Comment Ma Femme Évolue Avec La Complicité De Ma Soeur ...
La situation : Claire a suggéré à Martine de les rejoindre dans le bungalow qu'ils ont loué cet été dans un camping au bord de la mer. Le copain américain de Martine doit les rejoindre.
Retrouvailles et souvenirs
Les restes de notre petit déjeuner à tous les deux s'étalent sur la table en bois ronde dehors devant le bungalow. Dans le silence matinal, avec cette clarté particulière du soleil d'est, l'air semble comme plus propre. On s'était levés plutôt de bonne heure pour une première journée de vacances. Doucement pour ne par réveiller les autres campeurs, Claire, après m'a embrassé avec amour sur le bout des lèvres, et s'est engouffrée gaiement dans la voiture sans faire de bruit, elle à mis le moteur en marche. Elle recula sur le chemin, et enclencha la première vitesse. Je la regarde partir doucement avec un sourire d'amoureux confiant. Elle roule alors quelques mètres en direction de la sortie et me fait un grand « coucou » de la main. Mais, elle freine soudain et baisse la vitre côté passager. Je me rapproche imaginant alors qu'elle avait oublié quelque chose.
« - Dis donc chéri, t'es sage hein ? Je reviens dans trois jours, c'est vite passé. »
Je ne peux m'empêcher de plonger mon regard dans son décolleté... En effet, penchée et un bras en appui sur le dossier de droite, Claire m'offre à la vue et de la meilleure façon le sillon profond entre ses seins. Je ne m'en lasse jamais. Et sa robe n'est pas avare de décolleté...Je ne suis pas encore tout à fait réveillé :
« - De quoi tu parles ?
De ton envie depuis quelque temps ...
Enfin... que tu veux dire par sage ?
Oh ! Beaucoup de choses... tu sais bien. »
Et elle me sourit largement en me regardant dans les yeux... Je ne réplique pas et me demande si elle n'est pas carrément en train de parler de mes branlettes.
Allez, je veux te retrouver comme je te quitte maintenant, d'accord ?
Mais c'est quoi ce délire là, répliquais je avec un peu de hauteur, faussement surpris.
Eh bien... je veux te retrouver plein lança Claire qui semblait suivre une idée... Plein de désir, avec le même regard pour ma poitrine comme celui que tu as en ce moment par exemple...
Hum... Tu sais que ce sera le cas non ?
Oui ça je sais mon chéri, mais ce que je veux c'est que tu sois sage... Ca me plaît moi de savoir que mon petit mari est plein de désir pour moi à m'attendre, c'est très érotique tu sais pour une femme ...
Mais oui voyons enfin, tu crois que je pourrais te tromper ? Rétorquais-je faussement offensé.
Oh non je ne crois pas ça du tout... mais... tu pourrais te branler par exemple » me dit elle avec un grand sourire mutin, le visage légèrement empourpré.
Pour le coup je reste coït. C'est bien la première fois. Ma Claire, la pudique, n'a jamais été aussi directe. Tout de suite je mets cela sur le compte du début des vacances, du soleil au rendez vous, de la présence de ma sur Martine, qui fait vraiment très plaisir à mon épouse. Je ne peux toutefois pas empêcher de me troubler. Ainsi Claire n'est pas sans se douter que de temps en temps.. Il m'arrive de me ... et ma Claire silencieuse qui a, en tendant la main vers la clé au tableau de bord, coupé le moteur semble attendre une réponse, avec un sourire énigmatique et comme amusée aussi.
« - Bon, plutôt que de dire des bêtises ma chérie, vas y, tu vas être en retard » dis je comme en la suppliant légèrement. Claire me regarde encore quelques secondes, heureuse, découvrant aussi avec surprise le plaisir de me voir me débattre maladroitement avec une pique, pourtant petite, plantée dans mon épiderme.
« - Hum. Je sais, mais je voulais te le dire quand même » dit elle en se redressant droite dans le siège, contente de son audace verbale (branler...). Mais Claire hésite encore à partir. Elle veut goûter dirait on, savourer à nouveau ce délicieux petit moment de supériorité :
« - Alors, tu promets ? Oui ?
Mais oui chérie voyons... » Claire insiste c'est trop bon pour elle on dirait.
« - Oui. Quoi ?
- Oui... je te promets là. »
Claire a du nez, je ne dis pas tout clairement, elle ne rate pas la perche tendue par erreur...
