Un Choix Cornélien Pour Jules : « Le Dépucelage De Tamara. » Épisode 6/18
Après avoir entendu cette triste histoire, jules était tellement bouleversé que son sexe était en berne. Il ne savait plus quoi dire, ni que faire, il était assis sur le fauteuil la tête dans mes mains. Tamara était soulagée, elle navait quune idée en tête désormais, elle voulait se donner à lui. Elle vint vers lui, le prit par la main et lattira vers la chambre, elle voulait se blottir dans ses bras. En regardant son sexe au repos, elle se sentait un peu fautive d'avoir gâcher un si beau moment. Elle sassit à côté de lui en posant une main sur son épaule.
Jules comprit que Tamara lui faisait énormément deffet, il ne savait plus où il habitait. Il navait jamais connu cela avec une autre femme. Dès quelle le touchait, cest tout son être qui vibrait. Ses seins le faisaient rêver, ses fesses étaient comme des montagnes de lamour quil voulait escalader. Il avait une envie folle de lembrasser, il la prit à bras le corps et posa ses lèvres sur les siennes en ne pensant quà leur bonheur.
Elle ouvrit la bouche et se laissa embrasser, un frisson de plaisir lui parcourut le corps tout entier. Jules pressa de plus en plus ses lèvres aux siennes, alors que ses mains sillonnaient sa peau brunâtre. Elles étaient si chaudes et douces, quelles rallumèrent la passion endormie de sa princesse. Elle se colla à lui pour mieux frotter ses seins sur son torse velu, alors quune main de son amant glissa entre ses cuisses quelle ouvrit pour lui offrir son intimité.
Après ce quelle avait vécu, il ne voulait pas brusquer les choses, il savait que cela serait difficile mais Tamara aimait tant ce genre de caresses, quil ne se gênait pas pour glisser sa main sur sa petite chatte quelle lui tendait en écartant encore un peu plus les jambes. Jules savait quelle désirait que ses doigts viennent fouiller sa fente qui redevait humide. Elle tendait aussi sa poitrine, il en avait tenu compte car son autre main, lui caressait délicatement ce sein si merveilleux, cette grosse pomme quil avait envie de croquer.
Tamara se remettait à gémir de plaisir sous ses doigts, son corps qui se cambrait vers lui qui accentuait ses caresses, ses baisers se faisaient plus sensuels et humides, ses lèvres mouillaient bien les siennes. Elle frissonna sous les petits coups de langues dans le cou, sur les épaules, sur ses seins tandis quelle savourait aussi laction de ses doigts dans son vagin. Elle adorait ça, cétait indiscutable, elle prenait un plaisir fou, lorsquil les enfonçait plus profondément et si délicatement.
Ah Oui ! Oui ! Gémissait-elle de plus belle. C'est si bon ! Plus loin, plus vite mon chéri
J'aime ça ! Oh oui ! Hum
Cela excita fortement Jules, il naura fallu que quelques minutes avant que sa verge reprenne de la forme, Tamara était assez exceptionnelle car elle navait pas encore touché son sexe, quil bandait de nouveau comme ce nétait pas permis. Elle gémissait fort sous son doigté de plus en plus profond, il sentait la cyprine mouiller son index et son majeur insérés dans sa petite chatte. Ses tétons devinrent extrêmement durs sous la pression des deux doigts de son autre main.
Tamara rayonnait de bonheur, elle était heureuse de poursuivre leur soirée sensuelle. Elle avait eu si peur quil sen aille tout à lheure. Son ventre se nouait, elle avait des papillons dans les yeux tellement ses doigts jouant avec elle, étaient magiques. Jules était doué et savait lui apporter beaucoup de plaisir. Elle lui mordillait le cou en se collant davantage sur son corps musclé et moite de sueur, elle n'osait toujours pas lui toucher le sexe, elle savourait ces instants.
Jules pinça lautre téton qui le réclamait, il avait limpression que les deux seins de sa princesse lobservaient et cet effet lui donnait lenvie de les mordre. Ses dents serrèrent ces mamelons déformés par lexcitation. Son pouce avait remplacé ses doigts dans sa vulve et désormais, son majeur massait doucement lentrée de son petit trou étoilé.
