Gisèle2
G Oui un beau soir
je crois que l'on peut dire un beau soir, Philippe me donna les résultats de sa petite annonce. Je les regardais assez distraitement, persuadée qu'aucune ne me ferait frémir. Dans mon esprit, si aucun ne me convenait, l'affaire s'arrêterait là. Et pourtant je frémis
. Je passais vite à une autre annonce. Trop tard Philippe qui observait mes réactions avait intercepté mon intérêt.
P Je l'avais bien vu s'arrêter sur une annonce, la relire et vite passer à une autre en faisant semblant de rien. Comme j'insistais pour qu'elle me la donne, elle céda
et les bras m'en tombèrent
. L'annonce disait : "groupe de jeunes gens spécialisés dans les femmes mures peut promettre à votre épouse de solides jouissances corsées et répétées".
G C'est bien cela ! Ce qui m'avait interpellée
les fantômes de mes trois jeunes amants arabes
. "Groupe de jeunes gens spécialisés dans les femmes mures peuvent promettre à votre épouse de solides jouissances corsées et répétées". C'était bien de cela, en fait, dont j'avais envie
. Je tentais de me disculper en vain. Je l'ai dit Philippe n'était pas idiot et me connaissait bien. Je bafouillais des explications nébuleuses qu'il crut, je crois
.
P Ma petite femme m'expliqua que son amie Evelyne lui avait narré ses "exploits" et que là elle avait l'occasion unique d'essayer
. Pourquoi pas après tout
mon infortune consentie sera totale
. Prenant les choses en mains, je décidais de contacter le rédacteur de l'annonce et de le rencontrer seul. Rendez-vous fut prit. Je le retrouvais dans un petit bar. Effectivement, il était jeune, vingt cinq ans maximum. La conversation prit un tour un pu surréaliste :
"Tu souhaites donc que ta femme ait une relation extra conjugale ?"
"Heu ! Oui c'est cela !"
"Et elle ? Elle en as envie ?"
"Oui
oui
du moins je le pense
."
"Ce n'est pas très grave
une fois bien partie
."
"Pourquoi avez-vous mis "Spécialisés dans les femmes mures" ?"
"Ah c'est une vieille histoire
.
"Comment cela bousculer un peu ? Vous n'allez pas la brutaliser j'espère ?"
" Mais non, mais non, je n'ai pas dit brutaliser, j'ai dit bousculer !"
"Que cela sous entends ?"
"Oh peu de chose ! Ce que nous faisons d'habitude
. Leur dire des grossièretés, leur faire sentir qu'elles sont totalement à notre merci, que nous allons disposer d'elles selon notre bon vouloir et selon nos envies
. Parce que, nous, nous ne demandons pas, comme cela se fait souvent, de rétribution pour notre participation. Ce qui nous intéresse, c'est de jouir de la dame
intensément
. Si nous tombons d'accord, il faudra que tu nous laisse carte blanche
et que ta femme soit docile
Ok ?"
"Heu
ok
oui
je pense
."
"Au fait tu seras présent ? Tu participeras ?"
"Ma femme à l'air de souhaiter que je soit là
mais je ne participerais pas
."
"Attention hein !... pas de relation homo !"
"Non, non bien entendu !"
"Bon ok
alors tu prendras de photos cela t'occupera !"
Nous décidâmes de nous revoir trois jours plus tard. Il voulait voir des photos de Gisèle. A celle-ci qui fit semblant de ne pas s'intéresser, je fis un récit un peu soft de mon rendez-vous.
G Quand Philippe rentra de voir le type, je fis mine de rien. J'étais pourtant dévorée de curiosité. Il me raconta peu de chose, me disant que ces jeunes aimaient bien les femmes avec un fort tempérament caché. Je fis semblant de ne pas savoir si je correspondais
la contraction de mon ventre me dit le contraire. Ils aimaient aussi les femmes bien obéissantes. Là aussi, je fis semblant
à la façon dont je m'étais laissée faire en vacances
mon vagin en s'humidifiant m'en persuada. Philippe me raconta qu'il était apparemment courant que des partenaires se fassent payer dans ce style de rencontre.
P Je fis quelques clichés de Gisèle, réussissant même à la faire poser en soutien gorge et en slip. Elle ne voulut pas, malgré mon insistance aller plus loin. Trois jours plus tard j'étais au rendez-vous avec Fabrice. Il regarda attentivement les photos. Une lueur lubrique dans les yeux, il me dit :
"C'est ok pour moi ! Je les garde pour faire voir à mes potes ! Tu veux que soit quand ?"
Nous étions un mardi
je répondis :
"Samedi prochain ?"
"Ben dis donc
elle est pressée !"
"Vous
vous serez combien ?"
"Ah ça te titille hein ! Je ne sais pas encore
entre deux et six
selon les disponibilités, et
si ta femme plait aux autres
. Mais ça
vu les photos
il y aura des volontaires
. Je t'appelle demain soir."
A la Gisèle je ne dis pas grand-chose de cet entretien surtout pas le nombre
j'avais peur de l'effrayer.
G Bizarrement je n'en sus pas beaucoup plus
. Le lendemain soir, le téléphone sonna. Contrairement aux habitudes Philippe se précipita. Je l'entendis des "oui
bon
d'accord
" donner notre adresse et raccrocher. Quand il se tourna vers moi il était livide. Il laissa tomber :
"C'est pour samedi
ils seront quatre
.".
P La conversation avait été brève :
"J'te rappelle comme prévu. Tu vas être content ! Ta femme fait recette
on sera quatre
les couilles pleines
. On vient samedi à vingt heures
. C'est quoi ton adresse ? Je te rappelle, faut qu'elle soit prête à se faire sauter toute la nuit
et toi, hein !... carte blanche
.".
G Je le questionnais plus avant. Il s'était dit d'autres choses
. Philippe me concédât qu'il fallait que je soit prête à me faire sauter toute la nuit
. J'en frissonnais... et aussi quand il me dit qu'il avait fallut qu'il leur laisse carte blanche pour m'honorer.
