Ma Femme Me Trompe Au Maroc

Je vais vous raconter l’histoire réelle qui m’est arrivée cet été avec ma femme. Nous sommes un jeune couple de 26 ans tous les deux, ma femme Caroline est assez mince, châtain et des petits seins aussi petits que ses fesses.
Nous n’avons sexuellement pas de tabou, elle aime que je la sodomise, adore me sucer elle est assez cochonne mais très fidèle. Enfin, c’est ce que je croyais jusqu’à cet été et nos vacances au Maroc !
Nous sommes partis en vacances 15 jours dans ce pays très chaud afin de décompresser. Arrivés sur place nos journées se résumaient à se lever tard et profiter de la piscine et de la mer à proximité après avoir passé des nuits à baiser comme jamais. Je me souviens de soirées chaudes et désinhibées par l’alcool ingurgité dans les différents bars gratuits de l’hôtel. A l’instar du bar gratuit, nous mangions également beaucoup et, comme vous le savez peut-être la nourriture n’est pas toujours très clean et c’est comme ça que je suis tombé malade toute une journée… Cloué dans la chambre.
Ce jour là, Caroline ne souhaitais pas sortir et voulait rester à mes côtés. Mais j’ai eu vite fait de la décider à sortir, lui disant de profiter des vacances. Elle hésita mais accepta de passer la journée au bord de la piscine à parfaire son bronzage. De la terrasse de la chambre je pouvais l’apercevoir dans son maillot de bains mettant en valeur ses petites fesses bien dessinées. Je m’endormis quelques minutes et revint, requinqué par cette sieste, au balcon afin de voir ce qu’elle faisait. C’est là que je l’aperçu en train de parler avec un des animateurs du club ça m’intriguait quelque peu, connaissant la réputation de dragueurs du personnel. Je décidais de me poster sur le fauteuil du balcon afin d’examiner la situation… Suspicieux…
L’animateur ne cessait de lui apporter des verres de cocktails qu’elle avalait avec gourmandise, de là où j’étais je ne pouvais entendre ce qu’ils se disaient mais elle semblait rire de ses blagues, quelque peu émoussée par l’alcool ingurgité ! Lui en profitait pour se rapprocher d’elle et en vint même à lui poser la main sur la cuisse.