« - Oui quoi, tu promets quoi chéri...? me demande t elle tout bas avec un air délicieusement féminin, comme une mère à son .. De la façon dont elle s'y prend, je ne suis pas de taille.
Ouiiiii, dis-je faussement excédé, je te promets d'être sage. » J'avoue implicitement qu'il peut m'arriver de ne pas l'être alors... Elle me réveille tout à fait maintenant ma Claire, j'ai un peu honte me sens comme sur le grill...
Sage en tout ? Pas de branlette hum ? Elle jubile mais le rouge lui monte aux joues à son tour.
Je la supplie.
« - Oui, allez roule chérie, tu vas te mettre en retard.
- D'accord. On vérifiera cela à mon retour » lâche t elle mystérieusement dans un souffle et, en arrondissant ses lèvres dans ma direction, me lance un ultime baiser. Je l'aime, je suis confus et je bande.
Je reste songeur après le départ de ma femme. Je ne veux pas retourner me coucher. Je rassemble sommairement le petit déjeuner et m'allonge sur le transat après avoir étalé une grande serviette de plage. Je suis agité. Me voilà seul avec ma sur maintenant. Cela ne s'est pas produit depuis bien longtemps. Etait ce une bonne idée que de se revoir après une si longue absence en partageant nos vacances ? Et ce fiancé américain, qui est-il, quand va t il arriver ? J'imagine ma très belle sur en train de dormir dans la chambre du bungalow et me demande quand elle se décidera à sortir. Je songe qu'elle n'a pas trop changé en 3 ans. Du moins a t elle conservé cet attitude complice et comme secrète avec moi qui m'émeut tant. Seuls nous savons ce qui nous relie. Martine ne veut toujours pas, manifestement, rompre ce fil. Dès nous retrouvailles la semaine passée, elle a renoué ce lien, invisible aux autres, par des regards discrets mais appuyés, des sous entendus aussi. Et à l'âge ou nous arrivons cela me trouble fortement.
Hum, je sens maintenant les rayons de soleil devenir plus chauds et décide d'aller prendre une douche. Sans vouloir me faire du souci du bruit qui pourrait réveiller ma sur, je prends plaisir à m'éveiller complètement sous une eau tiède. Au souvenir de ma conversation avec Claire, je sens mon sexe se déployer, une chaleur envahir mon bas ventre. Je le ressens sincèrement, mes couilles sont lourdes, pleines, sans nul doute. Est ce donc aussi de mes couilles dont Claire faisait allusion ? A cette idée, un plaisir salace m'envahit. Oui hélas, il ne s'est rien passé avec Claire la semaine dernière. Elle était indisposée d'une part et d'autre part les derniers jours avant les vacances furent vraiment une course poursuite contre la montre, comme d'habitude. Ce deuxième jour des vacances, en revanche, commence à produire son effet détente. Machinalement je me branle, ce qui augmente la chaleur dans ma queue, le désir m'alourdit aussi, m'engourdit. Ce n'est plus à Claire que je songe soudain, c'est à ma sur endormie derrière la fine cloison. Un puissant sentiment de double interdit (songer à ma sur de cette façon là, la promesse faite à Claire quelques minutes plus tôt) annihile ma volonté. J'ai honte mais personne ne le sait, donc autant en profiter. Je revois alors Martine la veille apparaître avec son maillot de bains acheté là bas en Amérique. Martine et Claire avaient beaucoup parlé de ce chiffon sur le trajet, pendant que je conduisais. Ce maillot fut l'occasion de sous entendus et de rires excités. En effet, ce n'était pas un maillot mais deux bandes de tissu l'une bleu fluo, l'autre orange fluo, qui partaient de son entre cuisses et montaient plus larges en V sur ses épaules, masquaient si on peut dire ses seins au passage pour redescendre derrière dans son dos et passer comme un string dans le sillon de ses admirables fesses en pomme.
« - Allez, montre nous le maintenant Martine, va l'enfiler supplia Claire le premier soir, les valises à peine défaites... » Se faisant encore quelque peu prier Martine accepta.
Ce maillot un peu particulier fit rire Claire aux éclats. Etait ce pour cacher un certain trouble ? Ou était il provoqué par ma vision, véritablement scotché que j'étais à l'apparition de ma jeune sur ? Il y avait de quoi c'est vrai.