Elle poussa un cri de surprise et de plaisir mêlé lorsque ce doigt senfonça un peu plus dans le rectum. C'était tellement étrange et bon à la fois quelle se mit à onduler et sa bouche s'ouvrait et se refermait à chaque poussée de ses doigts en elle. Tout son corps se souleva et se tortilla sous ces assauts qui venaient de toute part. Jules détacha un moment son visage du sien pour voir le plaisir dans ses yeux et ses doigts qui s'enfonçaient et se retiraient à un rythme soutenu.
Oh...Oui ...Jules ne t'arrête pas chéri. Continue...
Il reprit le contrôle et lui enfonça réellement ses deux doigts dans sa fente, il savait quelle allait jouir, il commençait à la connaitre. Il accéléra les allers et retour, elle lui demandait daller plus vite, elle sentit le désir monter en elle et cria et cria encore, sa chatte était inondée, elle venait de laisser échapper sa jouissance sur la main qui la fouillait. Elle saffala un instant afin de reprendre tes esprits.
Puis, Tamara sagenouilla à côté de Jules, elle avait un visage radieux, elle lui déposa un baiser puis regarda sa belle queue qui était encore en pleine érection mais après le plaisir quil venait de lui apporter, elle tenait à lui rendre la pareille. Elle prit donc ses deux mains, une massant délicatement ses testicules faisant rouler les deux boules sous ses doigts tandis que de lautre, elle massa de haut en bas cette belle verge qui ne lui faisait plus peur. Son gland prenait un tel volume, quelle avait limpression quil allait exploser sous ses doigts. Quelques gouttes perlaient au bout de sa queue qui se trouvait quà quelques centimètres de son visage. Jules se demandait ce quelle allait faire, car elle donnait limpression de vouloir lavaler.
Tamara les yeux fixés sur ce beau pénis, se pencha un peu plus et saliva. Une image voulait lui revenir, mais elle la chassa de ses pensées. Sa main toujours serrée sur sa verge, elle sortit sa langue et lécha les quelques gouttes sortant de son gland, sous un râle de plaisir du mâle fier de sa princesse. Le plus difficile était fait, se disait-il. De son côté, Tamara essaya de le prendre dans sa bouche mais ny parvint pas, elle préféra continuer de le masturber, Jules se cambrait et commençait à remuer dans tous les sens :
Oh oui, Tamara...vas-y ...C'est si bon...j'aime ça...
Elle était assez fière de donner du plaisir à son tour et accéléra ses mouvements en allant de plus en plus vite. Jules râlait et gémissait de plus en plus fort. Elle ferma les yeux et en profita pour poser sa bouche sur le gland turgescent de Jules qui larrêta. Il nen revenait pas, sa princesse qui avait peur de son sexe une heure plus tôt voulait lui faire une fellation :
Non Tamara ! Je vais jouir trop vite.
Jules avait trouvé cette excuse car il attendrait quelle soit prête à le faire et non pas pour lui faire plaisir. Il était de surcroit pressé de la prendre comme il se doit. Nétant pas encore certain de son désir, il lui demanda :
Tu es prête à faire lamour, ma princesse ?
Tamara avait encore son goût dans la bouche, elle ne fut pas dégoutée mais était sur ses réserves. Elle nétait pas encore prête à tout faire à son amant mais voulait faire lamour, elle lembrassa avec passion en guise dassentiment. Elle sallongea à plat dos, elle était en sueur, son bassin se creusait encore, elle le tira vers elle et nhésita plus à lui apporter sa réponse :
Oui Jules ! Prends-moi, fais-moi l'amour.
Pour ne pas la brusquer, Jules accepta la position du missionnaire, pour une première fois, il était préférable de faire simple. Il avait tout son temps pour lui faire connaitre dautres positions :
Maintenant, je vais entrer en toi.
Tellement excité, il ne pouvait plus attendre, il prit sa queue dans la main, plaça son gland entre ses grandes lèvres et le frotta lentement sur sa fente, Tamara pleine de désir, sétait remise à mouiller fortement :
Oui ! Prends-moi ! Là tout de suite !
Il força, le passage était très étroit, sa chatte était trop serrée, il était obligé dexercer une bonne pression mais voyant quelle contractait ses muscles lempêchant de pénétrer, ne voulant surtout pas lui faire mal, il la rassura en disant :
Laisse-toi aller ma princesse, fais comme si cétait mes doigts. Tu verras ce sera encore mieux.