Durant les deux jours qui suivirent, j'eus du mal
. Mal à me concentrer sur mon travail, mal à trouver le sommeil, mal à penser à autre chose.
Les minutes d'attente commencèrent à s'égrener. Je crois que nous n'osions ni nous parler, ni nous regarde, sachant l'un et l'autre quel pouvoir de domination nous venions d'accorder à des inconnus dont la jeunesse et le nombre étaient garant de notre soumission
enfin surtout de la mienne
. Coup au cur
sonnette !"
P Sonette
coup au cur
. Comme un robot je me levais et allais ouvrir. Ils étaient bien quatre
jeunes
. Je le fis entrer, puis passer au salon
leur présentais Gisèle".
G Philippe me présenta aux quatre jeunes
oui tous jeunes
vingt trois, vingt cinq ans
pas plus. Ils me dévisagèrent et me lorgnèrent sans équivoque, évaluant la marchandise
. Pendant que Philippe proposa à boire, ils s'assirent
deux de chaque coté de moi et deux sur l'autre canapé. Visiblement Philippe était volontairement laissé de coté.
P Je me mis dans un fauteuil un peu à l'écart pour leur montrer que je respectais nos conventions. Sans s'occuper de moi ils portèrent des toasts "à Gisèle", "à leur rencontre avec Gisèle", "à leur futures relations
sexuelles"
. En insistant bien sur "sexuelles". Ma femme était mal à l'aise. L'un d'eux, à coté d'elle posa son verre. Posément il se tourna vers mon épouse. Allongeant la main, je le vis faire sauter un bouton supplémentaire du chemisier et glisser la main à l'intérieur.
"Ouaah les mecs
y a de quoi peloter !"
Puis à ces paroles suivantes, je la vis se raidir pâlir.
G "Toi, ma grosse, j'suis sûr que t'aimes te faire tripoter les nibards !"
Instinctivement, je me raidis sous l'impertinence. Quel culot !.... De plus "grosse" était vraiment très exagéré, je vous ai dit être un petit peu bien en chair et je vous ai parlé de ma poitrine plutôt généreuse. Mais grosse
non ! Je me préparais à remettre vertement l'insolent en place, quand je vis l'air narquois de ces yeux
et je compris. Je compris que la tentative de vexation était volontaire et uniquement destinée à m'humilier davantage. Je compris aussi que j'allais en entendre des vertes et des pas mures tout au long de la soirée
en entendre et vraisemblablement en subir
. Il continua :
"Mais dis donc, ma cochonne ! C'est pour nous exciter que t'as mis de soutif ?"
Un "Oui" étranglé sorti de ma bouche
l'autre posa sa main sur mon genou.
"Ou quoi ?"
"Oui
oui
c'est pour vous
exciter !". La main caressa ma cuisse.
"T'as pas honte ! Une vieille comme toi ! Exciter des jeunes
. J'suis sûr que t'aime la baise
ou que tu vas aimer ça !".
P Tout en proférant ces cochonneries qui faillirent me faire bondir (je n'avais pas l'habitude que l'on s'adresse à elle de cette façon) il caressait toujours son sein. Un des autres m'interpella et me donna un appareil photo numérique
pour que ne je m'ennuie pas. Je vis celui qui lui caressait la cuisse se saisir de l'ourlet de sa jupe et la remonter pour pouvoir poser sa main sur son genou nu... cette fois.
G Sa main était chaude sur mon genou. Elle n' y resta pas longtemps car elle entreprit sa remontée sur ma cuisse. Il le fit avec suffisamment de lenteur pour que je souhaite silencieusement, qu'il arrive plus haut le plus vite possible. L'autre avait ouvert encore mon chemisier et était passé à l'autre sein tout en me murmurant à mi-voix combien il allait prendre son pied à me fourrer. La main de l'autre avait progressée. Elle était arrivée à l'articulation de ma cuisse et rencontra le bord de mon slip. Il apostropha les autres :
"Hè le mecs vous savez quoi ? Elle à mit un slip cette conne ! Tu te crois où ? C'est malin
en plus il est trempé !"
Effectivement, il mavait mis la main à l'entrejambe et pouvant aisément constater l'humidité flagrante. Il resta un petit instant à me caresser par-dessus ma culotte. L'autre, maintenant me palpais plus autoritairement les seins en me léchant l'oreille et le cou. Je sentais sa salive couler le long de celui-ci.
"Et si on lui enlevait tout ça ! Qu'est ce que tu dirais d'une petite mise à l'air ma jolie ?"
"Oui
jjje
enfin
."
"Allez on la met à poil !
. Tu m'aides ?".
P Je vis sur mon écran de numérique le type lui lâcher les seins pour aider son partenaire. Le déshabillage rendu facile par le choix de la jupe, ils lui dégagèrent une hanche puis l'autre, puis elle se souleva d'un coté puis de l'autre pour dégager successivement ses fesses. Ils tirèrent le tissu et la jupe tomba au sol bouchonnée (elle y resta jusqu'au matin). L'un d'eux en profita pour défaire l'ultime bouton du chemisier et le faire glisser le long de ses épaules et de ses bras pour l'en débarrasser complètement. Ce fut ensuite au tour de son dernier rempart
.
G ils entreprirent de me priver de mon slip de la même manière qu'ils l'avaient fait pour ma jupe, d'abord les hanches, puis les fesses l'une après l'autre. Autant ils avaient laissé ma jupe par terre, que pour le slip, l'un d'eux prit la peine de le faire descendre le long de mes jambes. Il s'en saisit et le jeta à Philippe en disant :
"Tiens !... garde le
. Elle n'en a plus besoin !".
Voilà j'étais nue
à leur disposition
.
P Dès qu'elle fut sans vêtement, il y eut un peu de mouvement. D'abord, celui qui lui pelotait la poitrine tout à l'heure la prit par la pliure d'un genou qu'il fit passer par-dessus sa cuisse. Dès lors le compas de ses cuisses à elle se trouva bien ouvert et le type posa sa main sur sa vulve. L'autre aussitôt débusqua son clitoris d'une main tout en ouvrant son pantalon de l'autre. Quand au deux derniers
l'un commença à ôter son pantalon et l'autre fit le tour du canapé ou se trouvait le trio. Se plaçant derrière Gisèle, il s'empara à pleines mains de ses seins. Le dernier ayant finit de se déshabiller se dirigea vers le groupe en masturbant son sexe déjà en érection. Il me lança au passage :
"N'oublie pas de faire des gros plans !"
