Première Fellation
Souvenir de jeunesse, mais il m'arrive de m'y croire encore !
Le foyer où je logeais étant partiellement fermé en fin de semaine c'est chez un ami de la famille que je venais parfois me réfugier. Logé, nourri, à 18ans c'est appréciable!
Je fus donc obligé de partager le lit de Pierre, où tout comme lui, je dormis nu, à la fois heureux et inquiet. Pierre, 45 ans me manifestait une grande tendresse, ses gestes étaient des caresses et ses baisers, fraternels ou amicaux s'arrêtaient aux commissures des lèvres.
Cette première nuit je me tins coi, et après quelques touches légères, Pierre me laissa dormir. La seconde nuit fut moins paisible. Pierre ne cessait de promener ses mains un peu partout, et même quand je tournais résolument le dos il était tout contre moi !
Au matin, tandis que je me douche, Pierre prépare le café, mais surprise !
Alors que je sors de la douche il est là tenant déployée une serviette de bain !
Je le laisse m'envelopper et commencer à m'essuyer le dos, puis refermer ses bras sur moi, descendre sur mon ventre. Là une main reste quasi immobile mais bien présente tandis que l'autre s'attarde au creux des fesses, puis elles se retrouvent à l'intérieur des cuisses, là où la peau est si douce...
Je commence à ressentir une sorte de démangeaison, des tétons qu'il avait agacé, jusqu'au bas du ventre, accompagnée d'une érection que je ne maitrise pas.
Et soudain Pierre est devant moi, me serre dans ses bras et sa bouche est ma bouche et sa langue est ma langue...
-Viens, jai envie de toi !
Il m'entraine dans la chambre et là, bouche à bouche, corps à corps, je tombe en travers du lit, Pierre sur moi me couvre de baisers ; sa bouche descend sur mon ventre, s'attarde au nombril, puis vient sur ma queue dressée comme pour une caresse.
Je m'abandonne alors totalement ne sachant plus rien sinon qu'une sensation toute nouvelle me parcourt. Ce titillement sur le gland, ce petit trait qui glisse le long de ma hampe et s'achève comme un anneau qui enserre le gland, cette sorte de poche où mes couilles semblent léchées, sucées, est-ce la bouche de Pierre ?
Et maintenant ce fourreau où ma queue disparait toute entière et qui semble glisser tout du long alors qu'une chaleur inconnue envahit tout le bas de mon corps, est-ce encore lui ?
Oh, Pierre, non non.
Dans un éblouissement je crois disparaitre, je me tortille, je gémis, oh, oh, Pierre, oui, oui, ...Je sens un jaillissement puissant, violent, d'une force que je n'ai jamais connue et qui semble ne pouvoir s'arrêter...
Puis je m'apaise, et je réalise que Pierre est là, sa bouche toujours refermée sur la queue que je lui ai abandonnée bien malgré moi mais pour un plaisir extraordinaire que je n'imaginais pas.
-Oh Pierre! Merci, merci.
Il relève la tête, souriant; un léger coup de langue pour ne rien perdre de mon suc et vient s'étendre prés de moi.
-Claude, je suis content, tu as bien joui, je me suis régalé de toi.
Doucement il prend ma main et la pose sur sa queue bien dressée, et je ne me fais pas prier pour doucement entamer une masturbation qui sera brève tant lui aussi est prés de l'extase. Et c'est dans ma main qu'il abandonnera sa liqueur intime que je gouterai après l'avoir étalée sur son ventre.
C'était la première fois...
Pierre fut mon mentor, c'est lui qui m'apprit la tendresse, le plaisir et l'amour entre hommes.
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