Elle ne bronchait pas, sirotant son cocktail !! Un sentiment étrange m’envahi, à la fois jaloux mais également excité par la situation. Elle continuait à se laisser ‘toucher’, lui voyant cela la caressait carrément, montant sa main du genou jusqu’en haut de sa cuisse. J’étais scié ! Elle lui tendit alors de la crème solaire et se mis sur le dos. Il commença à lui appliquer sur les épaules, descendant au creux de ses reins. Il continua à descendre et posa ses deux mains sur les fesses de ma femme et lui fit venir son bas de maillot dans les fesses à la manière d’un string. Il prit une noisette de crème solaire dans les mains et lui massait allègrement les fesses, je ne voyais pas précisément ses mouvements de là où j’étais mais il semblait ne pas prendre de gant. Le salaud y allait franchement et elle se laissait tripoter ! Le mec n’était pourtant pas particulièrement du style de ma femme, le teint mat, cheveux longs noirs attachés et assez fin mais sculpté. J’étais toujours à mon poste d’observation lorsque je le vis lui dire quelque chose à l’oreille. Elle prit ses affaires et ils se levèrent tous les deux.
Je sortais alors de la chambre et descendis en courant. J’eu à peine le temps de les voir plus loin. Ils entraient dans un second bâtiment de l’hôtel dans lequel il y avait d’autres chambres. J’avais envie de me précipiter afin de lui demander ce qui lui prenait mais la situation m’excitait et je me dis que c’était les vacances finalement, un peu de folie. Ils entrèrent dans une pièce au rez-de-chaussée, sorte de dortoir pour le personnel du club. Je me faufilais en cachète afin d’essayer de les surprendre. Je me postais derrière une fenêtre de laquelle je pouvais les apercevoir. Ce que je vis me sidéra !
Ils étaient tous les deux debout et lui la pris par la taille et l’embrassa contre le mur de ce qui semblait être sa chambre. Il lui fit quelques baisers dans le cou et elle riait, elle semblait ivre mais bien consciente de ce qu’elle faisait ! Il descendit petit à petit, lui enleva le haut de son maillot de bains et commença à lui lécher les tétons.
Elle commençait à gémir, les yeux fermés. Il la souleva alors pour la transporter dans le lit à côté d’eux. Lui retira son t-shirt et recommença à lui tripoter les seins. Pendant ce temps il lui caressa la chatte par-dessus le bas de son maillot de bains et elle sursautait de temps en temps en gémissant, complètement excitée, la salope ! J’avais une de ces gaules, je commençais à me tripoter en les regardant… Il lui retira son slip et lui enfila deux doigts dans la chatte. Elle criait de plus belle :
- Oh oui, vas-y !
- Tu aimes ça hein la gazelle ? Tu à envie de te faire baiser c’est ça ?
Elle acquiesçait en gémissant encore. Elle lui lança à bout de souffle un « Viens » emplis d’excitation.
Elle s’asseyait alors et retira le caleçon de son partenaire. Mon dieu, ce mec était monté comme un cheval ! Il avait un sexe bien plus gros et grand que le miens ! Elle prit alors sa bite en bouche et le suça comme elle savait si bien le faire, alternant la vitesse et la tendresse, elle le suçait, lui léchait le gland gonflé tout en laissant échapper des « Mmmm, Mmmm » étouffé par ce sexe énorme. Lui était aux anges, il commençait à lui dire qu’elle suçait comme une vraie salope, lui ordonnait de lui bouffer la queue. Ces mots semblaient transcender ma femme qui donnait encore plus d’ardeurs à sa tâche.
Au bout de quelques minutes de ce traitement il retira sa queue de la bouche de ma femme et la mis en position de levrette. Il s’approcha d’elle et posa son mandrin sur la chatte de Caroline. Il poussa son gland dans le ventre de ma femme qui gémissait encore plus. Il l’enfila complètement. Sa bite semblait ne plus s’arrête tellement elle était grande ! Il commença des allers-retours en elle, alternant les mouvements rapides et lents pour le plus grand plaisir de ma femme qui ne tardait pas à jouir. Lui paraissait infatigable et la traiter sans arrêt de « cochonne » ou de « grosse salope aimant les bites d’arabe ». Il changea de position et la mis sur le dos pour un missionnaire très vif et intense, elle criait en soulevant les jambes bien haut et serrant les fesses de son amant en le poussant vers elle, comme pour sentir plus profondément sa grosse queue.
Après plusieurs minutes de ce traitement lui procurant un nouvel orgasme (moi qui ne pouvait pas lui en procurer plus d’un par rapport…) Il se retira et la retourna en position de levrette à nouveau. Il lui demanda d’ « écarter son cul de chienne » ce qu’elle fit dans la foulée. Il approcha son gland de son cul et poussa. Elle n’entrait pas car était trop large. Ma femme avait pourtant l’habitude de ce genre de pratique, mais pas de ce gabarit. Il se retira, se pencha sur son cul et lui mis des doigts puis la langue dans le cul pour la dilater. Elle semblait apprécier la préparation et lui dit de « venir dans son cul ». Il reprit alors sa pénétration. Cette fois-ci sa queue entrait plus facilement. Il poussa lentement et l’enfila d’un coup bref qui fit crier Caroline. Il était tout entier dans son cul et resta un moment figé à l’intérieur. Après un cet instant il entreprit des va et viens rapides. Ma femme était comme une folle, criant et lui disant de l’ « enculer comme une pute », je ne l’avais jamais vu aussi délurée et excitée ! Elle se masturbait le clitoris tout en recevant la bite de ce marocain au plus profond de son cul. Elle jouit une troisième fois et lui lâcha son foutre dans son cul en poussant un râle de satisfaction. Ils restèrent emboités quelques instants, se regardèrent, il l’embrassa avec un large sourire de satisfaction, comme quelqu’un ayant réussi un gros coup de drague. Ma femme fidèle et souvent timide envers des personnes inconnues venait de se faire défoncer par un inconnu et sans préservatif (nous saurons heureusement plus tard qu’elle était clean).
Quand elle rentra plus tard mine de rien dans notre chambre, je la pris directement sur le lit, elle n’avait pas eu le temps de se nettoyer et avait le cul dilaté et encore remplit de sperme. Elle crut que je ne m’étais rendu compte de rien mais la manière dont ses orifices avaient été dilatés par ce marocain et sa grosse queue ne pouvaient laisser planer aucun doute. Elle m’avoua dans la soirée ses ébats adultères…

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