Quand je le vis se placer face au visage de Gisèle, je faillis leur dire de tout arrêter
que je ne voulais pas que cela se passe
. Une fois de plus
je me tus
lâchement
. J'allais assister à une sorte d'ignominie sexuelle dont mon épouse allait faire les frais et dont je serais le témoin.
G Quand je fus nue tout alla à la fois très vite et aussi comme au ralenti en même temps. Le type à ma droite me releva la jambe et la posa sur la sienne. Je me retrouvais cuisses écartées. Sans plus attendre il me mit un doigt et très vite un second. Il n'eut pas beaucoup de difficulté
je mouillais
. A gauche, le type libéra son sexe comme pour être plus à l'aise et dénicha mon petit bouton qu'il se mit à agacer de ses doigts habiles. Pendant qu'un troisième commençait à se déshabiller, le dernier avait fait le tour du canapé. Je sentis ses mains glisser sur mes épaules et le haut de mon torse puis empoigner mes seins. Et je vis
et je vis l'homme nu venir vers moi en se caressant. Il avançait le sexe tendu vers moi
vers mon visage
vers ma bouche
. Si je cédais maintenant, s'en était fini de moi
. Quand il fut à quelques centimètres de mes lèvres, une main pesa sur l'arrière de ma tête
j'ouvris la bouche
. L'homme ne se le fit pas dire deux fois, d'un léger coup de bassin il était entre mes lèvres. Tentant d'oublier mon Philippe je me mis à le sucer comme me l'avait enseigné Ahmed. Quelqu'un lui demanda son sentiment :
"Alors
c'est comment ?"
"Pas mal
pas mal
. On à peut être tiré un gros lot !"
Je les entendis plaisanter grassement sur le "gros lot" qu'ils allaient inévitablement tirer. Quelqu'un m'arracha de ma succion
pour m'embrasser goulûment à pleine bouche. À gauche l'homme avait pris ma main et posé sur son phallus. A droite, je compris que l'autre ouvrait aussi son pantalon. Celui de derrière étirait sans modération mes mamelons si délicats. Je passais d'une bouche à une autre
de gauche
de droite
l'autre me replongeais son membre dans la bouche en me demandant :
"T'aimes ça la bite
hein ?....hein ?"
Et je ne répondais que "Mffft
. Ptfff
." Voulant dire "Oui
oui
j'aime la bite
j'adore ça !"
et résonnais dans ma tête le bruit régulier de l'appareil photo
.
P Un des types me demanda soudain :
"Il est où ton plumard ?"
Je fis signe de la tête vers l'étage. Presque aussitôt ils cessèrent leurs attouchements et firent lever Gisèle. L'un d'eux la prit par la taille. Elle le suivit docilement en évitant mon regard. Un autre se joignit à eux et je le vis d'abord lui mettre la main aux fesses puis d'enfoncer un doigt dans la raie de celles-ci. Brutalement je réalisais que de ce coté là aussi, ils l'outrageraient immodérément
.
G Dès que nous fûmes montés à la chambre, l'un deux me prit dans ces bras pour, comme il dit, "me rouler une galoche" on ne peut plus vorace pendant que l'autre me tâtait le cul (je ne vois pas d'autres mots
). Les deux autres étaient sur nos talons et achevèrent de se déshabiller eux aussi. Philippe fermait la marche. A l'annonce d'un "On va te défoncer sur le lit conjugal !", je fus repoussée vers le lit, étendue sur le dos les fesses au bord du lit. Deux hommes me prirent chacun un cheville et me levèrent les jambes en une sorte de V très ouvert. Un troisième s'agenouilla devant moi et après avoir craché un peu de salive sur son gland, l'inséra à l'orée de ma vulve. Sans marquer un seul moment d'arrêt; il me pénétra de toute sa longueur. Le souvenir de Fouad me revint
. Il faut dire que tous les quatre, et je ne vous l'ai pas encore dit, n'avaient pas été oubliés lors de la distribution des gros sexes
oui c'est cela du même genre
peu ou prou
avec deux d'entre eux particulièrement long et gros . Quand il se fut introduit il se mit à aller et venir. Les autres me lâchèrent et montèrent aussi sur le lit. Ils s'arrangèrent pour se positionner de part et d'autre de mon visage, pendant que le dernier posait sa verge sur mon front. Pour la première fois de la soirée (et non la dernière croyez-moi) j'entendis résonner le fameux : "Allez
suce salope
!"
je gobais le premier
. Je n'eus plus une seconde de répit. Pendant que l'autre me pistonnait, je passais de droite, de gauche, d'un sexe à l'autre parfois me tordant le cou en arrière pour pomper la troisième. Quand je n'avais rien dans la bouche, il me fallait redire leurs diverses grossièretés et obscénités. Il fallait que je répète que "Oui j'aimais la baise
. Que la queue qui me bourrait état bonne
. Que j'étais une grosse truie en chaleur
. Que j'allais tous leur sucer la pine
. Que j'avalerais la fumée
. Que je voulais me faire niquer par leurs grosses triques
." et aussi que j'encourage Philippe "à photographier sa salope de femme entrain de se faire fourrer". Servilement, je répétais
tout en sachant fort bien que toutes ses expressions, bien que d'une vulgarité éhontées, reflétaient quelque chose qui n'était pas loin de la vérité.
