Un Inventaire Avec La Femme De Mon Patron
La femme de mon patron est à croquer pendant les inventaires
Je me prénomme Jean âgé de vingt huit ans je suis cuisinier de métier jai été récemment embauché par un patron dune chaîne de pizzeria à emporter dont le prénom est Christian. A plus de cinquante ans Christian est débordé aussi Il ma confié la responsabilité dun point de vente où je travaille la plupart du temps seul.
Régulièrement il me rend visite pour faire le point de notre activité. Lautre jour, à loccasion dun inventaire, surprise ! Il se
présente en compagnie de sa femme de cinquante ans très bon chic bon genre. Je suis, je dois lavouer malgré la
différence dâge quelque peu troublée par cette femme mûre très jolie brune portant ce jour là un jeans qui moule une jolie paire de fesses mise en relief par une chute de reins très cambrée, le tout supporté par deux très longues jambes dont les talons galbent à ravir lensemble.
- Jean je vous présente mon épouse Virginie qui va nous aider à réaliser linventaire et qui lors de mes prochaines absences viendra prendre régulièrement les documents.
Elle me tend la main le mouvement a pour effet décarter le magnifique chemisier noir quelle porte dévoilant légèrement la généreuse poitrine dont les seins semblent dune étonnante fermeté pour une femme de son âge !
Le contact avec sa main, ce parfum
.La douceur du geste provoque en moi un réel trouble et je crains que cela ne se remarque.
Nous commençons linventaire et positionné derrière cette magnifique créature, elle se penche en avant tout en se baissant pour inventorier des objets posés sur des étagères basses. Leffet est immédiat le jeans descend lentement vers le bas et je découvre un string aussi noir que le chemisier assorti de dentelles
. Le mouvement se poursuit et je me trouve face à la naissance du sillon qui mène à lendroit qui pour moi reste le plus intime de la femme, ce puits de plaisir si secret et que tant de femmes refusent doffrir en amour
je ne peux mempêcher à ce moment précis de me poser
intérieurement cette question.
Ai-je rougit ? Elle esquisse un léger sourire.. se tourne vers son mari
- Christian je te rappelles que tu as rendez-vous à la mairie pour la réunion de seize heures
il est moins le quart tu vas être en retard, si tu le souhaites, je peux rester avec jean pour terminer linventaire tu passeras me reprendre à 19h en sortant
.
- Tu as raison je file
Je suis pétrifié seul avec Virginie. Si josais
non impossible
.mon job
Christian à peine partit elle minterpelle :
- Vous devriez fermer la porte à clef car sinon malgré le panneau des clients nous dérangerons en permanence
- Oui madame
- Ho sil vous plait appelez-moi Virginie.
- Si vous voulez mais appelez moi Jean
- Pas de soucis
Nous poursuivons notre inventaire dans un silence religieux.
Virginie souhaitant inventorier des objets sur les étagères supérieures me dit
- Jean vous voulez bien approcher cette caisse plastique, je monterai dessus pour compter les carnets de commandes.
Japproche lénorme caisse bleue elle monte dessus et enchaîne
- Vous pourriez me tenir par les hanches car sur la pointe des pieds avec ses maudits talons je crains de glisser sur le plastique de la caisse !
Comme vous voulez ?
Elle me tourne le dos, jai à ce moment là ses fesses sous le nez ! Cest inhumain un cul pareil
. mes mains posées sur ses hanches, elle lève les bras pour attr les colis supérieurs
Mon Dieu
quelle vue le chemisier est sorti de son Jeans dévoilant son dos et le mouvement des hanches à fait descendre une fois de plus le Jeans vers le bas, jai mes lèvres face à son sillon fessier
Je nen peux plus. Je bande comme un fou, elle doit même sentir mon souffle chaud dans son dos.
