Humiliée Par Un Jeune Homo
Depuis que Thierry m'avait sodomisée pour la première je n'avais pas pu résister à la tentation de me faire prendre par derrière avec lui. Plus que le rapport physique, j'éprouvais un grand plaisir à me donner par cette voie pour l'humiliation que je ressentais. Pour moi, ce n'était pas la voie naturelle et je dois avouer que je jouissais cérébralement de la transgression que j'accomplissais chaque fois que Thierry me prenait en me dominant. Je prenais néanmoins ma revanche quand couvert de sueur il se mettait à haleter en accentuant ses coups de boutoir jusqu'au moment où quoiqu'il fasse il ne puisse plus qu'éjaculer, selon mon bon désir en fait. A cet instant précis nos rôles s'inversaient, et de petite femme défoncée je devenais une femme fatale contrecarrant sa nature profonde. Je lui fis part une fois de tous ces sentiments quand il m'avoua que lui aussi aimait bien être dominé et jouer un rôle de lopette avec ses amis. Je l'encourageais à m'en parler davantage n'imaginant pas ce beau gosse tout musclé dans le rôle du dominé. En fait, Thierry faisait régulièrement ce qu'il faut bien appeler des partouzes avec trois de ces amis. L'un deux, Paul, était plus âgé, rencontré sur le net, il n'avait quasiment plus de cheveux, un ventre proéminent mais embrassait comme un dieu et faisait l'amour comme pas un. Jacques, la trentaine, s'entraînait au même club de muscu que Thierry et était déjà sorti avec lui. Le dernier, Denis, 19 ans, était ce qu'on appelle une grande folle, ayant fait son coming out depuis peu, très maigre, quasiment anorexique, il dominait pourtant tout ce petit monde par son appétit sexuel démesuré.
Thierry me proposa un jour de les rejoindre dans leurs ébats. D'abord intimidée, je décidais finalement de tenter l'aventure. C'est à ce moment que ma vie bascula je crois.
Nous nous retrouvâmes un samedi chez Thierry. Après quelques verres, les esprits commencèrent à s'échauffer un peu. Denis affirma qu'il n'avait jamais fait l'amour avec une femme, qu'il trouvait ça répugnant et qu'il allait me châtier pour cela.
Ce fut le début des ébats. Les mecs se déshabillèrent rapidement, je les imitais plus doucement. Effectivement Paul était bedonnant et son sexe pendait mollement entre ses jambes. Thierry et son ex étaient tous les deux à croquer. Je me serais bien jetée sur eux malheureusement Denis en avait décidé autrement. Il était tout en os, très peu appétissant. A peine avais-je finis de me déshabiller qu'il me tordit violemment les tétons des deux mains et me mordit la joue. Sous le choc, il ne me laissa pas reprendre mes esprits et me mit à genou en m'enfournant son sexe fin, dur et veineux dans la gorge. Je faillis m' mais il me contraignit à continuer en me prenant la tête avec ses mains. Les larmes coulaient sur mes joues mais je ne pouvais rien faire. Soudain, il me retourna et me sodomisa profondément sans me préparer, je criais mais il ne s'arrêtait pas. « Je vais te défoncer » disait-il. Effectivement, il me limait sans ménagement et continua pendant près d'une demi heure. J'avais l'impression que mon anus était en feu. Il me laissa, pantelante en larme et effondrée, en riant. « Je crois que ton cul ne sera plus bon à rien avant un bon petit bout de temps, ricana-t-il, tu ne me volera plus Thierry pendant ce temps ». C'était donc la jalousie qui l'avait poussé à m'infliger ce traitement. Il s'éloigna et alla prendre Thierry. Je ne bougeais pas. C'est alors que Paul vint me chercher. Il m'amena dans ses bras sur le canapé et m'installa contre lui. Je pleurais dans ses bras. Bizaremment sa peau était toute douce. « Ne t'en fais pas, ça va aller, c'est un jeune idiot » me dit-il. Je me calmais puis remarquais que son sexe s'était mis à bander sous sa bedaine contre ma cuisse. Sa peau était aussi toute douce, doucement je descendis et commençais à le sucer pour le remercier. Son pénis n'était pas dur mais doux et élastique. C'était agréable de le sucer. Il changea de position pour me lécher le sexe à son tour et je sentis même sa langue toute chaude verser de la salive sur mon anus doucement pour le calmer.
Je me redressais et introduisis son sexe dans le mien. Il était si doux. Nous fîmes l'amour sur le divan et il me fit jouir tout doucement. Je m'endormis presque en jouissant, c'était très étrange. De son côté, il se finit en se masturbant sur mes seins. Les autres se sodomisaient encore à tour de rôle. Paul me proposa de partir. Il voulait que je vienne dormir chez lui. Je ne sais pas pourquoi mais je dis oui. Le basculement de ma vie se poursuivait.
admin
Jan. 31, 2023
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