P Je ne reconnaissais pas Gisèle. Elle si d'habitude si réservée, si prude
. Là, elle tanguait sous les coups de reins, suçaient tous ces type avec, je pense, avidité. Et que dire de son vocabulaire
. Il est vrai qu'ils la forçaient cette trivialité
enfin, j'avais l'impression qu'ils la forçaient
car je trouvais qu'elle participait bien allègrement pour quelqu'un de contraint
. Un peu hébété de se déferlement, je photographiais leur ébats, parfois je zoomais sur le membre qui lui investissait le ventre, parfois je zoomais aussi sur les lèvres bien serrées autour d'un sexe qui lui emplissait la bouche. Je fus à peins surpris de la voir pomper ardemment le type qui lui criait "ça vieeeennnnt
suce
suce
suuuuuuce
.". Elle engloutit toute la semence sans la moindre hésitation
. Cette première saillie du faire de l'effet à tout le monde puisque je vis le type besogner ma femme à grand coup et celle-ci repousser les deux gaillards impatients pour s'arquer sur le lit en prévenant tout le monde "qu'elle partait". L'autre "partit" presque simultanément et sorti de son fourreau.
G A peine remise de mon orgasme, les deux derniers se rappelèrent à mon bon souvenir en me demandant de grimper à quatre pattes sur le lit. Ils prirent place, un devant qui me tendis sa queue à sucer et l'autre derrière qui après avoir frotté deux ou trois fois son chibre contre ma fente trempée, m'enfila d'un seul coup de rein me faisant gémir sous l'impact. Il me limait méthodiquement, m'expédiant au devant de l'autre qui avait passé une main dans mes cheveux pour que je n'interrompe pas "le contact" et Philippe
photographiait. Au bout d'un moment ils voulurent changer de place. Je me retrouvais donc avec sous le nez une verge luisante et gluante de ma propre lubrification et du sperme du premier. Devant ma légère hésitation il m'encouragea :
"Allez suce grosse vache
tu vas voir ça a du goût
tu vas aimer
.".
Aimer
je ne sais pas
mais je le fis pour la première fois. Est-ce bien la peine de préciser que par la suite cela m'arriva encore
de nombreuses fois, et parfois sortant d'ailleurs
ou d'autres personnes
. Ils firent ainsi trois ou quatre changements et me firent jouir intensément une fois avant de se vider dans le réceptacle de leur choix
mon vagin ou mon gosier.
P Quand ils se furent tous soulagés, l'un d'eux me réclama :
"Hè Ducon ! Va chercher à boire
T'as de la bière ?".
Je fis un signe d'assentiment et redescendit. Tout en prenant de quoi étancher leur soif, je réfléchissais qu'en fait, étant peu gâté par la nature, ni peu actif sexuellement, il était fort possible qu'en proposant un amant à ma femme, inconsciemment je voulais jouer les voyeurs et que cette proposition n'était peut être pas si angélique que cela. Encore quelque chose à ajouter à mon passif
et de plus ce n'était pas du voyeurisme léger mais bien du lourd et du graveleux. Ma punition
il fallait me rendre à l'évidence Gisèle aimait cela. Et je n'étais pas au bout de mes peines
si j'avais su
. En remontant vers la chambre, j'entendis des rires, gloussements, gémissements
ils avaient remis cela ! Ma femme était assise au bord du lit, cuisses écartées bien sûr. Elle tenait dans chaque main le sexe des deux types assis à coté d'elle et qui l'embrassaient comme des gorets à tour de rôle. A genou devant elle, un type tout à tour lui faisait rouler les tétons ou pinçait son clitoris. L'autre était derrière elle et je ne voyais pas bien ce qu'il faisait.
G Ce qu'il faisait
. En appuyant sur le lit, il avait réussit à passer une main sous mes fesses, paume vers le haut. Ayant redressé un doigt, tout tranquillement, il avait entreprit de me le vriller dans l'anus. J'avoue que je n'y avais pas songé
par là aussi
. Je me remémorais ma dernière nuit de vacances et mon dépucelage anal. L'endroit n'ayant pas resservi depuis, je pensais que tout était à refaire. Cela ne tarda pas.
"Bon les mecs
maintenant je m'occupe de son trou de balle !"
Ils saluèrent l'initiative et je ne protestais même pas, trop échauffée par tout ce qu'il venaient de me faire. Je fus donc remise en levrette. Deux jeunes m'ouvrirent "les miches" pour permettre à leur "pote" de me "travailler la rondelle", ce qu'il fit en habitué, entraîné vraisemblablement. Il s'adressa à Philippe : "Rates pas les photos hein ! J'suis sûr que t'as jamais vu ta rombière prendre du petit" puis à moi "Et toi vieille pouf, dis-lui ce qui va t'arriver !". Morte de honte et la voix tremblotante je dus informer mon époux que "j'allais me faire enculer comme un chienne" et "qu'ils allaient me casser le cul". En fait tout ce qu'ils émettaient ou me faisaient répéter m'excitait prodigieusement, je dois en convenir. Parallèlement les proférer devant Philippe asseyait leur domination sur notre couple nous ravalant, moi en jouet sexuel soumis et mon mari en spectateur désarmé. Pour en avoir reparlé plus tard, cela ne déplut ni à l'un, ni à l'autre. En attendant, un pouce et un index me maintinrent l'anneau ouvert et força un peu sur lentrée. Tellement bien préparée physiquement et tellement offerte cérébralement à ce qui allait suivre, la tête de sa pine rentra assez facilement. Il enfila alors sa queue un peu plus loin dans mon rectum, me demandant de bien pousser "afin lui permettre de me lenfoncer dans le cul le plus loin possible" et que "je la sente bien". Il ne cessa sa progression que lorsque son bas ventre fut collé à mes fesses. C'est-à-dire que j'avais en moi toute sa longueur
quelle impression ! Lui aussi devait ressentir quelque chose de bon, enfin si j'en crois son exclamation :
"Ouaaaaah ! On croirait un cul de vierge ! Qu'est ce qu'elle est étroite ! Ça va être le pied de l'enculer !". Un tout petit temps d'adaptation pendant lequel je pus entendre "qu'ils allaient lui ne mettre plein le fion
à la vieille !"; pendant lequel ils insistèrent pour que Philippe ne rate pas ses gros plans de mon anus dilaté et perforé, et Fabrice se retira à demi, lentement et revint à la charge. Il fit plusieurs fois le trajet, se retirant à chaque fois un peu plus et me reprenant de plus en plus vite. Quand il sentit que la gaine était faite, il indiqua aux autres :
"Ça y est ! Les mecs
elle est bonne
. Faut pas rater ça !"