« - C'est la première fois que je le mets » annonçait Martine virevoltant, joyeuse d'être admirée, secrètement excitée de se montrer à moi devant ma femme me disais je et sûre aussi de me provoquer également. Elle s'était dirigée derrière la table ronde, comme pour se protéger des regards aurait on dit, comme si cela était possible, une table... Elle semblait un peu confuse aussi de la provocation faite à moi son frère devant ma femme. Telle une chatte, rapide, elle prit et croqua à pleine dent une tartine beurrée qui l'attendait tout exprès, comme pour faire diversion.
« - En réalité cela me fait tout drôle de le porter ici. C'est pourtant un modèle tellement banal sur une plage en Floride. »
Martine et Claire ont pratiquement le même âge, respectivement 25 et 26 ans alors que j'en ai 37. Elles sont belles toutes les deux, avec chacune une personnalité bien distincte. Mais j'entends du bruit, sans doute Martine se lève t elle... J'arrête immédiatement et à regret de me branler, ça commençait à être bon, une goutte perlait à mon gland et ... mais serais je allé jusqu'au bout ? Déçu je sors de la douche m'essuie et enfile short et polo. Je m'inspecte dans la petite glace murale. Claire depuis 5 ans que nous sommes mariés, ne semble pas avoir remarqué mon léger embonpoint abdominal, mes petites poignées d'amour déjà... Jamais encore elle ne m'a parlé de mes cheveux qui s'éparpillent plutôt de bonne heure... mais ça plaît aussi ça les tendances chauves.
Rassuré, je sors et ouvre la porte en même temps que Martine la sienne de sa chambre. Immédiatement puisque nous avons failli nous télescoper, je sens la chaleur de son corps et de sa nuit ... et ô merveille, elle porte juste une grande chemise en coton. Un énorme as de cur sur la poitrine. Je remarque tout de suite qu'elle a les seins libres de toute entrave... et qu'elle peut bien se le permettre. Ils sont hauts perchés sur un buste tout en rondeurs. Je devine bien les pointes de ses seins mais vois à peine sa poitrine frémir, elle l'a possède ferme. Martine s'assoit en peignant des doigts sa chevelure luisante de brune, je m'aperçois qu'elle m'observait par en dessous...
« - Tu me prépares un café mon cher frère ... ça va être super ses vacances ensemble, me dit elle avec le ton de l'encore endormie alors que ses yeux bruns me fixent avec une attention plutôt soutenue.
Oui bien sûr. Noir ou au lait ?
Sais pas, prépare je verrai »
Je dois me tourner c'est heureux car je n'aurais pas pu m'empêcher de regarder ses cuisses mates et déjà bronzées qui se sont largement découvertes lorsqu'elle s'est glissée sur la banquette derrière la table fixe, c'est beau sur catalogue ces bungalows mais côté pratique dans la réalité, ça surprend toujours un peu. Martine reprend la conversation d'une voix douce.
« - Claire vient de partir alors... 3 jours c'est vite passés mais du boulot en plein milieu des vacances, tout de même...
Elle y est obligé d'après ce qu'elle m'a dit, son patron est sur une très grosse commande et craint de se faire griller la priorité. Il veut conclure avant la rentrée de septembre.
Dis donc tu pourrais être plus discret quand tu prends ta douche mon cher frère...
Excuses moi je ... c'est moi qui t'ai réveillée ?
Un peu oui, mais ce nest pas grave j'ai envie de faire pipi. Mais je me recouche moi... Ah dormir, le pied...
Et il arrive quand ton copain américain au fait ?
Alors là tu sais il imprévisible. Pour l'instant il visite Paris ça peut durer ... Fêtard comme il est...
Tu veux quelques tartines beurrées aussi ?
Oh oui super, attends je vais au pipiroum et me recouche »
Vivement soudain elle se lève va aux toilettes. J'entends le jet caractéristique, son manque de discrétion ne semble pas la gêner. Aussi vite elle ressort, traverse le « salon » 7 mètres carrés au plus et rentre dans sa chambre. Elle laisse sa porte ouverte c'est pourquoi je peux l'apercevoir de dos retirer sa chemise de nuit. Sa paire de fesses est un appel au viol, tout simplement.
« - tu me sers au lit alors !
J'arrive dans 2 minutes
Oui dépêche j'ai faim d'un seul coup ».