Elle était tellement trempée, que dès quelle se laissa aller, Jules senfonça dun seul coup jusquà ce que ses bourses soient en contact avec ses fesses. Elle poussa un petit cri de plaisir, l'agrippant de nouveau par les épaules, lui griffant la peau. Tamara était aux anges, son mâle ne lui avait pas menti, son gros sexe remplissait à la perfection son vagin. Toutes ses muqueuses internes étaient en contact avec sa queue, la cyprine secrétée venait faciliter leur emboitement, à croire que leur sexe était fait lun pour lautre. Elle se cambra pour venir à sa rencontre.
Tamara ressentait des sensations merveilleuses, sa bouche s'ouvrait autant que sa chatte qui palpitait sous la pression, elle avait comme des bulles dans son ventre :
Oui ! cest trop bon ! Gémissait-elle pour le plus grand bonheur de Jules entièrement rassuré.
Tu aimes ma chérie ?
Tu es si long et si gros que je perçois un bonheur intense, vas-y maintenant, prends-moi.
Jules commença ses va et vient, Tamara prenait le même rythme en bougeant son bassin et à chaque fois quil se trouvait fiché en elle, elle poussait des petits cris de joie. Elle regrettait aujourdhui de ne pas avoir essayé plus tôt, cétait bien mieux que les masturbations quelle se prodiguait. Elle commençait à trouver ça super génial, elle gémissait si fort que Jules se bandait de plus belle, il allait et venait profondément tout en douceur, sous les demandes incessantes de sa princesse.
Il la pénétrait si loin que ses couilles lui faisaient presque mal lorsquelles tapaient contre ses fesses à chaque coup de reins mais cela augmentait son plaisir :
Oh ma chérie ! Cest trop bon
Tout en elle devint moiteur et plaisir, elle aimait déjà son sexe qui la remplissait et la prenait avec grand soin, ses cris et ses soupirs de plaisir étaient là pour en témoigner :
Oh ! Oui Jules ! Je vais jouir
Ah !
Elle jouit fortement à cet instant, elle avait pris son plaisir mais en voulait encore, Jules la regardait, il vit ses yeux lui lancer des flammes tellement elle aimait ça. Jules continua ses allers et retours, il la besognait si bien quelle en redemandait, cétait très excitant de la prendre ainsi. Jules voulait en finir, il nen pouvait presque plus de se retenir, il lui prit les pieds afin quelle entoure ses jambes autour de sa taille, il senfonça davantage, tout en la travaillant au corps, sa bouche écrasait celle de sa princesse :
Continue ! C'est si bon ! Disait-elle encore.
Il continua à la posséder ainsi encore quelques minutes puis la prenant par la taille, dans son délire il la retourna et la pris par derrière. Il la pénétrait avec un peu plus de force. Dans cette position sa queue senfonçait encore un peu plus dans son vagin. Avec de grands coups de reins longs et réguliers la prenant tout en douceur, il allait et il venait dans sa chatte qui coulait en permanence, elle nen pouvait plus, elle criait à chaque secousse, ses petits seins ballottant et ses couilles cognant son petit cul. Après de longues minutes à la prendre ainsi, cen fut trop pour lui :
Je vais jouir encore, continue comme ça ! Lui dit-elle.
Oh moi aussi
Oh
Il senfonça au plus profond d'elle une dernière fois et dans un râle puissant, il resta accrocher à ses hanches et éjacula abondamment. Elle se tendit et s'arc-bouta dans un orgasme puissant. Lorsqu'elle ressentit la chaleur de son sperme couler dans la raie de ses fesses, elle devina quil venait jouir à son tour. Ils restèrent ainsi quelques minutes, avant de se coucher sur le côté :
Hum ! C'était si bon ! C'était vraiment bon. Merci mon amour. Finit-elle par lui dire, avant de lembrasser.
Dans lappartement dà côté, Bénédicte et Jérôme qui venaient de se coucher depuis quelques minutes avaient entendu tous les cris de Tamara et en furent très surpris. Ils réalisaient quelle avait enfin trouvé un amoureux. Ils la connaissaient depuis plus de deux ans et jamais, ils navaient vu un homme entrer dans son appartement. Ils étaient très heureux pour elle :
Tu crois quelle a rencontré quelquun dit Jérôme à sa femme.