Les trois acolytes, se rapprochèrent face à moi, sexes tendus. Ils me firent absorber leurs queues, en lécher le bout, sans oublier "leurs couilles que je devais aussi sucer comme une salope". Vous ai-je dit que deux d'entre eux avaient les testicules épilées
non je ne crois pas. J'aimais bien cela
c'était doux
. L'autre me sodomisait maintenant farouchement et ce qui devait arriver, arriva. Consternée quand même de faire cela devant Philippe, j'eus un orgasme anal bref, mais voilent
un éclair ! Ils en conclurent "que j'aimais bien me faire farcie l'oignon". En ces débuts, ce type de pénétration ne me rebutait plus, j'y avais prit goût
un peu. Par la suite je me mis à aimer
beaucoup. Toujours au début je ne jouissais pas à chaque fois. Quand je fus une "enculée" confirmée, ce fut presque à toutes les fois. A moins que je ne sois trop fatiguée pour pouvoir éprouver le moindre orgasme. Quoiqu'il en soit c'était toujours un bonheur de sentir une belle bite gonfler, tressauter et se vider par saccades dans la fournaise de mes reins
comme fit Fabrice, longuement. La place ne resta pas vacante, un deuxième postulant s'y engouffra, cette fois sans trop de précaution. Je poussais un cri
de surprise (aussi un peu de douleur). Dans le même temps je dus tout d'abord reprendre mes travaux buccaux. Puis ils changèrent d'idée. Ils voulurent que je suce Philippe. Celui-ci dut baisser son pantalon. Il ne vous surprendra pas que je vous dise qu'ils se moquèrent de la modestie de ses attributs. Je ne pus le pomper que cinq ou six fois (je savais bien, moi, qu'il ne résistait pas à cela). Comme à son habitude (si l'on meut dire) il se retira et sa semence goûta sur le drap. Mes amants ne furent pas contents. Mon époux dut me remettre son petit truc dans la bouche pour que je tente d'en extraire une ultime gouttelette. Toujours aussi peu satisfaits ils me firent lécher le drap. Le deuxième prit son plaisir à son tour, moi pas
cette fois là. Je commençais à avoir un peu mal aux reins. Le troisième eut pitié de moi, il me fit remettre comme tout à l'heure sur le dos fesses au bord du lit. Posant mes jambes sur mes épaules il m'enfila
par devant cette fois et ce changement de poste me fit un bien fou. Le dernier s'approcha et m'enjamba. S'étant agenouillé de part et d'autre de moi, il s'assit sur mon estomac de façon à ce que lui administre une "branlette espagnole" avec "mes mamelles de morue". Pendant que je me faisais hardiment baiser je pressais l'autre entre mes gros seins arrivant quand même à sucer son gland de temps à autre. Un temps après, ils changèrent. Celui qui me possédait sortit de ma chatte me releva les jambes un peu plus haut et cette fois ce fus dans mon anus qu'il s'enfila. C'était la première fois que je me faisais sodomiser sans être à quatre pattes
une découverte
. L'autre aussi changea
de sens. Il se leva de mon estomac et vint s'agenouiller de part et d'autre de mon visage. Comme tout en continuant de la branler je pouvais gober ses valseuses lisses et satinées. En changeant d'orientation, en plus, il pouvait voir le manche de l'autre s'enfoncer en moi. Il se mit d'ailleurs à alterner les orifices passant de mon cul à ma chatte et inversement. Pour corser le tout, comme si besoin était, celui qui avait trouvé refuge douillet entre les globes de mon buste, m'intima l'ordre de lui lécher la raie. Je ne pus y échapper. De toute façon il s'abaissa de façon à ce que je ne puisse pas faire autrement. Je discernais le reste de l'assistance regretter de ne pas s'être fait lécher le cul
. Mon baiseur finit par me clouer vaginalement sur le lit et s'activer jusqu'à m'arracher un ultime spasme d'orgasme et se vidangea dans mon écrin si sollicité en cette soirée. Le dernier
après s'être amplement agité le sexe au dessus de moi finit par jouir en m'éclaboussant la face de son sperme épais.
P Je n'en revenais pas de tout ceci. Les quatre jeunes entamèrent un débat. Deux d'entre eux voulaient rester pour remettre le couvert. Les deux autres, voyant que Gisèle paraissait exténuée, voulaient stopper là. C'est ce qui prévalu. Après avoir tous embrassé ma femme et félicité de son "accueil", petit à petit ils se rhabillèrent et je les reconduisis à la porte. Quand je remontais Gisèle avait remis la couette sur elle l'air absente. Je lui proposais de dormir dans une autre chambre. Elle accepta. J'eus beaucoup de mal à trouver le sommeil. Ce que j'avais vu me laissait hagard. Vu, vu
mais au fait, ils avaient repris leur appareil sans me laisser de copies des photos
bon tant pis ! Gisèle dormait toujours quand je me réveillais. Je fis le moins de bruit possible pour la laisser se reposer. Dès que je l'entendis bouger, je me précipitais lui souhaiter le bonjour (il était quatorze heures environ
). En entrant dans la chambre je fus frappé par une chose à laquelle je n'avais pas pris garde
l'odeur
. Une odeur acre de sueur, de cyprine, de sperme, bref un relent d'orgie. Le lit
dévasté, avec un drap aux traces non pas suspectes mais avouant clairement les activités qu'il avait supporté.
G Il n'y avait pas que le lit qui se trouvait dévasté
et moi alors ! je l'ai dit déjà, je n'était pas une sportive alors, je ne vous parle pas de mes courbatures
. Si tant est que les championnes aient des courbatures aux mâchoires. J'avais le corps endoloris de partout, avec des marques
qui témoignaient de l'assiduité avec laquelle mes amants m'avaient cramponnée. Et que dire de mon vagin et de mon anus
rien ! Je vous laisse imaginer. Toujours est-il qu'au cours de la nuit j'avais du resti les hommages liquides de ces messieurs. Mon entrejambes et mon entre fesses étaient maculés de semence séchée et ma toison pubienne collée par le foutre. La douche fut la bien venue. J'y restais longtemps, sachant qu'après viendrait le temps de la discussion. Il vint !