Je rentre fièrement dans la petite chambre avec tout ce qu'il lui faut installer sur la planche à pain car je n'ai pas trouvé le plateau. Elle est superbe ma sur mais là j'en reviens pas... elle est assise bien calée, les draps lui arrivent sur le ventre au mieux... Je dois marquer un temps d'arrêt que j'en suis sûr elle a senti. Ses yeux pourtant sont baissés elle regarde les draps, les mains à plat sagement. Ses seins sont en effet un défi aux lois de l'apesanteur. Des seins de toute jeune fille qui ne tombent pas mais au contraire semblent se relever encore vers le ciel. Je l'admire, ébahi... Elle remue une jambe sèchement comme impatientée :
« - Bon... ? » d'un air de dire c'est aujourd'hui ou pour demain ? Je me reprends et dépose le plateau sur ses cuisses. Tout de suite elle attaque. D'abord la grande tasse.
« - hum t'es un chou le frangin ! Et le lait ?
- Oui... j'y vais »
Je retourne le chercher dans le réfrigérateur.
« - tu sais- me lance telle de loin c'est tellement fréquent là bas que je n'y fais même plus attention.
De quoi parles-tu ?
Ma poitrine. La montrer dit elle avec une voix comme chargée de sous entendus
....
Plus aucune fille sur la plage ne met de soutien gorge là bas...
...
Enfin, les jeunes et les biens foutus je veux dire...
Hum. »
Je suis devant ses seins orgueilleux le lait dans la main. Elle a reposé la tasse, ses mains sont à nouveau à plat sur les draps. J'allais poser le pack sur la planche à pain mais elle me regarde... je trouve alors que c'est mieux de lui en verser directement. Martine me laisse faire. Aussitôt après elle prend à nouveau une gorgée. Elle se saisit d'une tartine beurrée la porte à sa bouche, mange. Des miettes tombent sur sa poitrine elle n'en a cure, les laisse.
« - Et ton job, fa va demande telle la bouche pleine ? Assois-toi qu'on parle un peu depuis trois ans...
Oui pas mal, enfin tu sais la compta... c'est tous les ans la même chose..
Hum... là... bah assieds toi par terre ou sur le coin du lit dit elle en le pointant du bout du menton..., ça m'enmerderait moi ton truc. »
Elle parle librement mais son ton est doux et très féminin. Je trouve à poser une fesse et demi sur le bord du petit lit car je veux rester en face d'elle, captivé... et ne pas avoir à faire un quart de tour avec mon dos. Elle déjeune comme une affamée, ses cheveux luisants, mi-longs sont déjà peignés, comment a t elle fait ? Plusieurs miettes sont là maintenant accrochées sur la pente douce double... d'autres miettes sont directement tombées sur son ventre. Je vois tout. La conversation se prolonge agréablement, elle m'apprend que ses photos se vendent très bien. Souvent elle relève une mèche sur le côté et c'est à ce moment que je les vois frémir un peu. Elle semble ignorer mon regard. Je commence à avoir un peu mal au dos mais ce n'est pas ce qui me décide à m'asseoir plus confortablement au sol, m'adosser à la cloison, les jambes pliées coincées devant le lit. Elle a fini, me tend d'une main le plateau planche et repose ses mains à plat sur le drap après s'être redressée du dos. Elle est belle, elle est complètement nue du buste devant moi et en hauteur. Il me semble que c'est ce qu'elle constate aussi. Le voudrait elle maintenant que ce serait trop tard, je lui ai vue, ça y est, complètement vue sa poitrine et pour la première fois. Et elle me la laisse l'admirer me semble t il. Quelque chose dans son maintien est comme exposé. Ca y est j'y suis, ce sont ses mains trop sages comme empêchées, sur le drap de son lit, sagement à plat de chaque côté de son corps... Je vois aussi encore des miettes de pain sur elle. Elle continue de parler comme immobile, retenue dans ses gestes et elle se regarde les seins aussi de temps à autre. C'est alors que je vois ses bouts, ils se sont allongés, c'est net. Grossis aussi. Elle aime se montrer, me montrer à moi son grand frère, sa poitrine, s'exhiber ! Stupéfait par cette révélation je perds mes moyens, le fil de mes paroles s'éparpille un peu...
C'est alors que je me souviens.
