Une Inspection Très Spéciale

Cette histoire s’est déroulée au mois de mai dernier alors que ma femme, jeune professeur en collège de 26 ans, devait se faire inspecter. C’était alors sa première et elle stressait beaucoup à l’idée de ne pas réussir. Le matin de ce jour tant appréhendé elle mit tous les atouts de son côté et privilégia une tenue simple mais diablement efficace. Les températures étant au rendez-vous elle choisit de mettre une robe estivale sans collants et des chaussures ouvertes. Je lui dis en la charriant qu’habillée de la sorte elle ne pouvait qu’obtenir une bonne appréciation de la part de l’inspecteur. En effet, elle avait de magnifiques jambes et un petit cul à faire tomber qui étaient mis en valeur par cette tenue.
Sur la route elle était plus stressée que jamais et pensait à la réputation sévère que trainait cet inspecteur derrière lui. Elle arrivait en classe et commença son cours lorsqu’on frappa à la porte. C’était lui, la cinquantaine, il afficha un air froid et salua à peine ma femme et lui dit de continuer comme s’il n’était pas là. Elle fit donc son cours durant toute la matinée, stressée par la présence de ce personnage venu l’inspecter. La sonnerie de midi retentit enfin, le moment était venu d’avoir un entretien afin de voir comment cela c’était passé.
L’inspecteur n’y allait pas de main morte, descendant le travail de ma femme de A à Z ! Elle était sciée, une mauvaise note lors de cette inspection lui empêcherait de monter dans les échelons. Il demanda alors à ma femme de se rendre au tableau afin d’y effacer son cours. Caroline trouva cela étrange mais s’exécuta. Alors qu’elle était de dos, effaçant le tableau, elle se dit que l’inspecteur avait fait cette demande pour la mater. Elle se retourna discrètement et pu confirmer que celui-ci avait les yeux rivés sur son cul. Le gros dégueulasse ! Elle se dit alors qu’elle allait lui en donner un peu plus, cela ne pouvait que lui apporter du bonus. Elle fit tomber la brosse et se pencha alors pour la ramasser, c’était un peu cliché mais terriblement efficace.

Elle repartit alors au bureau et s’asseyait de nouveau en face de l’inspecteur. Ils reprenaient leur conversation comme si de rien était. Caroline allait tenter le tout pour le tout afin de gagner des points auprès de cet inspecteur.
Elle fit glisser ses chaussures afin de se retrouver pieds nus et commença à les frotter sur l’inspecteur, sous la table, qui ne se démontait pas et continuait à lui parler de son travail. C’est alors qu’elle remonta son pied droit jusque sur le sexe de cet homme qui arrêta net de parler ! Il passa sa main sous la table et la posa sur le pied de ma femme. Celle-ci le laissa faire. Il dégrafa son pantalon et sortit son sexe de son pantalon qu’il commença à frotter contre le pied de ma Caroline. La situation lui avait complètement échappée mais après tout, elle était prête à ce sacrifice afin de gagner de précieux points… Elle retira alors son pied du sexe de l’inspecteur et se glissa sous le bureau afin de prendre les choses en main. Elle pu ainsi voire le sexe gonflé de ce quinquagénaire, ni gros ni petit en taille mais assez large. Elle commença à le masturber vigoureusement et entendait en même temps son souffle rauque au dessus du bureau. Il était si excitait que son sexe était tout mouillé. Elle le prit alors en bouche et continuait de l’agiter simultanément. Ma femme lui montrait alors une discipline dans laquelle elle excelle : la fellation. Si elle était un peu dégouttée au début, cette situation l’excitait, elle se dit qu’elle était vraiment une salope de faire ça, et cette pensée la faisait mouiller. L’inspecteur de son côté prenait son pied, il gémissait sous le traitement efficace de ma femme. Elle retira alors les bretelles de sa robe et son soutien-gorge pour frotter ses seins contre le sexe trempé de son amant. Le gland de ce vieux salaud sur ses tétons l’excitait alors comme jamais. Il lui dit alors de remonter de sous le bureau, elle s’exécuta. Il restait assis, elle debout. Il la retourna et lui souleva la robe jusqu’en haut des fesses.
Elle avait le cul à hauteur de sa tête.
Elle portait un string noir qu’il écarta sans retirer, il avait alors une vue imprenable sur son cul. Il commença par lui écarter les fesses et lui enfila un puis deux doigts dans sa chatte inondée par l’excitation de cette relation adultère. Il continuait de la doigter rapidement, ce qui la fit gémir comme une folle. C’est alors qu’il approcha sa tête de ses fesses et lui enfila la langue dans l’anus. Ma femme eut un cri de surprise mais se laissa faire. L’inspecteur lui travaillait la rondelle avec sa langue puis ses doigts, lui en enfilant un puis deux, de plus en plus profondément. Caroline gémissait de plus en plus. Ce vieux salaud n’était vraiment pas attirant mais elle était désormais prise dans l’engrenage. Après quelques minutes, il cessa son petit jeu et la pencha sur le bureau. Toujours le string écarté, elle senti alors la bite de l’inspecteur se poser sur son cul déjà bien écarté par ce qui lui avait été prodigué. Avant d’entamer sa pénétration l’inspecteur lui dit : « dans le cul je te mets le maximum de points, dans la chatte, la moyenne. » Caroline lui répondit : « Encules moi ! ». Il ne tarda pas à s’exécuter. Il poussa son sexe à l’intérieur de son cul. Ma femme eut un peu mal du fait de la largeur inhabituelle de la bite qu’elle avait dans le cul mais les premiers vas et viens eurent tôt fait de l’habi à la taille de l’engin. Il la défonçait maintenant avec vigueur et elle criait de plus belle, des petits cris entrecoupés de « oui ! » auxquels l’inspecteur répondait par des « tu aimes ça te faire enculer ? » Après quelques minutes de cette sodomie, ma femme eut un orgasme et réalisa combien elle était une salope. L’inspecteur en profita pour se vider les couilles à l’intérieur du cul de Caroline, il déchargeait tellement que cela ne semblerait jamais finir. Ils étaient tous les deux là, lui, le pantalon baissé et encore habillé, la bite dans le cul de ma femme, les seins à l’air, pieds nus et penchée sur le bureau, le string seulement écarté, toujours autour de sa taille, une odeur de sexe flottait dans la classe.
Quand il se retira, son sperme dégoulina de l’anus de Caroline, elle se sentait encore plus salope que l’an dernier au Maroc mais eu la satisfaction d’obtenir un maximum de points nécessaires à l’avancement de sa carrière.

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