P C'est moi qui m'exprimais d'abord, honnêtement ne cachant rien et essayant d'être objectif. Je la vis rassurée quand je lui dis que tout bien pesé, le plaisir du voyeurisme de voir sa femme objet de stupre et de débauche était supérieur au sentiment de jalousie et au ressentiment d'avoir été extraordinairement cocufié. En fait je crois que j'étais heureux pour elle et le lui dit.
G Je minimisais, encore, le plaisir que j'avais eu. Plaisir physique des sexes qui m'avaient fait tant jouir comme Ahmed et ses amis, mais en plus plaisir malsain d'avoir été utilisée, abusée, insultée comme la dernière des dernières. Ça c'était différent et j'avais adoré
trop
vraisemblablement. Je lui dis avoir eu honte du manque de volonté d'avoir proféré tant d'ignominie. Il trouva que pour lui cela avait été plutôt troublant
et pour moi donc. Je lui dis aussi avoir eu honte du peu de retenue lors de mes orgasmes (là je mentis
aussi). Il trouva normal que je me laisse aller.
Il y eut un silence puis sa question à la quelle je m'attendais :
"Et maintenant ?"
"Maintenant
rien ! Tout redevient comme avant. Je ne veux pas recommencer !"
Je ne sais pas s'il fut soulagé. Moi je le fus, me rendant très bien compte que je pourrais facilement tomber accro de ce genre de séance
.
Ce fut tout. Le dimanche s'acheva. Le lundi nous reprîmes le travail. J'avais un peu de mal à marcher
et mon esprit vagabondait. Qu'est ce qu'il me prenait ? A la dérobée, j'observais les lycéens, essayant d'estimer le potentiel que recelaient leurs pantalon. Il fallait que je me ressaisisse. Le mardi en rentrant je vis que mon drap avait séché. Toutes traces avaient disparues. J'ai dit traces, pas souvenirs !"
P Nous vaquions à nos occupations habituelles du soir quand le téléphone sonna. Je me trouvais le plus près du combiné et décrochais. J'identifiais immédiatement la voie : Fabrice ! Il me demande de lui passer Gisèle. Ayant compris elle me fit "non" de la tête. L'autre insista, moi aussi, elle prit le combiné.
G A contrecur je pris le téléphone :
"Salut ma Belle ! Mets donc le haut parleur que ton petit mari entende !"
Je m'exécutais.
"Tu sais on a bien aimé l'autre samedi ! T'es super chaude ma Poule ! On va remettre ça samedi et
"
"Pas question ! Philippe l'avait bien mentionné, c'est une fois unique et il est hors de question que je
"
"Stooooop ! Je ne te demande pas ton avis ! J'ai dit :!... et on va remettre ça. Histoire de te convaincre va voir sur (il m'indiqua un site Internet). Il y une galerie à ton prénom. Si toi et ton mari n'êtes pas, disons, coopératifs, on pourrait très bien enlever le rectangle noir, ajouter ton nom de famille, ton adresse et ton téléphone
tu vois la pub ?"
J'imaginais sans peine
. Il continua :
"Donc j'ai dit : on va remettre ça samedi. Ok ?
Je regardais Philippe qui avait l'air aussi piteux que moi (enfin plus que moi, leur souvenir salace était très présent dans ma tête). Il hocha la tête, résigné.
"Bon
d'accord !"
"Ben voilà ! C'est mieux comme ça ! Quand on s'entend bien ! Alors on vient samedi, on viendra vers six heures. Comme ça en faisant une petite pause on pourra t'en mettre un petit coup en plus
chacun ! Dis à ton cocu de prévoir à boire, nous on amènera de quoi bouffer ! Cette fois pas de connerie hein ! Pas de fringues
tu nous attends à poil ! D'ailleurs en parlant de ça
tu vas virer ta cressonnière. On aime les gonzesses sans poils au frifri. Demande à ton mari de te le faire, ça va l'amuser ! Dernière chose tache de te faire belle
on te veut très pute
compris ? Allez tchao ma poule !"
Je bredouillais sans doute "Oui, oui
compris" et raccrochais consternée. Je m'adressais à Philippe :
"On n'a pas vraiment le choix ?".
P Non nous ne l'avions pas ! Tout de suite nous courûmes vérifier les allégations de Fabrice. Effectivement il y avait un certain nombre des propres clichés que j'avais fait. La galerie s'appelait
Gisèle part 1. Il avait dit vrai son visage était barré d'un petit rectangle noir.
G Me voir ainsi étalée, suçant, baisant, les quatre après moi me donna un coup de chaud. Et ce petit rectangle noir ridicule
. Pour une personne qui me connaîtrait très bien, il n'y aurait de toute façon aucune méprise possible. Je surpris le regard exorbité de mon mari:
"Mais, mais Philippe, on croirait que ça t'excite !"
"Je
je dois admettre ! Pas toi ?"
"Si
."
P Quel aveu ! Nous en étions là : sous peine de voir me femme étaler sa débauche sans anonymat, il fallait céder. Porte plainte
le scandale éclaterais aussi ! Et puis je trouvais que Gisèle n'avait pas eu beaucoup de véhémence
et puis, et puis
d'un certain sens j'y trouverai aussi mon compte. Faisant en apparence contre fortune bon cur je lui proposais d'essayer de suite le rasage, histoire de voir si cela nécessitait plusieurs interventions. Ce ne fut pas faisable, mon rasoir lui faisait trop mal. En se faisant "faire le maillot" elle avait vu d'autres tarifs. Elle résolu de prendre rendez vous chez son esthéticienne. Puis elle me questionna :
"C'est quoi pute pour toi ?".