A ce moment précis elle descend en une jambe de son perchoir et leffet est immédiat mes mains remontent sous le
chemisier, jhésite, mon cur bat à men faire exploser la poitrine, mon sexe me fait mal tellement mon érection est
intense,
Tans pis je fonce :
Je me saisis des deux seins et me plaque contre son dos
sans lui laisser un espace pour réagir, je lembrasse dans le cou
ou cest la claque
ou alors
Un léger gémissement
- Que faites-vous Jean vous êtes fou! Non arrêtez
Ma main gauche est déjà passé sous le balconnet du soutien gorge et je saisis le téton de ce sein magnifique entre mon
pouce et mon index
. Jen suis sur cette plainte par sa timidité est une invitation
.
Ma main droite à dégrafe le jeans, je tire dessus.ça y est.elle se penche en arrière pose sa nuque sur mon épaule
gauche
ma main droite passe sous son string.et force la fourche des ses cuisses, elle gémit
.
Je continue à pétrir son sein et le majeur de ma main droite atteint son objectif, ces lèvres humides ce bourgeon
légèrement dressé elle mouille sur ma main droite. Cest bon, aussi je décide de passer la vitesse supérieure.
Je la retourne mempare de sa bouche le baiser est fougueux, rapidement je baisse mon pantalon tenu que par lélastique de ma tenue de cuisinier je ne porte pas de slip
. Mon sexe jaillit
.
Ma main gauche posée sur sa nuque appui elle tombe à mes genoux.
Ma main droite tenant mon sexe, je menfonce lentement dans sa bouche
. Sa respiration est rapide jentame un
mouvement de rein..
- Avale.plus loin. Ho que cest bon. Elle gémit. le bruit de succion de ces magnifiques lèvres,
- Regarde-moi
oui comme ça
ses yeux verts
je me branle littéralement dans sa bouche, le la baise par la bouche
mes coups de reins projette mon gland au fond de sa gorge provoquant des petits hoquets
que ses yeux qualifient de plaisirs, les minutes semblent une éternité jaccélère.
tapisse sa gorge profonde en éjaculant violemment. Une fois deux fois un coup de rein en arrière me permet de déverser
un filet de sperme sur ces magnifiques lèvres si finement maquillées. Je lembrasse tout en la relevant
.
- Ho jean cétait si bon. Si bon !
- Mets toi nue.lui dis-je allonge-toi sur la caisse
Je me mets à genoux devant la fourche de ses cuisses, mes mains écartent lentement pour découvrir cet abricot doré et totalement épilé (jadore) je me dit que ce nest pas les minettes que jai lhabitude de baiser
cest géant !
Jintroduis mon index dans cette chatte accueillante et je suce jembrasse, je lèche ce bourgeon dressé
- Ho jean.oui.oui encore cest bon
Je poursuit.elle mouille abondamment. Cest sucré doux et chaud. Je la branle avec mon pouce et la pénètre avec mon
indexe en buvant son nectar
.
Mon sexe est à nouveau à lhorizontale. Je maventure à avancer le majeur de ma main droite sur lintérieur de sa cuisse
gauche, je descends lentement vers ce petit puits sombre, ce bouton de rose obscur
. Je caresse son petit trou dun
mouvement circulaire
avec de petites pressions.je pénètre ce petit cul du bout de la phalange
serré ! Dieu qu elle
est serrée
Serait-elle vierge de ce côté là ?
- Non Jean. Non.
- Tu va voir.laisse moi te faire découvrir la jouissance à létat pure..
- Non je ten prie, je ne lai jamais fait
. prend moi devant
sil te plaît
Sourd à ces suppliques mon doigt est déjà enfoncé en entier dans ce petit cul que je veux posséder.je bande à lextrême.
Je commence un mouvement lent de va et viens. Cest plus chaud plus souple elle gémit.
- Regarde! Tu naime pas que je te branle le cul ?
Jaccélère de la main gauche jai saisi une bouteille dhuile ouverte à proximité, jenduis mon index.
fort.jintroduits un second doigt (que cest bon ) son petit puits damour se détend mes mouvements sont maintenant amples
. Je sors, je rentre de plus en plus vite de ce petit que son mari a laissé vierge ! Je fais des mouvements de bas en haut de droite à gauche
. et dun coup de retire mes doigts complètement
- Ha non
(cest gagné, elle en redemande)
Je me redresse, saisi ses chevilles et lui ramène les cuisses sur la poitrine
. Puis une cheville de part et dautre de son joli minois
. Elle me regarde à la fois impatiente et inquiète.
