La Première Sodomie
Tout le monde nous avait quitté, et je me retrouvais seul avec ma cousine. Cousine avec qui, j'ai beaucoup d'affinité. C'était en été, elle avait un petit short moulant son petit cul légèrement bombé en arrière et qui attire ment. Elle en rajoutais pour m'exciter davantage, et me lançais de petits sourires de connivence. Je voulais paraitre indifférent, pour jouer les mecs, mais je ne pus retenir une érection qui déforma mon short.
C'est moi qui te fais cet effet là ? en désignant mon entrejambe de son index.
Je rougis instantanément et son rire éclata bruyament.
Arrête, s'il te plait, de rire comme ça, lui répliquais-je.
Elle s'approcha de moi, se lova contre moi tout en ayant posé sa main sur le bout de mon membre turgescent toujours prisonnier dans mon short.
A mon tour, et très maladroitement je lui roulais une pelle et lui massais ses seins l'un après l'autre, puis je la repoussais et l'attirais vers le canapé tout près. tout en l'embrassant je lui retirais son tee-shirt qu'elle abandonna volontier, puis je baissais son
petit short et ses contorsions m'aidèrent en l'en débarasser. Elle était à cheval sur moi, me repoussa à son tour pour arracher mon tee-shirt. Elle reprit notre baiser fougueux et je retirais comme je pus mon short à mon tour.
Elle lâchait des petits cris de plaisir et se retourna. Puis elle saisit mon sexe et l'amena à l'entrée de son vagin dégoulinant de cyprine.
- Vas y, baise moi bien fort, j'ai trop envie !
Mon sexe pénétra lentement mais délicieusement, baignant dans ce sexe inondé.
Elle râlait de plaisir et son corps ondulait magnifiquement et prenait toute la mesure de mon sexe...
Mes doigts caressèrent son sexe et récoltèrent le maximum de jus qui continuait à dégouliner de sa chatte, puis je lui caresais son petit trou avec ce lubrifiant naturel, mais elle hurla :"non pas par là!" J'étais trop excité et j'amenais mon gland à l''entrée de son petit anus et d'un petit coup de rein commença à la pénétrer.
Elle hurla "non !" C'était trop tard, mon gland avait franchi sa bague et inexorablement mon sexe la pénétra de toute sa longueur. Je la maintins un moment immobile, pour qu'elle s'habitue à ce nouveau corps étranger, puis lentement je repris mes va et vient.
Elle continuait à crier "non, je ne veux pas" mais je n'en tenais pas compte et allais et venais entre ses reins. Elle finis par se calmer et je finis par lui lâcher tout mon sperme au fond de son ventre. Nous restâmes un long moment immobile comme ça.
Au bout de cinq bonnes minutes, elle se dégagea. Des larmes coulaient sur ses joues, elle me fixa et hurla "espèce de salaud".
Je restais pentois et ne répondis rien, me disant que c'était la première fois et probablement la dernière....
Dans la soirèe toute la famille était rentrée et nous nous mîmes tous à préparer la cuisine pour le repas. La nuit avancée, nous nous quittâmes pour aller nous coucher.
Ma cousine ne m'embrassa pas et alla se coucher sans mot dire.
Dans la nuit, j'entendis un léger bruit à ma porte. Je n'eus pas le temps d'allumer la lumière que ma petite cousine se précipita et se faufila entre mes draps, se pelotonnant aussitôt contre moi.
Une fois réchauffée, elle se dégagea de sa chemise de nuit et commença à me caresser. Elle me chuchota dans l'oreille "tu sais que je t'en ai voulu de ce que tu m'as fait cet après midi" puis un silence passa...
"Tu m'as fait mal et je n'étais pas prête" Je restais muet...
Elle se tut, puis finalement vint me chevaucher et se laissa pénétrer par le vagin.
Elle mouilla énormément, la souplesse de ses reins lui laissa tout le rythme qu'elle mena à sa guise. Puis elle se retira et d'elle même prit mon sexe tendu, lubrifié par sa cyprine et le dirigea vers son anus. Elle contrôla la pénétration puis dans une rage
demesurée s'astiqua jusqu'au cri qui annonça l'arrivée de son orgasme. Elle cria tellement fort que je crus qu'elle allait réveiller toute la maison.
Tous les soirs, elle revint me rejoindre au milieu de la nuit jusqu'à la fin des vacances.
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