À lentendre, ça ne fait pas doute. Jétais persuadée quelle était lesbienne. Dit Bénédicte.
Pourquoi dis-tu cela ? Tu las déjà vu avec une femme ?
La seule personne qui vient chez elle cest sa collègue, ma-t-elle dit la fois dernière. Elle vient à peu près tous les mois mais dhabitude, elles mangent et cette jeune fille sen va vers 22 heures. Mais il ny a pas que ça, sa coupe de cheveux aussi.
Tu sais lautre soir, jai bien remarqué quelle regardait bizarrement Jules. Et si cétait lui, le gars à côté.
Penses-tu, Jules a toutes les filles quil veut, pourquoi viendrait-il sauter une fille telle que Tamara. Bon, il est tard chéri, dors.
Tu ne veux pas, ça ma donné des envies tout ça, approche-toi.
Pas ce soir, je suis crevée et je me lève tôt demain et toi aussi.
En effet, Jérôme excité par la situation, bandait fortement et lorsquil avait pris la main de sa femme pour la glisser en dessous de son pantalon de pyjama afin de lui prouver dans quel état il était, elle sexclama : « En effet mon chéri, tu vas avoir des difficultés pour dormir avec ça entre les jambes. » Bénédicte eut pitié de lui, elle aussi aurait bien cédé à la tentation mais il faisait tard et prit la décision de le soulager. Elle le masturba en douceur et il navait fallu que quelques minutes avant quil néjacule sur sa main. Elle prit un essuie tout et assécha le sexe de son homme et sessuya la main avant de lui dire : « Bonne nuit mon chéri. »
Très pudique habituellement, Tamara sétait levée nue et resta ainsi en déambulant dans son appartement. En fin daprès-midi, lorsquelle sut que Jules passait chez elle, elle avait fait quelques courses. Elle alla à la cuisine, mit une pizza au four. Elle ouvrit le frigo et en sortit une bouteille de vin et sortit deux verres. Elle avait une faim de loup et voulait manger un petit morceau. Elle alla à la chambre et demanda à Jules de se lever :
Tiens mon chéri, ouvre cette bouteille de Tariquet, je sais que tu laimes, nous allons diner quand même, il se fait tard.
Avant de se mettre à table, Tamara ne voulant rien caché à Jules lui avoua pourquoi, elle ne voulait plus lui parler la semaine passée. Sur son message, elle avait parlé des nombreuses femmes quil avait connu avant de la rencontré mais à aucun moment de Karine Marchand :
Je dois encore te dire autre chose mon amour. Lorsque je suis revenue après ma fuite lautre soir, je suis rentrée chez toi, tu ne mas pas vu, tu étais de dos.
Tu es revenue ? Bon Dieu et tu nous as vu en train de
Oui ! Je tai observé et tu nas pas été aussi tendre avec Karine quavec moi aujourdhui. Pourquoi ?
Parce quavec toi, jai fait pour la première fois lamour, ma princesse.
Ah bon ! Pour la première fois, je pense que tu exagères un peu avec le nombre de copines que tu as.
Tamara ! Les autres je les baise, je ne leur fais pas lamour, tu comprends la différence ?
Que préfères-tu maintenant que tu as essayé avec moi. Faire lamour ou baiser ?
Tu sais Tamara tu me mets dans lembarra, je ne saurais répondre à cette question. Je ne sais quune chose ma chérie, cest que jai vraiment pris plaisir ce soir, tu mas apporté beaucoup de bonheur. Maintenant si tu veux, mangeons cette pizza, elle va refroidir.
Ils prirent ensemble le repas, mais navaient utilisé quune chaise car elle sétait assise sur ses genoux pendant tout le diner. Entre chaque bouchée de pizza, leurs bouches se collaient dans de petits baiser furtifs. Une fois rassasiée, Tamara se leva sans débarrasser la table et en se dirigeant vers la salle de bain, elle dit dun ton assez ironique :
Bon Jules ! Dépêche-toi ! Viens te doucher avec moi, jai très envie de sentir tes mains sur mon corps ?
Nous verrons la suite dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous aussi, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par e-mail, avec votre aide, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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