G A ma grande surprise, il répondit immédiatement :
"Je vois ça comme cela : talons aiguille, porte-jarretelles et le maquillage adapté, inévitablement !" Son peu de temps d'hésitation me fis instantanément pensé qu'il avait déjà pensé me voir ainsi. Gentiment (?) il me proposa de me chercher des sites un peu pornos pour que j'aie des exemples. Un peu porno
avait-il dit
. Ben voyons carrément porno, oui ! Sauf que là il s'agissait d'actrice, superbes bien sûr, très et parfaitement maquillée, et effectivement dont le costume était le plus souvent ce qu'il m'avait décrit. Comme je lui faisais remarquer que ces femmes étaient beaucoup plus jeunes que moi, il décida de retourner sur le site de nos maîtres chanteurs visionner les autres galeries. Sous d'autres prénoms, il y avait des part 1, des part 2, des part 3 et ainsi de suite. Je m'en rendis compte tout de suite, si les part 1 recelaient pour la plupart des femmes nues, les galeries les montraient plus comment dirais-je, Oui c'est cela plus catin
plus putain
plus pute quoi ! Devant cette évidence, mon mari de dire "Ah tu vois bien !". Je compris à cet instant que cela ne lui déplairait pas, donc
je me soumettrais
d'assez bon cur, puisque j'avais vu au fur et à mesure de l'historique que les participants mâles étaient de plus en plus nombreux et les scènes de plus en plus compliquée et scabreuses. Il faut quand même dire qu'avec quatre la première fois ils avaient mis la barre assez haut et
moi aussi. Quatre
on voyait cela au troisième ou quatrième épisode pour les autres. Voilà quel était mon problème. Demain nous étions mercredi, ce qui me laissait trois jours dénicher une "tenue adéquat" et faire toilette. Comme ils l'auraient dit j'allais devoir me faire débroussailler le frifri ou nettoyer la cressonnière. Dès le lendemain je passais un coup de fit à mon esthéticienne qui me faisait le maillot. Elle pouvait me prendre
le jour même en début d'après-midi. Je sollicitais donc de Madame l'Économe un après midi de congé fournissant un problème de plomberie aussi urgent que peu crédible. Gentiment elle me m'accorda et j'en profitais immédiatement pour demander mon lundi prévoyant un week-end éreintant
. Je feuilletais ensuite l'annuaire histoire de compulser les adresses des magasins de lingerie. Avant mon rendez-vous je me décidais pour mes emplettes. Parfumerie d'abord pour compléter ma palette et ensuite un petit magasin de lingerie que j'avais repéré dans le lequel je n'avais jamais mis les pieds. Pour quelle raison l'aurais-je fait ? Je supposais qu'il recelait des trésors pour magnifier un corps féminin ou à tout le moins le rendre provocant et affriolant. Je passais deux ou trois fois devant la devanture n'osant pas rentrer puis pris mon courage à deux mains. La vendeuse était une belle femme rousse qui me mit à l'aise. Je fis donc l'acquisition d'un superbe porte-jarretelles noir agrémenté de petits nuds rouges et de deux paires de bas : résille et noir à couture
tant qu'à faire. Les joues un peu rouges je me rendis ensuite chez mon esthéticienne qui me questionna sur cette visite subite qui reflétait une nécessité impérieuse. Gênée, je tournais autour du pot et balbutiais des sottises genre "faire plaisir à mon mari". Elle finit par percevoir clairement ce que je souhaitais vraiment, sourit et me proposa de m'épiler intégralement en gardant un petit triangle ou rectangle, type ticket de métro". Timidement je pus articuler :
"Et intégralement
c'est possible ?"
Cela l'était
. Elle me prévint que le poil repousserait. Je voulus donc quelque chose de définitif. Elle me dissuada, me conseillant d'abord de bien réfléchir et ensuite me prévenant que cela nécessiterait vraisemblablement plusieurs séances de laser. Je prétextais l'anniversaire en fin de semaine et optait pour quelque chose de plus classique qui me permettrait de bien réfléchir à la chose. Classique mais plus douloureux quand même
. Voyant la texture de mon slip elle m'en déconseilla le port sous peine d'irritation. De même elle me dissuada du port de collant pendant plusieurs jours. Donc quand je sortis de la boutique, après qu'elle m'eut souhaité un "bon week-end" d'un air complice (si elle avait sut !) je devais être cramoisie. C'était la première fois de ma vie que je sortais dans la rue nue sous ma jupe. Vite, vite je pris ma voiture et filais dans la zone d'activité ou je savais trouver des grandes surfaces de chaussures. Ayant quand même un peu froid au jambes je commençais par le super marché et achetais quatre ou cinq paires de bas auto fixant. J'en enfilais vite une dans les toilettes du magasin. Ce ne fut qu'au bout du troisième hall que je trouvais mon bonheur. Aiguille
il avait dit aiguille. Certes il y avait pas mal de chaussure à talon mais pas ce que je cherchais. Et puis dans un bac, une promo
nubuck noir, semelle de deux centimètres d'épaisseur et talon de onze. Le vendeur me dévisagea l'air interrogatif. Mon look ne cadrait pas avec mon achat
samedi il en irait autrement.
P Gisèle revint ravie de son après-midi et n'en voulu rien me faire voir. Je cherchais quand même toujours une solution pour lui éviter ce nouveau calvaire. Si tant est que cela en représenta un pour elle. Au fil du temps j'en étais de moins en moins certain. N'était-elle pas devant notre ordinateur, devant des sites osés quand je rentrais à la maison
.
