je lui trouve le bouton d'or, elle commence à ma branler, comme je le lui ai appris. Je la masturbe comme elle me l'a apprit aussi, de façon à avoir un maximum de plaisir. Je me tourne pour la sucer. Elle offre son con à ma bouche et elle prend dans sa bouche mon bite.
Moi, je la suce comme elle aime: ma langue lèche ses lèvres, les mordille un tout petit peu. Enfin je lui mets ma langue dans son orifice vaginal et pour finir, le lui happe le bouton pour le caresser du bout de ma langue. Quelque fois je passe ma langue dans toute sa raie du con au cul.Quand je sens que je ne vais pas tarder à jouir j'appuie un peu plus fort et accélère les mouvements de ma langue. Nos deux plaisirs arrivent ensemble. Je préfère toujours satisfaire ma partenaire avant moi.
Nous sommes remplis de se sentiment de plénitude que nous donne toujours un orgasme réussi.
Nous sommes nus et ne faisons pas attention à ce qui peut se passer. Un gros nuage est arrivé et soudain un éclair suivi d'un coup de tonnerre violent. Des gouttes commencent à tomber. Nous voulons quitter le dessous de l'arbre témoin de nos plaisirs. Heureusement nous voyons à moins de 50 mètres une petite cabane où nous allons nous abriter. Nous sommes toujours nus et l'eau ruissèle sur nous. Nous en rions et heureusement que nos habits sont pratiquement sec
Vers le fond de la cabane, un tas de paille est posé, comme s'il attendait que nous arrivions. Mon épouse elle le remarque et m'y entraine en me prenant par la bite comme une laisse. Elle veux encore jouir. C'est vrai je ne lui ai mis nulle part ma pine et je sais qu'elle en veux
toujours en elle, la bouche ne compte pas. Nous nous affalons sur la paille et commençons à jouer comme des jeunes à la recherche de leur première étreinte. Elle me fait mettre sur le dos et contrairement à ce qu'elle demande souvent elle veut me chevaucher.
L'orage est parti et maintenant comme un couple sage, nous sortons habillés pour rentrer.
Cette suite d'orgasme n'a pas encore éteint les besoins et le soir au moment de nous coucher, elle va chercher un godemiché: Elle veux que je l'encule pendant qu'elle se baise. Et ça nous aimons beaucoup. Un peu plus tard nous finissons notre journée par un 69.
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