Mon avant bras gauche appui sous ses genoux.immobilisant ses deux jambes.les reins cambrés au maximum par le bord de la caisse, jai une vu imprenable sur ce cul que je convoite.
Je saisis le bout de mon gland et lapplique contre son anus
- Non-jean
pas ça. je ten prie
Plus rien ne peut marrêter
.comme avec mes doigts jexerce de petits mouvements rapides sur son anneau
. plus vite plus amples
je pousse un peu plus
- Elle pousse un petit cri. Aïe. Elle souffle.elle a maintenant passé ses deux mains pour tenir elle-même ses jambes plaquées contres ses seins
Je pose mes deux mains de part et dautre de ses fesses que je serre fermement.mon gland a presque franchit lanneau de plaisir
je vois ses yeux humides
. Elle ne cesse de rouler sa tête de droite à gauche dhumidifier ses lèvres
. Son souffle est court et rapide.
Dans une coulée lente et inexorable jenfonce mon sexe au plus profond de son cul
je pousse et je me fixe.
- Regarde-moi. (Ses grands yeux verts me fixent humide des larmes de bonheur et de douleurs à la fois ) Tu viens de donner ton plus beau trésor
. Tu aime et tu aimeras
Dis-le -moi, que tu veux que je tencule encore
..
- Oui. Oui. Cest bon maintenant viens membrasser
..
Je me penche ses lèvres sentent encore lodeur de mon sperme, jentame des mouvements de reins, ses anneaux se
détendent les uns après les autres, je la baise par le cul et elle adore, elle mouille maintenant, jaccélère, pèse de tout mon
poids sur ses cuisses, mes couilles battent régulièrement contre ses fesses.
Je sors dun seul coup
. Elle crie non
.
- Tourne toi et mets toi a genoux sur la caisse
. Mets tes mains derrière ton dos..
- Je vais tomber
- Non je vais te tenir par les poignets (elle sexécute)
Son cul est vraiment unique, je le pénètre à nouveau, elle est entraînée vers lavant cambrant un peu plus ses reins, je tire sur ses bras maintenant je lencule à fond..
- Pose tes mains à plat parterre en restant à genoux sur la caisse
. Voilà comme ça.
Une main sur chaque fesse jécarte et contemple mon uvre son anus souvre de 5 à 6 centimètres quel pied. Jentre à
nouveau mon sexe et je le baise à grande vitesse.
Elle gémit
. Puis, crie plus vite
. Plus vite. oui
Je me libère dans un orgasme violent cinq longues giclées vont tapisser lintérieur de ce si joli cul je sors mon gland maculé, je la pénètre à nouveau de deux doigts que je ressorts et que je porte à ses lèvres elle suce gentiment et
tendrement
- Mon Dieu Jean mon mari va arriver
vite elle bondit. Remet ses vêtements. Met de lordre dans sa tenue, ses cheveux
jen fais autant
. et à vitesse grand V
A peine avons nous terminé que le bruit de la clef dans la porte nous fait bondir. Christian entre
- Alors cet inventaire ?
- Tu sais chéri, je crois que j'ai ralenti Jean car je nai pas lhabitude
.
- Cest vrai Jean ?
- Non-monsieur votre dame fait le maximum mais il faut le temps pour faire les choses correctement !
- Vous avez raison je vous propose den rester là pour ce soir. Je ne pourrais pas venir vous aider demain matin vous y arriverez seul ?
- Chéri, je peux venir si tu veux ?
- Oui pourquoi pas comme cela vous terminerez ok je fais un petit tour aux toilettes et je reviens
Christian disparaît. Virginie sapproche de mois me prend la nuque me dépose un baiser épicé et me dit à loreille
- Je sens ton amour couler dans le sillon de mes fesses. Cest chaud
mais devant moi ressens un immense vide. A demain
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