Je nous revois tout de suite quand nous étions plus jeunes, alors qu'avec ma copine qui me masturbait mécaniquement, qu'allongé je ne pouvais plus du tout bouger ni les bras ni les jambes... En montant l'échelle dans la grange, sa tête est apparue, c'est elle alors qui m'a vue... s'est mise à rire comme pour détendre l'atmosphère, banaliser la situation... mais ne perdant rien de ce qu'elle voyait là (et devait arriver...) car la savoir en train de monter l'échelle... ma copine, quittant ma queue du regard pour me dire juste auparavant, avec un sourire ingénu et légèrement moqueur
« - la voilà ... »
Et ralentissant son branle pour le stopper même ... la pine verticale tenue à la base dans sa main elle terminait tout de même en douce de bien tirer la peau, j'avais le gland mauve prune complètement décalotté, trop tendu car elle tirait un peu trop vers la bas pour m'exhiber la queue le plus possible ou peut être même pour me faire un peu mal. Isabelle, c'était son prénom, radieuse du coup qu'elle avait mijoté, c'est elle qui avait sans doute demandé à Martine de nous rejoindre plus tard, attendait la confrontation entre ma sur et moi. En tenant entre nous deux... ma queue.
« Cétait donc ça que tu voulais me montrer... demanda Martine plutôt gênée mais ne quittant pas ma pine du regard, sa jupe courte rouge écarlate comme ses joues, je me souviens
« - assieds toi et parle moins fort... Tu vas voir ».
Martine avait regardé vite un peu comme une voleuse partout autour d'elle et devant mes jambes à mes pieds s'était assise en tailleur, les cuisses à même la paille.
« - Quoi ? demanda t elle en chuchotant, faussement ignorante de la question d'Isabelle,
- T'en a déjà vue une en vrai ?
Non...enfin pas comme ça... »
Elle m'ignorait complètement, regardait maintenant fixement ce que Martine tenait dans sa main...
Isabelle, la meilleure copine de Martine. Toutes les deux inséparables. Je tentais de m'interposer
« - Arrête maintenant... j'en ai marre... »
Je me tortillais dans mes liens en voulant tout à coup me cacher le bassin... peine perdue si ce n'est que je ne faisais que reporter l'attention sur ma verge que bien consciencieusement Martine s'appliquait à suivre dans mes mouvements saccadés pour me la tenir toujours fermement décalottée, le gland vers le haut... Elle ne détourna même pas le regard pour me demander :
« - ça vient ? Je le sens...
Non hum ha...arrête à la fin...
Si, je le sens... allez... montre à ta sur...
Non mais arrête... arrête merdeuuuhhh »
Je faisais encore comme si je participais aussi à la situation pour sauver la face mais pas du tout, je la subissais complètement et Isabelle le savait. Je me tortillais encore et de plus belle cette fois, touchant par inadvertance les genoux des filles avec mes cuisses nues, le short baissé aux chevilles, une corde à vache me tenant les pieds. Martine et Isabelle véritablement complices demeuraient assises, droites, immobiles ou faisant de petits gestes tranquilles pour faire semblant d'éviter mes coups désespérés. Avaient-elles mijoté ensemble leur forfait ? Je sentais que ça venait, ça montait des mes couilles vers ma queue, c'était irréversible cette fois, avec l'arrivée de Martine je n'allais plus pouvoir me retenir du tout... Même si, perfide, Isabelle ne me branlait pas, s'appliquait à me tenir toujours immobile ce qui était pire... Une honte indescriptible me submergeait, j'étais complètement exposé à ma propre sur qui me matait avec le plus grand intérêt... et le comble, le point d'orgue pour Isabelle, j'allais éjaculer devant elle.... Isabelle ne se préoccupait pas de mon état d'âme elle releva de sa main libre, très à l'aise, posée, ses cheveux longs blonds...elle s'appliquait...à attendre... Elle me regarda en souriant :
« - tu peux pas te retenir hein... »
Elle ne semblait pas préoccupée par a grimace qui déformait mes traits mais comprit... Elle revint su ma queue :
« - Regarde Martine, regarde, ça va sortir.... ça va sortir...
De fait, j'étais vaincu mon gland cherchait partout où aller s'agitait, tantôt en direction de Martine, tantôt en direction d'Isabelle et, depuis déjà quelques petites secondes ... mon jus entamait une course effrénée vers la sortie... une liquide transparent d'abord coula de mon gland, puis un jet de liqueur blanchâtre... fusa soudain, le méat s'agitait toujours comme une petite bouche... puis deux puis trois jets montèrent en l'air pour retomber sur la main d'Isabelle et sur mon ventre. Je sentais ma queue spasmer toute seule dans sa main...Martine et Isabelle semblaient joyeuses de leur forfaiture, un sourire triomphal éclairait leurs visages pendant que je terminais de me vider...
Fin première partie - A suivre -
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!