Avant Le Sida.

J'avais à peu près 30 ans et je ne cherchais que des aventures nombreuses et courtes, sinon plusieurs aventures simultanées. Il faut dire que j'avais pas mal se succès étant connu dans ma relative petite ville comme un sacré baiseur. Relativement bien monté, les femmes entre 18 et 40 ans savaient qu'avec moi, baiser était réellement un plaisir. La moindre de mes étreintes était d' à peu près 3/4 d'heures. Je ne prenais aucune précaution. Etant d'un naturel très érotique mes "inventions" étaient sans limite. J'aimais prendre mon plaisir après que ma partenaire ait eu au moins un orgasme. Mais la façon d'avoir cette jouissance était très importante. J'aimais toujours surprendre.
Ainsi je me souviens très bien d'une femme mariée et mère de famille qui venait trouver auprès de moi ce que son mari "oubliait" de lui donner. Il la baisait bien comme il faut mais toujours à la missionnaire. Elle compensait son manque de variété par des masturbations. A cette époque il était rare de trouver un godemiché, la morale bourgeoise l'interdisait. Heureusement pour moi, elle avait trouvé le moyen de se branler en se rentrant dans le con une moitié de serviette de toilette, ce qui la remplissait complètement et se faisait jouir en poussant simplement trois ou quatre fois la serviette à fond. Elle me le montrait une fois et j'avoue que j'en bandais: voir la grosseur de la serviette dans son con et de plus voir qu'elle ne se masturbait pas que le vagin mais également et sans le faire volontairement le clitoris ainsi que le cul, m'a fait me branler devant elle. Odile, puisqu'elle s'appelait ainsi, était très sensuelle. Je n'ai jamais pu la baiser à la missionnaire. Cette position lui rappelait trop son époux.
Lorsque nous nous rencontrions, toujours le même jour dans la même chambre du même hôtel, son premier soin était de se mettre nue, sans autre forme de procès. Ses affaires jetées pèle mêle dans la chambre, elle venait contre moi pour m'embraser profondément.

. Ses seins collés contre moi et son ventre à la recherche de mon érection, C'est elle qui me déshabillait. Elle prenait ma bite en main et la faisait grossir. Elle me faisait me coucher sur le dos et entamait une fellation très réussi. J'ai toujours jouis dans sa bouche quand elle me suçait: elle prenait entre ses lèvres mon prépuce, le faisait coulisser vers la base de ma bite, pour ensuite passer sur mon gland ses lèvres fermées autour. Ses lèvres descendaient encore plus bas et sa langue me caressait le gland, lentement comme si elle dégustait une sucette. Enfin elle se servait de sa bouche comme d'un véritable con jusqu'au moment assez long où je déchargeais tout mon sperme dont elle ne merdait jamais une goutte: c'était trop précieux. Je débandais toujours un peu, mais elle savais faire le nécessaire pour me remettre en forme. Couchée près de moi, elle me caressait les couilles, la bite et les tétons. Quelque fois elle m'offrait ses seins pour que je les lui suce.
La suite dépendant de moi. Elle ne devait jamais me proposer quoique ce soit: j'étais son maître.Mais la plus part de temps je commençais par ce qui est pour moi le début de l'amour: un bon cunnilingus. J'ai encore en mémoire le gout de son con et la forme allongée de son clitoris que je pouvais faire rentrer dans ma bouche, entre mes lèvres pour le caresser avec le bout de ma langue. Je me souviens encore des petits gémissements qu'elle poussait au fur et à mesure que le plaisir montait en elle et du cri de sa jouissance.
Je la laissais juste reprendre pied pour la posséder encore. Souvent je la positionnais de façon à ce qu'elle ait accès à son clitoris pour qu'elle se branle pendant que je la baisais. C'était pour
nous une façon de faire qui était très érotique et qui lui donnait beaucoup de plaisir. C'était pour moi une façon de jouir de la voir se donner elle même du plaisir pendant que je lui en donnais de mon coté. Dans cette position elle jouissait toujours plusieurs fois, la dernière quand j'éjaculais.
Enfin arrivait le grand moment qu'elle attendait: la sodomie. Mais je la faisais toujours attendre le moment de la pénétration le plus longtemps possible. Elle arrivait à me supplier et s'offrir de façon très indécente pour que je l'encule. Certaine fois, elle se branlais le cul en y mettant trois doigts le plus profonds possible.
Je ne tenais plus moi-même et je lui demandais de se mettre en levrette. Elle s'offrait ainsi, cul tendu vers ma bite. Elle écartait ses fesses , mouillait son anus avec sa ciprine et attendait que ma bite se pose sur son cul. Son désir était si vif que la plus part de temps, dès qu'elle sentait le bout de mon sexe contre son cul elle poussait elle même pour s'enculer seule. Quand ma bite trouvait sa place dans son anus, elle se laissait aller aux mouvements naturels de baise. Elle jouissais toujours trois fois avant que j'éjacule.
Notre semaine était finie. Elle se rhabillait et se pomponnait pour être à nouveau présentable. Un petit baiser sur la bouche et elle me demandait avec qui j'allais baiser ;
le lendemain.