Je Le Fais Kiffer !

Je suis responsable d'une boutique de prêt à porter dans la galerie marchande d'une grande enseigne depuis pratiquement deux ans et j'ai appris à connaitre les jeunes qui s'y promènent régulièrement. Il y en avait un qui sortait du lot, Medhi, plutôt beau gosse toujours très bien habillé et il me saluait chaque fois qu'il passait devant la boutique. Un soir regagnant ma voiture après ma journée de travail j'avais les bras chargés de sacs, il croisa mon chemin et me proposa gentiment de m'aider jusqu'au parking. Après avoir chargé le coffre je le remerciais pour son aide et il insista pour m'offrir un verre. Je refusais bien sûr l'offre et on se quitta sur le parking.
C'est le lendemain que l'irréparable s'est produit, j'avais fermé la porte de la boutique à 19h30 et je m'affairais à quelques rangements quand Medhi discrètement me demanda si je pouvais lui ouvrir. Je le fis donc entrer surprise par sa visite et refermais la porte derrière lui demandant ce qu'il voulait. Il tira le rideau puis me prit par la main pour m'emmener dans les stocks. Une certaine angoisse commençait à m'envahir. S'engage alors une discussion qui prenait une dimension hors du commun. Je lui répétais plusieurs fois ce qu'il voulait et sa seule réponse était que je ne devais pas avoir peur. Il se rapprocha de moi doucement puis me prit les deux mains, il dégageait une force incroyable puis me colla dos au mur. Là, il me retourna brutalement, souleva ma jupe, baissa ma culotte sans ménagement et glissa sa main entre mes cuisses sans je puisse réagir.
- Medhi, non...Medhi arrête ...lui dis je paniquée.
- Laisse toi faire, tu me fais kiffer et tu vas prendre ton pied
- Sans que j'eu le temps de répondre quoi que ce soit il dégrafa son pantalon et il accompagnait ses paroles d'un coup de rein ; je sentais son membre me pénétrer et s'enfoncer en moi. Je le suppliais d'arrêter et des larmes commençaient à couler sur mes joues. Mais il n'avait que faire de mes pleurs, ses deux mains me saisissaient la poitrine et me pétrissaient vigoureusement.

Je n'avais pas la force de me dégager subissant ses assauts. Je restais là immobile contre le mur, perdue, ne comprenant pas ce qui m'arrivait. Il semblait si sur de lui. Que m’arrivait t-il ? Pourquoi moi ? Me demandais-je. Ce fut pendant un instant le chao complet puis contre mon gré mes sens se mirent doucement en émoi, mon corps devenait réceptif et j'en arrive encore à me demander comment j'ai pu en arriver là. Mon bassin se cambrait sous ses mouvements de bassin.
- Laisse toi aller ma belle, je sens que tu commences à aimer çà !
- Le pire s'est qu'il avait raison, le plaisir était en train de m’envahir. C’était un étrange mélange de sensation de soumission et de bestialité. Je m'entendais couiner et avec un reste de lucidité je lui demandais une nouvelle fois d'arrêter. Il continuait à me besogner sans tenir compte de mes plaintes. Je tentais de me dégager mais en vain. Il voulu me rassurer me maintenant d'une poigne de fer en me disant que je ne craignais rien et quand il força doucement mon passage, ma respiration semblait se couper .Ce corps étrangé qui venait de s'introduire en moi progressait lentement centimètres par centimètres et la petite douleur du début se transformait au fur et à mesure en chaleur intense. Cette sensation fut indescriptible et je compris que sa présence au fond de mes entrailles était bien réelle. Pendant quelques secondes, pour la première fois de ma vie je ressentais une réelle douleur mais un vrai plaisir anal. Délicatement il me possédait en entamant un va et vient méthodique. Consciente de dépasser mes propres limites, je respirais profondément et il comprit qu'il pouvait aller plus loin. Ses deux mains se posèrent sur mes hanches et il se mit à alterner des mouvements tantôts courts et tantôts longs mais toujours lentement. Mes gémissements se faisaient plus forts à chaque coup de rein de sa part alors il me demanda si je voulais connaitre le plaisir extrême. Dans un état second, prête à tout, je m'entendais lui répondre en soufflant de continuer.
Profitant de son emprise totale sur moi, ses propos devenaient vulgaires et chaque coup de butoir me décolla pratiquement du sol. Mes mains s'accrochèrent désespérément à ce qu'elles pouvaient car c'était une barre d'acier brulante qui me remplissait profondément. Je l'entends encore me dire :
- Alors tu aimes ca te faire prendre par le cul ?... tu sais j'en ai enculé des bourgeoises comme toi mais tu es la meilleure de toutes... Il redoublait d'ardeur en proférant des obscénités et j'acquiesçais ses dires par de profonds soupirs. Je me sentais faiblir et mon corps semblait devenir si lourd. Il me mit sa main sur ma bouche puis me pilonna littéralement de coups de reins puissants. Des larmes de plaisirs s'écoulaient sur mes joues, je jouissais à n'en plus finir et il se vida totalement au plus profond de mes entrailles. Mon orgasme avait été d'une telle puissance que j'ai eue comme une absence, une sorte de trou de mémoire de quelques secondes. Lorsque j'ai repris mes esprits, je me suis mise à pleurer de joie d'avoir connu un orgasme pareil.
Depuis Medhi est devenu mon amant, nous nous voyons une à deux à trois fois par semaine mais j'aime mon mari, et je ne veux pas qu'il se doute de notre liaison. Medhi me donne toujours beaucoup de plaisir, je lui ai dédié « mon cul de bourgeoise » comme il me dit souvent et je ne lui refuse rien. Dernièrement il m'a proposé de me baiser avec un ami à lui, un black « monté comme âne » comme il dit. J'ai refusé alors il me fait du chantage me menaçant de ne plus me «baiser», je pense que je vais céder au chantage !!!

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!