G Le jeudi, j'avais toujours le pubis la vulve un peu irrité. Je décidais donc quelque chose d'inconvenant. J'irais travailler sans culotte. Je passais une matinée terrorisée, pensant évidemment que tout le monde s'en rendait compte
. Comme un fait exprès, je dus pas mal me déplacer dans le couloir pour divers papier à faire signer. Petit à petit je me mis à réaliser, qu'au bout du compte, cela ne me laissait pas indifférente de sillonner l'établissement cul nu devant des grappes de lycéens et lycéennes ignorant cette incongruité. Je rajoutais même quelques déplacements
aux heures d'interclasse
de là à mouiller
. Il n'y avait qu'un pas qui fut vite franchi. De fait en rentrant, je fis aussi une chose inhabituelle, je me masturbais avant le retour mon époux. Le vendredi au matin, je constatais que je n'avais plus de soucis au niveau de l'entre jambe. Je pus donc remettre un slip. Néanmoins je délaissais le collant au profit des dim-up. Finalement, cela ne me déplaisait pas et je me sentais un peu cochonne d'évoluer ainsi
un peu cochonne. Ce vendredi fut une , mon esprit vagabondait sans cesse, je ne fus pas professionnellement efficace. Je ne pensais qu'à ÇA ! Je ne pensais qu'à leurs bouches qui allaient se poser sur moi, leurs mains qui allaient me tripoter, leurs sexes qui allaient me fourrer, leurs langues qui me goûteraient, leurs doigts qui me déshonoreraient
. Je ne pensais qu'à mon corps qui allait leur appartenir, à ma chatte qui serait défoncée, mes seins que seraient triturés, à ma bouche qui serait comblée et intensément abreuvée de semence, à mon cul dont ils allaient, de toute évidence, encore r et me le dévaster, à mes mains réjouies à l'avance des queues dont elles allaient s'emparer. De plus ils allaient me trouver disponible à leurs exigences et soumise à leurs caprices en tout genre. Je serais leur jouet, leur objets de plaisir, leur poupée de chair, leur bibelot, leur chose dont ils allaient user, j'espérais, au delà de la mesure. J'encaisserais leurs insultes, leurs invectives, leurs vexations, leurs offenses. Mieux que cela je les attendais
tout comme les insanités grossières, toutes les vulgarités et toutes les abominations quils me feraient sans aucun doute reproduire. En silence, je me les répétais. En plus du plus cette fois je n'aurais pas l'excuse de la surprise. Cela se ferait en toute connaissance de cause de ma part, mais aussi de celle de Philippe. En plus du plus, du plus, j'aurais la tenue de circonstance
demain soir, je serais pute
. Je n'y tins plus, je n'en pouvais plus. Pendant la pose méridienne, j'allais aux toilettes me priver de ma culotte et je me touchais. Je ne la remis pas. Juste avant l'heure de sortie, je persistais dans mon égarement. Cette fois j'ôtais mon soutien-gorge. C'est ainsi que je fis les courses avant de rentrer
. Ma nuit fut terrible, longue et insomniaque. Philippe dormait à mes cotés. Incapable de résister je me caressais silencieusement espérant que cela m'apporterai le sommeil. Ce fut le cas.
P Je n'avais pas souvent vu ma femme dans cet état. Elle paraissait comme une pile électrique. Nous nous couchâmes et quelque chose me réveilla. Je ne sais pas quoi. Toujours est-il que j'entendais Gisèle à mes cotés tourner et virer. Elle ne dormait pas. À son inverse je restais immobile. C'est alors que je perçu une chose incroyable. Incrédule je compris quelle se masturbais à mes cotés. Ce que je compris également c'est bien qu'elle était très surexcitée par la perspective du lendemain. Moi qui avais (un peu) pensé quelle redoutais ce jour
. Le lendemain, ce fut pire encore, elle fut hypernerveuse scrutant l'horloge sans cesse. Je ne me faisais plus d'illusion mon épouse espérait cette aventure douteuse. D'ailleurs n'avait-elle pas laissé sur le lit qu'une alaise et qu'un drap de dessous. Retirant couette et couverture comme si les occupants allaient se contenter de se mettre SUR le lit
.
G Quinze heures
seize heures
seize heures trente :
"Chéri je vais à la salle de bain !"
P "D'accord ! Fait comme tu veux !"
J'entendis d'abord le bruit de la douche puis celui du sèche-cheveux, puis plus rien
plus rien pendant un bon moment.
G Une fois mon brushing terminé, je mis mon porte-jarretelles et y fixait les bas. Tant qu'à faire j'avais choisi les résilles. Je glissais mes pieds dans ces vertigineuses chaussures et entrepris de ma maquiller. J'avais pris des notes sur le PC. J'avais tout mon temps pour faire quelque chose de bien. Enfin quand je dis de bien
je veux dire de convenable
enfin qui "colle" avec la ou les activités du soir. Fonds de teint, poudre, blush un peu orangé, cils très noir, tour des yeux de même, paupière dégradée de gris/brun très sombre avec demi banane. J'ombrais même un peu mes sourcils. Je fis disparaître ma bouche sous deux ou trois couches épaisses d'un fard à lèvres rose que je délimitais d'un trait plus foncé. Machinalement, je mis des boucles d'oreille et
. Et je me regardais dans le miroir. Ce que je vis dans le reflet, ce n'était pas moi. Je veux dire celle que je voyais habituellement. Ce devait être celle que j'allais devenir et j'eus honte, très honte de moi. Perchée sur des hauts talons, mon pubis lisse et nu encadré de jarretelles noires et mon visage ainsi fardé, je me vis avec embarras
. Pas dire, le but était atteint. J'avais l'air de ce que j'allais être : une pute
. Il me fallait maintenant sortir de la salle d'eau. Ce ne fut pas sans mal et je me décidais. Le claquement des mes talons sur le carrelage renforça mon sentiment de confusion. Ce fut pire encore quand je croisais le regard de Philippe.
P Je l'entendis descendre, puis écoutait le bruit de talons sur le sol. Très curieux j'attendais sa venue. En fait, j'eus du mal à la reconnaître. Elle était à l'identique des femmes sur les sites pornos
pareille ! J'en restais bouche bée. Fait exceptionnel j'eus même une érection.
G Sa mâchoire sembla se décrocher. Je vis une petite bosse se former au bon endroit. J'en déduisis donc que je devais être "bandante". Je demandais :
"Alors ?"
P "Alors
tu
tu es superbe !... vraiment !"
Immédiatement je pensais à deux choses d'abord qu'elle avait mis un soin bien étrange à respecter méticuleusement leur demande (j'avais déjà mon opinion sur la question). Ensuite qu'en la voyant ainsi, visiblement accorte, ils allaient l'outrager interminablement
.
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